Untitled part 15

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LUNA

Flynn es solo un gran cerdo y lo odio. Comment est-ce possible que quelqu'un soit aussi répugnant que ça, sérieux ? Il a des envies de sexe incontrôlable et je trouve cela... dégoutant. Bref ce n'était pas le moment de me plaindre j'étais de nouveau « La Luna del barrio » et je ne pouvais avoir l'air vulnérable pour le moment.
« - Holà chica !

- Oh salut Ricky ! Comment tu vas ?

- Bien et toi ?

- Bien...

- On ne dirait pas pourtant ? Tu t'es fait plaqué où quoi ? dis-je en rigolant.

- Bah je n'ai pas copine par qui veux-tu que je me fasse plaquer ?

- Je disais ça comme ça... Que t'arrives-t-il alors ?

- Y'a une fille qui me plaît...

- Et c'est ça qui te met dans tout tes états ? C'est super ça Ricky !

- Oui mais je n'ai pas vraiment l'impression de lui plaire.

- Ah bon ?

- Oui. Elle est très sûre d'elle et c'est une vraie grande gueule. Et par rapport à elle j'ai l'impression de ne pas faire le poids.

- Elle est comment ?

- Jolie, brune, drôle et je la connais depuis toujours. En fait cette fille c'est toi Luna. »

Et sans que j'aie mon mot à dire Lil' Ricky m'attrapa par la nuque et m'embrassa. Ça ne pouvait pas être possible.

« - Qu'est-ce que tu fais Ricky ? dis-je en le repoussant.

- J'ai joué, mais apparemment j'ai perdu... Je t'aime Luna et je ne peux pas continuer à faire comme si de rien n'était... Si tu préfères Jod je te laisse être avec lui. Adieu mija. »

J'aurais dû appeler Ricky mais je ne sais pas pourquoi je n'y suis pas arrivée. J'allais perdre ma virginité, mon intégrité et mon meilleur ami.


FLYNN

Mon père n'avait même pas pris la peine de venir me chercher lui-même et avait envoyé le chauffeur. Comme d'habitude...

« - Bonjour Monsieur Flynn, votre père avait affaire cette après-midi et ne pouvais donc pas venir vous chercher.

- Il est plutôt occupé à baiser une de ses pétasses.

- Votre langage Monsieur Flynn.

- Mon langage me dit d'aller vous faire foutre, Humphrey. Conduisez et bouclez-là à l'avenir. »

Cet enfoiré allait certainement répéter à mon père ce que j'avais dit mais je n'en avais rien à cirer. Il n'avait pas à me donner des leçons de morale alors qu'on le payait pour conduire cette putain de voiture. Le chemin se passa sans encombre et en peu de temps nous étions arrivés à la demeure familiale. Je devais avoir une chambre impeccable parce qu'après tout je recevais ce soir.

« - Vos parents ne rentreront pas ce soir. Ils ont affaire, est venue me dire Roberta, la femme de ménage.

- Merci de me prévenir. Faites mon lit, allumez le jacuzzi, et mettez des pétales de fleurs et des bougies un peu partout s'il vous plaît, demandai-je.

- Bien sûr Monsieur Douglass. »

Cette femme de ménage était la seule employée que j'appréciais. Elle ne me faisait pas de morale, ne crachait pas dans ma nourriture et ne ronchonnais pas lorsque je lui donnais des ordres. En plus elle était vraiment très jolie et avait un physique assez... attrayant si je puis dire. J'aimais bien la regarder faire les taches ménagères que je lui donnais. Avec Roberta dans la maison ma libido montait en flèche. Dans sa petite robe noire elle était juste à croquer. Et encore... croquer est un faible mot. Il était dix-huit heures et demie et Jess n'arrivait qu'à vingt heures. J'avais largement le temps de tenter quelque chose avec Roberta. Elle était en train d'allumer le jacuzzi. Elle s'était changée et avait enfilé une robe blanche. J'arrivais par derrière puis la poussa dans le jacuzzi. Il poussa un cri d'étonnement sortit de l'eau avec sa robe maintenant entièrement transparente et avec ses tétons qui pointaient.

« - Monsieur Douglass !

- Arrêtez Roberta. Ne me dites pas que je suis le seul à en avoir envie.

- A vrai dire... »

Je ne lui laissai même pas le temps de finir et l'attrapai par la taille pour l'embrasser.


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