TOME 1 Latte, Moka et Espresso (BXB)

Chapitre 25

Ils avaient dormient enlacer sans aller plus loin que de simple baiser voler. Le lendemain, Jules se présenta pour amener son ami au centre. Les deux amoureux s'échangèrent un dernier baiser avant de partir. Hugo restait seule dans l'appartement et constata à quel point l'endroit était décrepit. Toujours en conger dù à son séjour en salle de torture, il prit la journée pour faire un gros ménage. Ainsi, quand son homme reviendra, tout sera propre et bien ranger.

Une fois finit, il retrouva sa clé et l'ajouta à son trousseau avant de partir chez lui. Il appela le café pour les informées qu'il pouvait reprendre le travail et dès sa première journée, il fut harceler de toute part pour qu'on leur raconte l'attaque du cougars. Il s'en tient à son mensonge disant que c'était des évènements flou dans sa tête.

Ils revues ses amis qui lui proposèrent d'aller se baigner, mais il dù refuser, ayant beaucoup trop de honte à montrer son corps ainsi martyriser. Sébastien lui avait dit d'afficher fièrement ses cicatrices, mais une part de lui refusait encore de le faire. Pas aussitôt après les évènements. Quand elle seront devenu blanche, peut-être, mais le rouge était une couleur encore trop présente sur son torse.

Il avait passer la moitié de son été enfermé dans une cave peu salubre et il fut déçu de voir la rentré au cégep arriver si vite. Il aurait pu annuler sa session, mais ce dit que ça l'aiderait à reprendre le cours de sa vie. Il faisait encore des cauchemars, mais lorsque ça l'arrivait, il appelait Jules.

Jules était un très bon ami de Sébastien, pour ne pas dire le meilleur. Il avait connu Sébastien à son entrer dans les rangs de monsieur Labrecque et les deux hommes, malgrer leur grande différence d'âge (15 ans) c'était immédiatement bien entendu. Alors voilà que pendant l'absence de son vieil ami, il prenait grand soin du petit. Un mois c'était long, mais Jules s'assurait qu'Hugo continu de voir son psy et prennent les antibiotiques prescrit par le médecins.

Il paraitrait que pour optimiser les chances de sevrage, les participants du centre devait être couper du monde extérieur. Un mois sans nouvelle de son chum était difficile, mais Jules était là pour le rassurer même à trois heures du matin. Il se rendit compte à quel point il pouvait aimer Sébastien quand Jules vient chercher les breuvages habituel au café. Un grand Moka et un moyen latte. Il savait que le café avec expresso ne serait pas demander avant un mois. Le temps que revient son propriétaire, mais parfois il s'imaginait que la raison pourquoi il ne devait plus préparer ce breuvage était, car en fait Sébastien avait réussi sa tentative de suicide. À ses moment là, il pleurait sans savoir pourquoi et même Jules ne comprenait pas la raison de ses larmes.

Enfin, le mois fut écoulé et Jules lui indiqua l'heure à laquelle, il devait aller chercher son ami. Hugo se précipita donc à l'appartement faire un petit ménage supplémentaire et chercha le meilleure moyen d'accueillir son homme. En vrai, il ne connaissait pas énormément les goûts de son amoureux. Mise à part le café fort et qu'il n'aimait pas le sucre, ses goûts restait un mystère. Jules lui indiqua alors la marche a suivre. À ses yeux, le sexe serait la meilleur méthode pour l'accueillir. Hugo se croyait prêt et n'était-ce pas romantique de le faire après une séparation d'un mois? Il s'habilla donc d'un simple boxer et enfila une des chemises de son amant qu'il déboutonna partiellement.

En deux mois, c'est cheveux avait pousser assez pour qu'il puisse se faire deux petite couette dans son dos et ce au grand malheur de ses parents qui voulurent les faire couper. Hugo aimait ça et après ce qu'il avait vécu, il pouvait bien faire valoir son désir de les garder long. Il avait voulut se faire percer les oreilles, mais il se dit qu'il prendrait le temps de guérir de ses blessures avant de s'en infliger des nouvelles. Il espérait juste que Sébastien ne lui fasse aucun commentaire négatif sur ses cheveux.

Lorsque Sébastien entra finalement dans son appartement, une boule d'énergie lui sauta dessus.

"Hey!"

Sébastien rit en serrant l'adolescent. Puis il se séparère pour qu'un sourire malicieux se dessine sur le visage de l'homme pendant qu'il détaillait la tenu d'Hugo. Celui-ci aussi le détailla. Comme il était beau. Il avait raser sa barbe et semblait reposer et paisible. Il n'avait presque plus de cerne autour des yeux et avait reprit du poids, assez pour avoir une légère bedaine. Hugo fut surpris de voir qu'il paraissait enfin son âge avec à peine trois ou quatres ans de plus.

"Tu es beau Hugo."

Le garçon rougit.

"Toi aussi. Je suis prêt à ce qu'on le fasse."

Sébastien lui offrit un sourire triste.

"Pas maintenant. Tu n'es pas majeur."

"Mais ça ne me dérange pas! Je te le jure!"

"Moi ça me dérange."

Hugo baissa la tête déçut. Sébastien déposa ses choses et vient l'enlacer.

"J'aimerais régler différente chose avant. Amener de la stabilité dans ma vie et puis après, si tu veux toujours, nous le feront."

"Je peux t'aider? Que veux-tu faire?"

Sébastien l'observa un moment.

"Démisonner. M'éloigner de ce milieu le plus vite possible. Ensuite, peut-être, retrouver ma famille. M'excuser pour le mal que j'ai pu leur faire. J'ai refuser à Arthur de m'enfuir loin, mais je ne referais pas cette erreur. J'aimerais que tu m'accompagne. Je nous trouverais une maison au bord de la mer et je veux que tu y soit."

Tout ses promesses lui paraissait merveilleuse, mais Hugo décida donc de jouer franc jeu lui aussi. Prit d'un courage soudain, Hugo se lança.

"J'aimerais me faire percer les oreilles et pouvoir, parfois... porter des jupes. Je trouve sa mignon comme vêtement."

Il retient sa respiration pendant que Sébastien le dévsiageait incertain. Surement essayait-il de deviner si c'était une farce ou non.

"S'il te faut seulement ça pour être heureux."

"Pour de vrai?"

"Après ce que tu as endurer à cause de moi? Oui, pour de vrai."

Hugo sauta dans les bras de Sébastien et leurs lèvres se retrouvèrent pour ne plus ce quitter du reste de la journée.