⚠️ Chapitre 16 ⚠️

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Le kidnappeur s'approcha de la caméra positionner dans la direction d'Hugo. Il déglutit. Il n'allait quand même pas le filmer? Il ferait quoi de la vidéo après? On pourrait lui mettre au minimum un caleçon? Cacher son sexe au yeux des spectateurs.

"Dis bonjour à la caméra."

L'homme appuya sur un bouton et une lumière rouge s'alluma. Aussitôt Hugo baissa la tête. Il commençait à avoir mal au jambe à force de se tenir sur la pointe des pieds pour ne pas fatiguer ses poignets et l'idée d'abandonner une jambe pour qu'il vienne cacher ses parties l'élança déjà dans ses poignets. Tant pis, il avait pas vraiment le choix de laisser sa nudité à vu. Les larmes revient couler sur ses joues. Pitié, faite que Sébastien ne voit pas ça. Il est ridicule dans cette position. Quand il verra sont sexe plus petit que la moyenne, il ne voudra plus jamais lui parler.

"On va s'amuser tout les deux."

Hugo releva la tête vers son kidnappeur qui retirait la barre de métal chauffer à blanc. En deux secondes Hugo comprit et écarquilla les yeux de terreur.

"Non! Ne vous approchez pas de moi!"

Mais l'homme approchait en souriant. La pointe rouge vers lui.

"Pitié. Ne me faite pas de mal. Je dirais rien à personne. Libérez-moi!"

L'homme fut finalement à bonne distance et Hugo tenta de lui décrocher un coup de pied. Se fut, non seulement un échec, mais en plus, il perdit pied et son corps retomba vers le sol. Son corps pendouillait accrocher au chaines plus haut. Il grimaça et tenta de retrouver appuie au sol pour reposer ses poignets. Il en avait clairement un de briser à la douleur cuisante qu'il sentait. L'homme profita de son moment de calme pour venir aposer le bout de métal brulant sur sa peau. Hugo hurla de douleur. La langue d'acier semblait lui faire fondre. Il se mit à se débattre de plus belle oubliant la douleur de ses poignets, car celle sur son flanc était mille fois pire. L'homme finit par enlever le contact et se retirer de la caméra pour retourner plonger le fer dans le feu. Hugo se mit à pleurer de plus belle.

"S'il vous plait... je vous en supplie.... je ferais tout ce que vous voudrez... laissez moi partir."

L'homme revient avec le bâton de nouveau rougeoyant. Hugo lui lança un regard désespérer et l'homme réappliqua le fer rouge sur son flanc, à l'endroit exacte où il l'avait fait la dernière fois. De nouveau, Hugo hurlait en se contorsionnant, mais il ne faisait qu'empirer son cas, car le bâton n'attaquait plus que la zone désirer, mais tout le tour. L'homme se retira de nouveau laissant Hugo pris dans une crise de larmes.

"Je ne suis au courant de rien... s'il vous plait... je ne veux pas souffrir."

Tout son côté droit était en feu. La douleur était si intense et le moindre coup de vent lui arrachait une grimace, réanimant le feu qui grugeait sa peau. L'homme déposa la tige de métal pour prendre un bat de baseball. La caméra avait complètement disparu de la tête d'Hugo. Sa nudité, il s'en fichait. Les gens qui le regardait, il s'en fichait. Son orgueil, il s'en fichait. Tout ce qu'il voulait était que l'homme ne s'approche plus de lui.

"Non. Je serais sage. Je jure que je ne tenterais pas de fuir. S'il vous plait. Demandez et j'obéirais."

L'homme lui offrit un sourire sadique avant de donner un coup à l'endroit où la brûlure était encore bien présente.

"Aaaaahhhh! J'ai rien fait moi! S'il vous plait!"

Mais malgrer ses supplications, il eu droit à un autre coup dans son flanc, puis sur une jambe et un bras. Coup après coup, l'homme évitait uniquement la tête et continuait de marteler son corps. Ses os se brisait parfois, lui lançant mille messages d'alerte à lequel il ne pouvait répondre. Hugo n'avait plus la force de pleurer. Plus la force de crier ni de supplier. L'homme avait gagner.

Voyant qu'il n'arrivait plus à arracher des lamentations, il relâcha la batte de baseball et sortie un couteau. Il vient perforer la fine peau endoloris d'Hugo au niveau d'un avant-bras et traça une longue ligne ensanglanté. À bout de souffle il réussit qu'a avoir une mince grimace du visage de son captif. Il refit le même mouvement sur son autre bras et sur son torse, partant d'entre ses mamelons pour descendre jusqu'à son nombrils. Le sang chaud coulait sur son corps, mais il n'arrivait plus à verser une larme. Il suppliait en silence dans son esprits brisé et lorsque l'homme vient appuyer d'un doigt sur la cloche d'eau qui se formait sur son flanc, il reçut une nouvelle décharge de douleur qui lui fit perdre tout contact avec la réalité. Le plongeant de nouveau dans le noir.

TOME 1 Latte, Moka et Espresso (BXB)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant