Poursuite

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Pdv Lucas:

Bon...allé...je dois....me calmer.
Je donne un coup de poing sur la table et me lève de la chaise sur laquelle j'étais assis pour pouvoir l'éjecter. Tout les regard des policiers dans l'éspace réduit se tourne vers moi. Je murmure des excuses et respire un grand coup pour reprendre mes ésprits. Nous sommes dans la ruelle ou Maxence était sensé retrouver les policiers, assis autour d'une table de camping mis à la va vite avec des chaise autour pour trouver un plan. Nous somme une dizaine d'hommes mais d'autre ont été mobilisés pour le retrouver. Je me creuse la tête depuis déjà une bonne dizaine de minutes mais j'ai l'impression que ça fait des heures et qu'on ne le retrouvera jamais. Je ne peux pas me mettre à pleurer, il faut que je reste clair et fort pour lui.
Soudain je pense à quelque chose qui m'était totalement sorti de la tête à cause de la panique. J'allume mon téléphone en appelant tout les policiers pour leurs dire que j'avais la solution.

-"Max et moi avons installé une application sur nos portables, elle nous permet de partager la localisation avec des personnes précises et seulement ces personnes. Tout les deux nous partageons en permanence notre localisation.

- Mais son portable est éteint.

- Je sais mais cette appli est guidé par internet, si il n'est pas en mode avion, nous pourrons sûrement le trouver."
(je ne sais pas du tout si se que je dit est vrai alors n'en tenez pas rigueur, merci)

J'allume l'appli et, bingo j'ai un signal, faible mais de quoi le retrouver. Je rend mon téléphone au agents et nous montons tous dans les trois petits fourgons utilisé normalement pour transporter des personnes ayant commis une infraction ou autres. Nous nous mettons en route à toute vitesse.

-"Et, ils sont toujours en mouvement, nous cherchons donc un véhicule de taille moyenne, il doit avoir la place de passer dans les petites ruelles comme celle-ci donc on peut rayer les camions, mais il doit avoir la taille d'avoir au minimum quatres personne à l'arrière, peut-être une fourgonnette où un minibus. Voilà se qu'il faut chercher."

Je regarde par la fenêtre et je sent les larmes me monter aux yeux. Une policière qui s'en aperçoit s'approche de mon siège et m'attrape les deux épaules m'obligeant à la regarder dans les yeux.

-"Écoutez monsieur, on va le retrouver d'accord ! Il est fort il tiendra le coup et nous serons devant lui dans moin de 5 minutes d'accord ! Et grâce à vous! Vous l'avez sauvé monsieur. On va le retrouver n'ayez aucun doute."

Je lui adresse un sourire triste et elle retourne s'asseoir à sa place. Je ferme les yeux quelques secondes. Je repense à tout se que Maxence à traversé et à tout se que nous devrons encore traverser ensemble si on le retrouve. Si on le retrouve, je n'aime vraiment pas cette phrase. Ça fzit déjà bientôt 5 minutes que nous poursuivons un véhicule d'une taille moyenne où il y a mon petit ami, grâce à une aplie.

-"Ça continue a ce déplacer, on va lui tendre une embuscade. Attention le virage."

La voiture dévie soudenement et je me cogne la tête à la vitre. Par celle-ci je vois les autres fourgons tourner à leurs tour. Nous accélérons tous et j'entends la sirène crier au dessus de moi. Les voitures se poussent sur notre passage. Nous faisons un nouveau virage très serré. La tensions se fait sentir dans tout le véhicule, la vitesse ne permet pas l'erreur mais ralentir voudrait dire perdre la trace du véhicule , dans le virage on aperçoit au loint une camionnette correspondant  à la description, je retiens mon souffle alors que je sens la voiture accélérer encore plus. Si proche du but on ne peut pas le perdre. Ils prennent à nouveaux virage,.mais même si nous n'avons plus de visibilité sur eux, je peux voir que nous nous rapprochons de plus en plus du signal.

-"Et, ils accélèrent ! On doit les rattraper, je croit qu'ils sont dans la rue parallèle à la nôtre mais avec au moi 50 mètres d'avance, si on veut les avoir il faut les coincer à un carfour."

L'agent qui avait dis ça est aussi juste à côté de chauffeur, c'est lui qui à mon téléphone et qui guide le conducteur. Nous continuons notre course à toutes vitesse sur plusieurs mètres avants de faire un nouveau virage, les roues de la voiture crissèrent pendant le dérapage et seulement dix mètres plus loing la voiture s'arrêta d'un coup. Je parti en avant mais la ceinture me retint de justesse en me coupant totalement la respiration. Je pensais que c'était fini quand j'entendis d'autres pneus et j'ai juste le temps de tourner le regard vers la fenêtre pour voir une fourgonnette noir faire un violent virage pour ne pas nous rentrer dedant et déraper en freinant. Elle arrive enfin à s'arrête juste avant de rentrer dans le mur. C'était moin une.

Je souffle un grand coup. Tout ça c'était passé en moi d'une minute et j'ai vraiment eu peur d'être percuté.
Tout les agents sortent et encadrent la fourgonnette. On me demande de rester à l'intérieur.
Il commence par ouvrir la porte du conducteur qui est assomé par le volant mais le choc  fut amorti par les airbags. Il est en vie et l'homme assit à la place passagé aussi, il sort à son tour les main en l'air. Je suis sûr de l'avoir déjà vu quelques part. Merde c'est qui je me rappelle plus! En m'apercevant, il me lance un regard noir et crash par terre. Le gars c'est vraiment cru dans un film!

Ils ouvrent ensuite la porte coulissante de l'arrière. Il fait sombre, il y a juste une petite lumière pour éclairer l'arrière du véhicule. Il y a quatres hommes dont deux sont par terre, ils ont dû tomber durant le virage, les deux autre se tiennent au poignés sur les côtés.
Et au milieu de ces quatre homme, il y a une chaise renversé par terre, et à côté un homme, couché sur le côté. Il n'est pas dans le bon sens pour que je puisse bien le voir, je sort en trombe du fourgon pour le rejoindre.

C'est bien lui! Je suis tellement heureux! Il à les yeux entre-ouverts et plein de larmes. Les mains attachée dans le dos, il à le t-shirt troué et la lèvre en sang ainsi que son nez qui saigne et d'autre petites coupures superficielle sur tout le reste de son corps plein de bleus.
En me voyant, ses yeux se remplissent de larmes, je pose ma main sur sa joue, je suis moi aussi en train de pleurer, pleurer de bonheur. Je l'ai retrouvé, il est en vie. Au contact de ma main il ferme les yeux et j'essui les larmes qui coulent sur sa joue. Son corps commence à trambler de sanglots. Je lui enlève les liens au main et nous nous jetons dans le bras l'un de l'autre. Là, ma tête au creux de son cou, je pleure.
Nous devons avoir l'air cucu mais on s'en fiche. Nos t-shirt sont trampé à cause des larmes que nous avons versé, nous nous détachons enfin et je l'embrasse fougueusement, comme si c'était la première fois, comme si des jours entiers était passe sans que je ne puisse le voir, comme si ma vie en dépendait.




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"Comme si ma vie en dépendait" c'est la phrase la plus cucu que je pouvais trouver!😂 J'espère que vous allez bien, ça fait longtemps que j'avais pas posté. Le prochain chapitre arrivera sûrement demain ou après demain, voili.
Xoxo😘😘😘❤

est-ce possible ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant