Chapitre 28

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Hugo se réveilla en sentant une pression humide sur sa tempe. Il entrouvit les yeux assez pour voir Sébastien quitter la chambre dans son complet. Il avait recommencer à s'habiller en homme d'affaire depuis qu'il travaillait pour le nouvel employeur. Hugo sourit et referma les yeux en pensant au baiser que Sébastien lui faisait tout les matins. L'homme ignorait que son copain avait le sommeil léger et que son au revoir muet le réveillait chaque fois.

Hugo se tournait alors dans le lit, pour aggripper l'oreiller avec lequel l'homme c'était endormi et vient l'enlacer en reniflant son odeur. Sa méthode marchait toujours à merveille et il se rendormit aussitôt.

Il se réveilla quelques heures plus tard. En temps que tout bon adolescent, faire la grasse matinée était son passe-temps préférer. Il joua avec son cellulaire coucher dans le lit, jusqu'à ce que ça vessie lui réclame les toilettes. Une fois vidanger. Il prit un bain dans lequel il resta presqu'une heure. Puis, il mit son produit pour aider la guérison de ses oreilles après percage, ce fit une couette avec ses cheveux et retournait dans la chambre. Il enfila un t-shirt et un jean avant de se raviser. Il avait acheter l'autre jour, une jupe qui lui allait jusqu'au mi-mollet. Elle était bleu marine et plutôt neutre, mais il la trouvait très jolie. Il n'avait pas prévu sortir de la maison aujourd'hui, ni inviter personne, il pouvait bien là mettre. Il l'enfila à la place de ses jeans avant de faire le lit et de descendre prendre le petit-déjeuner.

Puis, il fit la vaiselle d'hier soir et sortie dehors pour aller chercher les oeufs dans le poulailler qu'il avait réclamer à Sébastien. C'était presque trop facile parfois. Jamais Sébastien ne remettait ces demandes en doute. Il fit un tour par son potager pour voir si des légumes avait commencer à pousser, puis retourna à l'intérieur. Un ami l'appela et il décrocha. Ils se parlèrent presqu'une heure durant de tout et de rien.

Quand Hugo avait lâcher l'école et le travail, il avait averti ses amis qu'il déménageait avec son chum. Ses amis l'encouragèrent jusqu'a ce que ceux ci découvre l'âge du copain en question, ainsi que le fait qu'Hugo allait quasiment vivre sur son bras. Leur enthousiasme diminuait beaucoup et certains lui firent remarquer qu'il était cinglé de tout laisser tomber pour un parfait inconnu.

Hugo n'en avait cure. Il aimait Sébastien et savait que Sébastien l'aimait. N'était-ce pas une merveilleuse preuve d'amour que de vouloir attendre à sa majorité pour la consommer entièrement? Et puis Sébastien était au courant des cicatrices de son corps et l'aimait pareil. Bon ok, Hugo aimerait que leur relation passe à un étape supérieur et ne désir pas attendre quelques mois pour perdre son pucellage, qui plus est, c'était un peu de la faute de Sébastien, si son corps était recouvert de marque. Par chance, au yeux d'Hugo, tout cela était des détails. Du coup, seul ses vrais amis avait prit la peine de prendre régulièrement de ses nouvelles.

Lorsqu'il eut finit l'appelle, il fit du lavage et du repassage, avant de prendre le déjeuner dans sa cours arrière. Comme la vie était belle quand on n'avait pas à ce préoccupper de quoi que se soit. Il s'en voulait un peu pour Sébastien, mais d'un autre côté, c'était lui qui voulait qu'Hugo travail le moins possible. Il faisait trois jours semaines à l'épicerie et en réalité, Hugo n'avait aucune envie de faire plus. Il aimait la façon que Sébastien le traitait comme une denrée rare et voulais en profiter.

Il passa le reste de la journée à gamer, puis quand il vu l'heure approcher, se dirigea dans la cuisine préparer le souper pour lui et son copain. Sébastien arrivait du travail pendant qu'il faisait cuire les pâtes et une fois sa boite à lunch vider, il vient enlacer Hugo en lui embrassant le cou.

"Tu a passer une bonne journée ma petite femme?"

Hugo rougit. Quand il avait acheter la jupe, c'était ainsi que Sébastien l'avait appeler la journée durant. Sur le coup, ça l'avait énerver le garçon. Il ne voulait pas qu'on le voit comme une fille, il voulait juste porter des choses belles. Sachant qu'il n'y avait rien de méchant dans le commentaire de son copain, il ne lui avait pas souligner. Il avait donc fermer les yeux la journée durant. Maintenant qu'il portait la jupe, Sébastien recommençait et étrangement, cette fois ci, ce petit surnom d'affection lui plut. Était-ce, car il l'avait susurrer à son oreille? Car il avait une de ses mains sous son chandail ou car il sentait clairement la bosse dans le pantalon de son copain?

"La terre appelle Hugo."

"Quoi?"

Sébastien lui donna un nouveau baiser dans le cou avant de se séparer.

"Je t'ai demander comment avait été ta journée?"

"Ah... bien et toi?"

"Bien."

Sébastien c'était accouder au comptoir de la cuisine et lançait des regards de sous-entendu à Hugo. Celui-ci détourna la tête en prenant de grande respiration. Sébastien était trop sexy dans cette position et Hugo savait très bien que sous son pantalon, quelques choses était dur à son contact. Peut-être qu'il pourrait s'essayer à convaincre son chum de déroger sur son âge.

Il se tournait vers Sébastien en lui lançant un regard amuser. L'homme d'affaire leva un sourcil dans les airs. Hugo vient s'approcher de lui en roulant les hanches et viens coller son bassin sur lui de Sébastien. L'homme ne s'attendais pas à un tel geste resta surpris un moment. Hugo en profita pour venir déboutonner la chemise de son homme en se frottant le sexe sur celui de Sébastien.

"Hugo..."

"Dis le d'un ton voix plus excitant. Regarde: Sébastien~"

Il finit d'ouvrir sa chemise et passa ses mains sur son corps. Il n'était plus autant musclé qu'avant et avait un début de ventre. Hugo s'ennuyait de ses beaux muscles qui lui donnait son côté sauvage, mais le trouvait magnifique malgrer tout.

"Hugo, arrête de te frotter à..."

"Hugo~ dis le comme ça."

"Hugo..."

Hugo se sépara fâché. Il croisa les bras et vient faire une moue en gonflant les joues.

"Hugo, j'aimerais qu'on attende que..."

"Je sais! Que je suis majeur! J'ai l'impression que tu me caches quelques choses et que d'attendre n'est qu'une excuse."

Sébastien rit nerveusement. Hugo figea. C'était quoi se rire nerveux?

"Sébastien?"

L'homme vient se coller à Hugo qui recula surpris. Il sentit les grandes mains de son chum se poser sur ses hanches et glisser sur ses fesses, avant qu'un baiser lui soit voler.

"Euh.. Sébastien."

"Tiens tu ne veux plus de moi?"

Hugo rougit et oublia un instant le malaise de Sébastien. Il passa ses mains autour du cou du grand homme et se laissa grimper sur le comptoir. Ils s'embrassèrent en se tatant le torse l'un et l'autre et furent arrêter par l'alarme incendie qui leur rappella que des pâtes était en train de bruler dans un chaudron où l'eau c'était complètement évaporer.

TOME 1 Latte, Moka et Espresso (BXB)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant