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Il glisse une main sous votre vêtement et passe un doigt en vous. Il est tendre et fait attention de ne pas vous faire mal ni vous brusquer. À l'écoute de vos gémissements, il accélère ou ralentit. Vous vous êtes glissé dans son jean ou vous le toucher par-dessus son caleçon. Quand enfin, vous ne pouvez plus patientez vous prenez les devant, baissez ses vêtements et enlever votre string. Il vous attrape par les hanches et vous pose sur la caisse derrière vous. Il met une capote et vous demande:-tu es sûre ? Vous lui répondez que vous en êtes certaine. Ni une ni deux, il vous pénètre et vous talonne. Vous gémissez et avant que vous n'ayez le temps de hurler, il vous met une main sur la bouche afin que vous n'alertiez personne. Ce geste vous excite encore plus et pour lui montrer vous passez vos mains sous son tee-shirt et le griffez dans le dos. Il redouble de puissance dans ses coups de reins. Votre masque glisse, Thomas plonge la tête dans votre coup et vous mordille l'épaule à la naissance de la nuque. Il ne vous en faut pas plus pour atteindre le paroxysme et tous les deux en peu de temps vous jouissez en silence. Il se retourne pour enlever la capote et se rhabiller pendant que vous rajustez votre masque et vos vêtements. Quand vous avez fini vous lui prenez la main et vous retournez vous poser sur un canapé libre. Vous parlez, vos jambes posées sur les siennes. La fin de soirée s'écoule lentement et il vous ramène en taxi. En bas de votre appartement, vous échangez vos numéros vous faisant la promesse intérieur de l'appeler. Vous rentrez chez vous le souvenir persistant de ses mains sur votre peau encore frémissante. 

Fin recommencé en faisant des choix différents.

Un vendredi soirOù les histoires vivent. Découvrez maintenant