Chapitre 5

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La mère d'Hugo sortie de la chambre de son fils en colère. Elle gagna le salon où Hugo se trouvait avec son petit frère. Elle avait un sac dans les mains. La soirée était déjà bien entamer et il était rentrer tard après avoir trainer avec son ami dans le parc. Ce n'était pas très sage, sachant qu'il avait de l'école le lendemain, mais son frère l'avait convaincu de venir écouter les simpsons avec lui avant d'aller se coucher.

"Hugo, tu peux m'expliquer ça?"

Sa mère lui montra le sac dans les mains et Hugo déglutit.

"C'est pas à moi maman."

"Pas à toi? Pourtant il était dans ta chambre."

"Oui, mais ce n'est pas à moi. Je te le jure."

Sa mère lui asséna une gifle.

"Parce que non seulement tu te drogue, mais en plus tu essaie de me mentir!"

"C'est pas à moi! Je te le jure!"

"Dans ta chambre maintenant!"

"J'ai jamais rien prit. Crois-moi."

"Dans ta chambre! Je vais devoir avoir une discution avec ton père. De la drogue dans ma maison, comment tu as pu."

"C'est pas à moi! Tu m'écoutes où tu continue de me faire chier."

Résultat, il reçut une nouvelle gifle.

"Ne parle pas à ta mère comme ça, pédale!"

Hugo retient ses larmes et grimpa les escaliers pour gagner sa chambre. Il prit son téléphone, ses clés et son porte-feuille et ressorti de la maison.

"Où tu vas comme ça Pédé! Tu es punis revient maintenant!"

Mais Hugo l'ignorait complétement. Quand il avait avouer son homosexualité à ses parents, ils lui avaient dit qu'ils l'aimeraient pareil, mais chaque fois qu'il avait une dispute avec eux, ça revenait sur le tapis. Dès que ses parents était quelque peu insatisfait de lui, il avait le droit à de pédales ou maudit fif.

Il marcha un moment dans le noir. Les mains dans les poches, le regards au sol. Il ne savait pas où il allait, mais il ne voulait pas retourner chez lui. Tellement perdu dans ses pensés, il ne vit pas la voiture sombre se stationner devant lui et cria de peur quand une voix provenant de l'intérieur lui parla.

"Ce n'est pas prudent se promener seul à cette heure."

Hugo rougit reconnaissant la voix de l'homme. Il avait crier comme une fille, pourquoi il s'humiliait ainsi devant Sébastien. Il ouvrit la portière et viens prendre place sur le siège passager. Il faisait assez noir pour ne pas que le rouge de ses joues ne soit voyant.

"Tu m'as fait peur."

"J'ai entendu."

Il n'était pas seulement rouge, maintenant, il était pivoine.

"Bon je te ramène chez toi."

"Non!"

Le visage de Sébastien était cacher dans le noir, mais il devait surement se poser plusieurs questions.

"S'il te plait. Je me suis disputer avec mes parents. Je veux pas y retourner."

"Vous vous êtes disputez pourquoi?"

"Ma mère à trouver de la drogue dans ma chambre."

Un silence emplit l'habitacle. Attend, mais là il allait passer pour un drogué!

"C'était pas à moi! J'ai jamais pris de drogue de ma vie. C'est à mon ami. On était au parc et il venait d'en acheter. Il se vantait en me montrant le stock, mais ses parents sont débarquer. Il m'a demander de le cacher pour lui."

Sébastien ne répondit pas. Tout ce qu'Hugo entendit fut un soupir.

"Ce n'est pas prudent de se tenir proche d'un dealer."

"Mon ami ne deal pas, il a acheter."

"Et tu crois que c'est mieux?"

Hugo ne dit rien. Non ce ne l'était pas. Il devait surement descendre dans l'estime de l'homme sérieux et ça le désolait. Il avait été gentil avec lui après tout.

"Tu voulais aller où comme ça?"

"Aucune idée."

"Bon, je te ramène chez moi. Il est hors de question que tu dormes dans la rue."

Hugo ne dit rien. Ce n'était pas prudent d'aller chez un pur inconnu, mais quelques choses en lui disait qu'il ne craignait rien au côté du bel homme cerné.

"Pourquoi vous trainiez à cette heure dans ma rue? Vous n'habitez pas le coin pourtant."

Sébastien ne répondit jamais à cette question. La voiture fut stationner dans la cours d'un immeuble et ils montèrent au troisième étages. Hugo profita de la lumière pour observer Sébastien. Il avait toujours les traits tirés qui lui donnait 10 ans de plus qu'il n'avait en réalité. C'est cheveux ébène était quelques peu dépeigner et sa chemise légèrement ouverte. Ses yeux sombre était aussi triste que son sourire. Il ouvrit son appartement et Hugo le suivit a l'intérieur. L'endroit était beaucoup moins propre de ce à quoi Hugo c'était attendu pour un homme d'affaire.

"La chambre est dans le fond. Je dormirais sur le divan."

Sébastien s'alluma une cigarette et alla s'effondrer dans le salon en poussa un gémissement de douleur. Il tira plusieurs puff de sa cigarette assis sur le divan et Hugo hésita a aller le rejoindre où prendre la chambre comme proposer. Il finit par s'engouffrer dans celle-ci et se coucher dans le lit. Sous les couvertures, il enleva son pantalon qu'il déposa à côté. Les couvertures sentait le parfum masculin. L'odeur était délicieux et Hugo s'endormit souriant.

TOME 1 Latte, Moka et Espresso (BXB)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant