Chapitre 11

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Penelope découvre que tous les jeunes qui seront incapables ou inutiles durant leur formation seront obligé de quitter le pays ou de subir les terribles sanctions de LeFroid. Jack et Luisa se méfient du comportement douteux d'Emeraude et Amara.

Emeraude ouvre doucement les yeux, elle se réveille peu à peu après c' être écrouler. Après avoir repris connaissance, elle se relève brusquement et regarde autour d'elle. Elle étais dans une chambre qui n'était n'y la sienne ni celle de l'infirmerie, elle sort de sa poche la montre à gousset de sa poche puis regarde l'heure, elle n'était là que depuis une demi-heure. Elle se redresse pour retirer le caraco de son uniforme qui lui tenait chaud, se redressa puis le plaça à côté de sa cape et de son pantalon qui lui avait déjà été retirer. Elle se leva pour voir ce qui se trouve  dans la salle,  il n'y avait rein de particulier, juste  un bureau bleu où il n'y avait plein de papier et un grand lit. Lorsque à la porte, elle entendit le bruit de la clé qui entra dans la serrure, elle se précipita dans sous les drags du lit, elle était gênée qu'une personne la voit avec sa camisole. Un homme rentra puis posa un plateau sur la table avant de se rapprocher d'Emeraude et  touchant son visage, n'apprécions pas le geste elle attrapa la main de l'individu puis ouvrit les yeux pour voir ce étrange inconnu. C'étais Clark, Emeraude ne bougea plus, elle qui l'avait vu mourir.

- Je vois que vous alliez mieux, puis-je voir si le médicament a fait effet?

Elle réfléchit  avec beaucoup d'hésitation puis sortie des drags, elle rougissait car elle n'avait que ses sous-vêtements et sa camisole.  Clark se pencha pour retirer son bandage, il ne restait plus une seule trace ni une égratignure.

- Il n'y a plus rien, dit il. Tu sais tu n'as pas être gêné j'ai l'habitude de voir des gens avec peu d'habit.

Emeraude se redressait et se contentait de le regarder.

- Tu es toujours aussi silencieuse, je devrais peut être aussi voir ce qui cloche. En même temps au bout d'un an et demi j'aurais pu trouvé. Je l'impression que tu es épuisée, dit il en tirant ses paupières, je t'ai apporté quelque chose à manger.

Il se leva, prit le plateau et le posa devant elle, il était plein de l'entrée au dessert. Il y avait de la soupe, des légumes, des patates avec du bœuf et un gâteau aux fruits.

- Tu me connais aussi bien que je te connais je sais que tu aimes bien les gâteaux fruits te souvient tu lorsque je t'en apportais.

elle hocha la tête et lui fit un petit sourire.

- Par contre, je sais également que tu n'aimes pas le potiron malheureusement il n'y a que ça. il prit un cuillère prit un peu de soupe et la dirigea vers Emeraude.

- Donc Em, Ouvrez grand la bouche la petite sorcière va atterrir.

Emeraude commença à pleurer de plus en plus fort, Clark mit le plateau de côté puis prit un mouchoir pour sécher ses larmes.

- Ce n'est que du potiron, je suis désolée vous pouvez commencer par le dessert.

-  Vous, tu n'es qu'un sombre idiot. cria-t-elle.

- Comment ça?

- Parce que tu es un idiot!

- Je prends soin de toi, je te soigne, je te propose à manger et je suis un idiot!

- C'est exacte.

- Mademoiselle, confond le rouge et le vert, tu vas dans la mauvaise brigade et enfin tu t'enfonce un couteau et c'est moi qui suis idiot.

- Ben moi, je ne suis pas une idiote moi au moins je suis assez courageuse pour me mettre dans l'armé.

- Si tu veux, moi je suis l'idiot qui soigne les idiotes comme toi!

Emeraude se leva brusquement puis sortit de la salle avant de rentrer tout de suite après.

- C'est la salle de bain! hurle Clark

- Je sais très bien, répond Emeraude  en se dirigeant vers l'autre porte, celle-ci était ferme à clé. Elle se retourna puis croisa les bras. La clé.

- Tu n'as pas oublié quelques chose?

- Je ne dis pas "merci" à un idiot.

- Je ne reçois pas de merci d'un idiote qui ne se rhabille pas.

Consterner Emeraude attrapa brusquement ses vêtements.

- Tu as gagné je suis une idiote, parce que j'étais sur qu'il ne t'était rien arrivé je me suis inquiété et j'ai tout fais pour te trouver et....

Clark lui coupa la parole en l'embrassant, il recula un moment pour la prendre dans ses bras.

- Lorsque j'ai demandé à monsieur Wald il m'a dit que tu étais morte, j'étais tellement malheureux pour moi la vie n'avait plus de sens. 

Emeraude l'embrassa à son tour puis colla son front contre le sien.

- Je t'ai vu être attaqué par une bête.

- Non ne t'inquiète pas un sorcière est venu pile à ce moment je m'en suis voulu parce que je suis persuadé que c'était celle qui devait t'évacuer.

Ils s'embrassèrent de nouveaux, d'un façon plus passionné, d'une manière plus intense. Clark la souleva puis la posa sur le lit. Il passait sa main sur sa cuisse puis remontait petit à petit, elle était peu effrayer et ne savait quoi faire. Un moment donné, il s'arrêtèrent tous les deux se plongeant chacun dans le regard de l'autre, dans ses yeux qui parlaient énormément sans vraiment vouloir exprimer quelques chose de concrets. Clark tremblant se déboutonnait maladroitement et Emeraude essayait de l'aider à retirer ses habits. Tous les deux en sous-vêtements, ils se dévoraient du regard, Emeraude qui passait sa main sur sa peau et dans ses cheveux mais ils finir par éclater de rire.

- Là tu déjà fait ? demande timidement Emeraude

- Peut bien que oui, répond Clark avec un peu arrogance.

- Comment ça oui? et avec qui?

- Je rigole je te promet que non, tu es mon premier grand amour et il n'y en aura pas d'autre.

- et qu'es-ce qui te laisse penser qu'il n'y a pas eu d'autre de mon côté?

- Je pense pas qu'il existe en ce monde un homme qui t'aime et t'aimera autant que moi.

- Je n'y connais rien de tout ça.

- Tu pourrais ne jamais vouloir que l'on le fasse, ça met égal tant que nous sommes ensemble. 

Il l'embrassa puis se rapprocha de son oreille.

- L'avantage de mes dons, ce que j'ai une très grande connaissance de l'anatomie féminin.

Ils s'enlacèrent, s'embrassèrent. Clark l'embrassa dans le coup puis retira les sous-vêtements d'Emeraude, il caressa sa poitrine et son entrejambe tout en l'inondant de baiser. il redressa son visage puis la regarda droit dans les yeux.

- Je ne sais pas ce que j'aurais faits si je n'avais plus eu l'occasion de me plonger dans tes yeux ou de voir ton grand sourire. Je t'aime.

- Moi aussi je t'aime.





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