Chapitre 12

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Hugo se réveilla avec un horrible mal de tête. Un rayon de soleil avait percer le rideau pour venir se frayer un chemin vers ses yeux clos. Il ne se souvenait plus de grand chose. Il avait horriblement mal au visage et ne savait même pas où il se trouvait. Une chance qu'il avait prit congé, il n'aurait jamais eu la force d'aller travailler. Il tourna la tête pour trouver Sébastien endormi à ses côtés. Il était donc chez lui. Attend, il dormait dans le même lit que lui! Il voulut se redresser, mais une horrible douleur dans les côtes lui signalait que c'était une mauvaise idée.

De grands coup fut frapper à la porte. Sébastien se redressa d'une traitre. Il scruta la porte de sa chambre avant de reporter son attention sur Hugo.

"Seb? Qu'est-ce qui c'est passé hier. J'ai mal partout."

"Tu étais saoul. Reste là je vais voir qui c'est."

Sébastien quitta la chambre pendant qu'Hugo tentait de se redresser. Chaque petit bruit lui donnait un mal de tête. Il tâta son visage et fut surpris de sentir des blessures. Qu'avait-il fait hier? Pourquoi avait-il mal partout? Sébastien et lui avait-il fait des choses? Non, il aurait mal au fesse s'il n'était plus puceau. Il souleva son chandail pour voir un tas de bleus sur son torse. Il c'était battu? Quelques brides de souvenirs lui revient. Il avait le visage de William et son sourire moqueur.

Il se dirigea vers la porte de la chambre, n'écoutant pas les consignes de l'homme qui lui avait dit de rester là. Il l'ouvrit et aperçut deux policier en uniforme dans l'embrasure de la porte.

"Il y a un problème Seb?"

Les trois hommes se retournèrent vers lui. Une des polices lança un regard noir à Sébastien qui soupira. L'autre fit un pas vers Hugo.

"Vous êtes Hugo Lallier?"

"Oui."

"Est-ce que vous allez bien."

"Je crois. Pourquoi?"

"Vos parents nous ont signalez un kidbapping."

"Quoi?"

"Vous vous souvenez vous de la veille?"

"J'étais à un party."

"Et ensuite?"

"Je... je me suis battu je crois."

"Ont nous a signaler qu'un homme serait venu vous enlever pendant la soirée. Est-ce que monsieur Tremblay vous retient contre votre gré."

Hugo avait la bouche grande ouverte. C'était quoi ces conneries. Il tourna le regard vers Sébastien qui évitait tout contact visuel.

"Monsieur Lallier, ne regardez pas l'autre homme. Regardez moi. Je suis là pour vous aidez. Vous retient-il ici contre votre gré."

"Non!"

"Vous a-t-il kidnapper?"

"Non! Il est mon ami."

"Donc vous n'aurez aucun problème à nous suivre au poste. Vos parents s'inquiètes et nous avons plein de question à vous posez par rapport a votre relation à vous et monsieur Tremblay."

Le policier aggrippa le bras d'Hugo et l'amèna à l'extérieur de l'appartement. Hugo se mit à paniquer.

"Seb! Qu'est-ce qui se passe! Pourquoi il m'amène?"

Mais Sébastien continuait de refuser de lui adresser le moindre contact visuel. L'autre policier resta avec lui, pendant que son collègue amena Hugo au poste. Rendu là, une série de question tous plus improbable les uns que les autres lui furent poser.

"Est-ce lui qui vous à frapper?"

"Vous a-t-il déjà déjà fait des avances sexuel."

"Vous a-t-il menacer d'une arme pour vous forcer à faire quelques chose que vous ne voulez pas?"

"Pourquoi étiez vous chez lui?"

"Comment vous a-t-il contacter la première fois?"

Hugo finit par en avoir assez.

"Mais arrêter! Il m'a jamais fait de mal! Regardez mon téléphone. C'est moi qui lui est dit de venir me chercher au party. Il ne m'a pas kidnapper."

"Pourquoi ne pas vous avoir ramener chez vous?"

"Je dois lui avoir demander de ne pas le faire. Je m'en souviens plus. J'avais trop bu. C'était un party."

"Acceptez-vous de vous soumettre à une batterie de test médical?"

"Pourquoi?"

"Pour savoir, s'il vous a droguer ou violer."

"Quoi! Ça va pas la tête! Sébastien m'aurait jamais fait ça. Il... c'est un homme bon et honnête. Je refuse."

"Si vous voulez porter plainte, il est préférable de..."

"Mais arrêter! Je ne porterais pas plainte! On a fini?"

Le policier lui posa encore quelques questions et tenta de lui faire changer d'avis, mais Hugo ne démordait pas. Lorsqu'on le laissa partir, il retrouva ses parents qui vient l'embrasser.

"Maman! Papa! Pourquoi vous avez appelez les policier! J'allais rentrez!"

"Mais Hugo, c'est un garçon de ton école qui nous a appelez pour nous dire qu'un type venait de débarquer pour te kidnapper. Il avait même filmer la scène."

"Quoi!"

Sa mère lui montra une vidéo sur son cellulaire. On voyait clairement Sébastien trainer et installer de force un Hugo surexcité. Effectivement, avec cette unique extrait, on aurait dit un kidnapping, mais même si Hugo ne se souvenait plus de la soirée, il savait que Sébastien avait simplement voulut le rapatrier en lieu sûr.

"Maman, qui t'a envoyer cette vidéo?"

Sa mère regarda son cellulaire avant de répondre.

"Un William. En tout cas, j'ai immédiatemment envoyer la vidéo à la police pour qu'il te retrouve!"

"Tu aurais pu appeler!"

"Je l'ai fait, mais tu ne répondais pas."

Hugo regarda son téléphone. Ah oui, il avait plusieurs message et appelle manquer. Il avait vraiment abuse de la bouteille.

"J'espère que cet homme finira en prison avoir essayer de nous séparer."

"Maman! Sébastien est un ami. Il ne m'as pas kidnapper."

"Un ami? Depuis quand tu te tiens avec des hommes d'affaires comme lui?"

"Ça fait un moment."

"Pourquoi tu ne nous en a jamais parler?"

"Car je sais très bien comment vous alliez réagir. Vous auriez voulut nous séparer."

"Bien sûr que j'aurais voulut! Il a beau travailler pour monsieur Labrecque, c'est un homme adulte qui traine avec mon adolescent."

"Il ne m'a jamais toucher!"

"Encore heureux."

Sur ce, sa mère traina son fils jusqu'a la maison avec son père et son petit frère. Hugo texta Sébastien pour savoir comment il allait, mais n'eut aucune réponse.

TOME 1 Latte, Moka et Espresso (BXB)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant