Chapitre 11

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Euh..... J'ai du mal a croire qu'elle viens de me dire ça, est-ce bien Aïcha qui viens de parler ou je rêve, elle n'a jamais eu des pensé aussi clair et l'honnêteté n'est pas trop sont truc mais lorsqu'elle sort des mots comme ça c'est qu'elle les pense sincèrement.

Je jeté un coup d'oeil vers Raïssa elle a les yeux grandes ouverte et la fixe étonné elle ne fait que cligner des paupières la bouche grande ouverte.

_pourquoi est-ce que vous me regardez comme ça ?

_est-ce que c'est bien Aïcha.......... ?ne le prend pas mal juste que c'est rare de t'entendre parlé sagement et sincèrement tu est plutôt du genre a te foutre de tout et rigolé tout le temps mais ce que tu viens de dire me touche beaucoup jusqu'a me donner des frissons et je comprend  pourquoi t'a gagner ma confiance et mon amour.

Cette dernière la regarde avec malice par ce qu'elle viens de dire et soudain Raïssa comprend pourquoi.

_eh...... Calme, quand j'ai dit que je t'aimais c'est pas dans le sens que tu crois espèce de lesbienne!

_lesbienne toi même.

_Oh...... Toi aussi Raïssa ne soit pas si désagréable, dit-je en roulant les yeux
Elles se mettent tous a rigolé en voyant Aïcha faire la moue, quand je reviens sur les dires de Aïcha je me dit que peut-être elle a raison ou peut-être qu'elle est complètement a côté de la plaque. Salim a un double face mais ça personne ne peux le voir a part moi et voilà pourquoi les gens le vois comme un mec bien, personne n'a enduré ce que j'ai subit se jour là la peur et les blessures qui saigne toujours.

_je ne sais pas quoi dire Aïcha ma enlevé les mots de la bouche, j'espère seulement que tu finirais par voir les chose autrement.

_ouais..... Moi aussi.

Deux heures maintenant nous avons fini le henna et tout se qui va avec en passant part les ongles les sils et la tresse j'ai mal a la tête c'est tellement serré je peux même plus rire comme je veux, mais bon au moins c'est fini ça va passer

Nous rentrons a la maison il est déjà quatorze heure les fille mon escorter ensuite elle sont parti chez eux récupérer quelque trucs étend  donné quel vont dormir ici, la maison est encore plein et je commence sérieusement a manqué d'air, j'étouffe avec tous ses bruit, ses rire et ses va viens, comment est-ce qu'ils peuvent ne pas voir ma tristesse, pourtant sa ne passe pas inaperçu, mais pour eux c'est le stress c'est trop débile je ne suis pas stresser je ne suis simplement pas contente, et a qui est-ce que je peux le dire? Et puis de toute façon c'est pour demain alors il est trop tard j'aurais du en parlé depuis le début.

Vingt et trois heure tout le monde est rentre chez soient il y'a pas mal de travail mais les membre de la famille restant s'en occuperont d'ailleurs Aïcha et Raïssa sont dehors avec Nabila et plein d'autre, moi j'ai pas quitter la chambre depuis ma venue du salon, les aîné m'on interdit de sortir en même temps c'est pas comme si je voulais me montre au gens.....

_oh...... Mon Dieu je suis épuisé, se plaint Aïcha.

_c'est pas possible comme tu peux être une moins que rien, tu n'a quasiment rien foutu dehors.

Et voilà!!! En rentrant a peine dans ma chambre elles commençant a se chamailler, et c'est toujours Raïssa qui la cherche.

Tout les trois on c'est rencontré au primaire d'abord avec Raïssa et un ans plus tard Aïcha mais depuis ce jour on ce quitte jamais même quand on est loin on reste en contact, plusieurs on essayer de nous brisé mais ça n'est jamais arrivé a près tout  onze ans d'amitié n'est pas si facile a détruire, ça nous arrive de nous disputer parfois mais sa ne duré jamais plus de quarante et huit heures.

_dite, est-ce que vous avez déjà fréquenter le même gars et que je ne savais pas? Leur taquinais-je

_quoi? Jamais de la vie je préfère crevé célibat, ce précipite Raïssa de répondre avant Aïcha, car elle a plutôt une grande bouche celle-là

_et tu n'imagine même pas se que je ferais au gars qui essayerais. Termine Aïcha

_ um mm..... Fit-je

Je m'allonge en forme étoile sur le lit les yeux braquer sur le plafond fixent un point imaginaire je n'ai rien fait de compliqué mais je suis épuisé.

Liés pour toujours et à jamaisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant