⚠️ Chapitre 17 ⚠️

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Il se réveilla le lendemain matin. La douleur sur son flanc ne c'était pas estomper, mais une énorme cloche d'eau c'était former. Hugo chercha de nouveau appuie au sol et se mit sur la pointe des pieds pour reposer ses poignets. La souffrance était palpable dans tout les parties de son corps. Une odeur d'urine lui fit remarquer qu'il avait du se vider sur lui pendant son inconscience. Dégoûtant et horriblement humiliant.

Il resta là encore longtemps seule avant qu'on se décide à lui rendre visite. Un frisson lui parcouru le dos lorsqu'il reconnut son bourreau de la veille. Une part de lui espérait qu'il venait le libérer. Après tout Sébastien devait l'aimer. Il lui avait surement donner ce qu'il réclamait. Ses espoirs fut de courte durée. L'homme alluma la caméra avant de s'approcher de lui.

"Monsieur..."

Il eu à peine le temps d'articuler ce mot, qu'il reçu un coup de poing dans le ventre. Il se serait plier en deux volontier s'il n'était pas enchainer au plafond. Soudain un déluge de coup s'abbattit sur lui. Les larmes lui montait au yeux pendant qu'on se servait de son corps comme punching ball. Il hurla uniquement lorsque l'un des coups vient faire éclaté la bulle d'eau sur son flanc réouvrant sa blessure. À ce moment là, l'homme se mit à rire et asséna plusieurs coup de poing à l'endroit.

"S'il vous plait... Ah!"

Les larmes coulait à flot sur ses joues et l'homme finit par s'épuiser. Il s'éloignait un peu de son corps pour laisser la caméra filmer les plaies qui c'était remis à saigner sur les coups. Le calvaire ne finit par pour autant. Pendant des heures il subit mutilation, torture et coup. Et ce jusqu'a ce qu'il perde de nouveau connaissance.

Ça devait faire trois jour qu'il était pendu au plafond. Sa gorge était sec, son estomac criait famine et sa tête tournait. Il devait boire et manger. Surtout boire. Il supplierait, tant pis, mais s'il voulait rester en vie jusqu'a ce que Sébastien vient le délivrer, il fallait qu'il boive. Car Sébastien allait venir. Il en était persuader. Son bourreau entra dans la cave et s'apprêta à allumer la caméra.

"Monsieur. S'il vous plait. J'ai soif. Je dois boire quelques chose. Un otage mort ca ne sert à rien, non?"

L'homme suspendu son mouvement pour le dévisager. Il semblait réfléchir à la demande. Un sourire cruel apparut sur son visage et il quitta la pièce. Il revient quelques minutes plus tard avec une tasse de café bouillante à la main. En passant à côté de la caméra, il actionna le bouton avant de forcer la bouche à Hugo de s'ouvrir.

"Tu as soif? Bois."

Il versa le contenu de la tasse dans sa bouche. Le breuvage était si chaud qu'il sentit son oesophage brûler tout du long pendant que le liquide se frayait un chemin dans sa gorge. Hugo se débattit de douleur, mais ne fit que renverser le café sur son menton et son cou qui se mirent à bruler à leur tour. Lorsqu'on le relâcha, il toussait en pleurant. Ses papilles gustative avait complétement brulé ce qui lui laissait une horrible sensation dans la bouche. Sa gorge brulait toujours d'un mal insupportable.

"Est-ce que monsieur à d'autre requête? Faim par exemple?"

Bien sûr qu'il avait faim, mais il n'était pas assez fou pour le demander. Si demander à boire avait virer en petite scéance de torture, il s'imaginait facilement ce que réclamer de la nourriture lui causerait. On lui ferait manger des excréments ou des cafard vivant et il préférait éviter.

"Non, monsieur."

L'homme admira la tasse un moment avant de la briser sur le crâne d'Hugo. L'objet l'entailla dans le cuir chevelu et il sentit le sang couler sur le côté de sa tête. Plein de point blanc apparu dans son champs de vision, mais il resta malheureusement conscient. Inconscient, il ne sentait pas la douleur. Peut-être même son bourreau partait n'arrivant plus à lui décrocher des cris.

Perdu dans ses passé, il fut rapidement ramener à la réalité par un coup de barre de fer dans son tibia. Il poussa un hurlement et un nouveau coup le suivit de peu. Aujourd'hui, on avait décider de s'en prendre à la partie inférieur de son corps. Étrangement, tant que ses parties génital était épargné, il se disait qu'il pourrait s'en remettre. Bientôt Sébastien leur donnerait l'argent qu'ils veulent et bientôt on le libérerait. Il fallait juste rester fort jusqu'a ce qu'on le libère. Après tout allait rentrer dans l'ordre. Les criminels allait aller en prison, pendant que lui et Sébastien pourront vivre leur amour. S'il voudrait encore le vivre après ça. Surement aurait-il honte de son corps.

Des larmes de tristesse vient se mêler au larme de douleur et il serra les dents plus fort entre chaque coup de l'objet sur son pauvre corps. Il ne devait pas craquer. Pas maintenant. Pas devant la caméra.

Et puis il ne put retenir de nouvelles larmes lorsqu'il réalisa que Sébastien aussi était un criminel. Lui aussi moissirait en prison.

TOME 1 Latte, Moka et Espresso (BXB)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant