J'explique à Céline tout ce qui s'est passé. Elle me dit qu'elle en parlera à Félix quand il se réveillera et repart se coucher. Je fait de même et je me lève six heures plus tard vers huit heures du matin.
Etrak ne m'a pas importuné cette fois-ci, mais je n'ai pas la force de l'affronter ce matin.
Je prend mon tour de garde en essayant de penser à autre choses, mais je dois avouer que ce n'est pas facile quand je voie Annie en train de répandre les cendres de Laura de l'autre côté de la muraille avec l'aide du vent et de son mari.
Je fini mon tour de garde et je commence à me préparer pour le combat de ce soir. Mais d'abord j'entraîne les bleus sur la place centrale du quartier. Ils font d'énormes progrès et certains commencent à savoir ou taper pour faire très mal, et je ne parle pas que des couilles.
Pour décourager un adversaire en combat singulier, il faut le faire souffrir le plus possible pour lui faire assez peur et qu'il abandonne, ou alors l'immobiliser en l'assommant ou avec des coups qui font très, très mal.
Les désespérés se révèlent quand il ont tout pour être brisés ou immobilisé et qu'ils tentent une dernière série d'attaque surprise. Dans le second cas, ils en sont incapable. Dans le premier cas, il faut être extrêmement prudent, car ils peuvent vous tuer au moment où vous vous en doutez le moins : au moment ou vous sortez de l'arène. Dans certains cas, il est très difficile de ne pas les tuer. Dans ces cas-là, c'est soit nous, soit eux. J'ai déjà tué cent-douze personnes comme ça. Mais à l'époque il y avait beaucoup plus de désespérés qu'aujourd'hui. C'est une grosse partie de tout ceux que j'ai tué dans ma vie, pour le pas dire la moitié. Le reste sont ceux qui m'ont attaqué pour l'argent, la bouffe, les médicament, ou tout simplement par pure vengeance. Les démons ne content pas, évidemment.
Félix vient me voir pendant mon entraînement. Il me dit énervé :
" Tous les loups sont restés, ta soeur ne veut pas faire le deuil sans son mari, Léius ne veut pas bouger de la tombe de ta mère et l'alpha ne partira pas sans eux, ni sans toi.
- Amène-les à mon combat de ce soir.
- Tu penses qu'il auront peur de toi et qu'il ne voudrons plus te ramener avec eux. C'est vrai que n'importe qui serait découragé devant ce genre de spectacle.
- Tu crois que je surnom de "bloody" s'obtient juste avec des cheveux blonds maculés de sang ? Ma mère était une guerrière obsédée par la survie, tout comme moi. Elle s'est débattue comme une folle, à réussis à grimper les échelons et a laissé plus de corps que moi dans son sillage pour obtenir ce titre.
- À l'époque c'étais encore pire que maintenant, c'étais vraiment la guerre de la survie. Mais depuis le premier "bloody day" les gens ont baissé leurs niveau de violence.
- Ça ne veut pas dire que le niveau dans les cages à baissé.
- Dégoûtes-les au plus profond de leurs âme pour qu'ils ne viennent plus jamais nous faire chier.
- Je dois fair mon numéro de psychopathe ?
- Comme quand tu as tué six personnes le même jour quand tu avais quinze ans ? Tu avais vraiment pété un câble ce jour là. Ça m'a fait froid dans le dos... Ne te gêne pas envoie de paquet !!! Dit-il déterminé.
- On se revoit dans l'arène. "
Je me prépare encore plus durement que d'habitude. Je fait un footing quand soudainement je sens une odeur que je déteste. J'ai un odorat super développé qui me permet de sentir une odeur jusqu'à trente mètres. Malheureusement trente mètres, c'est dans l'enceint protégée de la pulpe. Et l'odeur s'éloigne dans la direction des loups. Plus particulièrement d'Etrak, car il est le seul encore attaché. Les chaînes sont en titanes et il ne pourra pas s'en détacher facilement en se transformant. J'ai du mal à l'admettre mais je suis inquiète pour lui.
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Wolf
ParanormalSilana est une humaine un peu spéciale, et elle déteste les loup. La guerre entre les hommes a menée au réveil des démons les plus puissants de l'enfer, craints par Satan lui-même, menant Dieu à confier son humanité chérie aux loups, qu'il avait con...