Chapitre 2

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William et lui se fréquentait depuis deux semaines. Déjà, William avait été fidèle à lui-même. À leur troisième date, il avait demander plus. Hugo avait par contre refuser de but en blanc. Il voulait offrir sa première fois à l'homme avec qui il était certain de vouloir passer sa vie. Le romantisme ne mourrait pas avec lui. William avait insister proposant juste une pipe sans pénétration, ça l'avait irriter Hugo, qui avait expliquer son point. Will avait abandonner la partie. Par contre, presque tout les fois où il était ensemble, William le couvrait de baiser et de compliment à faire rougir Hugo plus qu'il ne fallait. En vrai, William avait des arguments très convaincant.

"Tu ne m'aimes pas?"

"Si je t'aime."

"Alors pourquoi tu refuse qu'on fasse quoique se soit ensemble?"

"Will, ça fait deux semaines. Attendons au moins un mois ou deux que..."

"Alors tu ne m'aimes pas."

Hugo se sentit soudain mal. William l'avait sortie au restaurant et l'avait conduit chez lui, pour qu'ils s'endorment les deux coller. Les parents de William était plus ouvert à son homosexualité que la famille d'Hugo.

"C'est pas ça. Je veux juste que ma première fois soit parfait."

"Elle va l'être. Je vais te mettre très à l'aise. Tu n'as qu'a te laisser faire."

Il vient déposer ses lèvres sur les siennes.

"Je te désire tellement mon amour."

Hugo rougit de plus belle, mais il ne pouvait pas accepter. Pas après avoir fréquenter le garçon que deux semaines. Oui, il n'avait de yeux que pour lui et l'aimais, mais il n'était pas prêt pour s'offrir ainsi. De nouveau, il repoussa William.

"Will, s'il te plait. Je travail demain matin et j'aimerais vraiment qu'on prenne notre temps."

"Et bien moi je n'attenderais pas un mois pour te sauter."

Hugo recula quelques peu apeuré, quelque peu dégoûter.

"Me sauter?"

"Oui, aller. Tu le veux autant que je le veux."

"Non! Je veux pas juste être un coup d'un soir et après tu me laisse comme tout les autres. Je veux qu'on prenne notre temps pour..."

"Tu te moque de moi. Hey le puceau, tu pourras jamais avoir une meilleur première fois que moi. Laisse moi faire."

Sur ce, William vient plaquer Hugo sur son matelas pour l'embrasser farouchement. Il descendit une main vers son entre-jambe et Hugo paniqua. Il lui asséna donc un coup de genou dans les parties. William se retira de sur lui en aggrippant ses bijoux de famille.

"Désolé, mais tu m'as fait peur. J'ai dit que je ne voulais pas!"

"Écoute pauvre cloche, je tes draguer tout comme tu voulais, tu ne peut me refuser ça."

"Je... je veux pas le faire comme..."

"Et bien tu ne le fera jamais. J'aurais du écouter mes potes quand ils m'ont dit que tu étais une perte de temps. Fou le camp de chez moi!"

Hugo fixait Will la bouche légèrement ouverte et les yeux rond.

"Will, je t'aime. Je veux juste qu'on prenne notre temps et..."

"Fou le camp le puceau! Tu es tellement pudique j'ai jamais vu ça. Tu vaut pas la peine que je drague personne pendant un bon mois."

"Mais... Will, on s'entendait bien et..."

"Fou le camp!"

Hugo retient ses larmes et quitta la maison de son copain. Copain mon oeil, il avait été stupide de croire que William pouvait l'aimer ne serait-ce que pour lui. Il rentra chez lui en larme et s'endormit en pleurant.

Le lendemain ses yeux était toujours autant rougit des larmes qu'il avait verser et du manque de sommeil. Il mit sont uniforme et alla travailler l'air maussade. Il ne savait pas s'il pourrait sourire au client aujourd'hui, mais il devait faire un effort. Le temps passa et son sourire, quoique présent, était mort en dedans.

Un homme se présenta devant lui, mais Hugo continuait d'observer sa caisse enregistreuse comme si de rien n'était.

"Ça serait quoi pour vous monsieur."

"Hugo, ça va?"

Le brun releva la tête pour trouver l'homme d'affaire à le dévisager. Il mit un sourire factice sur son visage et pencha la tête sur le côté.

"Très bien monsieur. Comme d'habitude je présume."

Il rebaissa les yeux et se mit tapper les breuvages.

"Tu as pris de la drogue?"

"Quoi!"

Hugo releva la tête pour dévisager le trentenaire.

"Tu as les yeux rouge."

"Non! J'ai juste pleurer toute la nuit."

"Pourquoi?"

Hugo resta figé. En quoi ça concernait cette homme? Ça faisait a peine un mois qu'il était son client régulier. Et mise à part l'histoire avec son sourire idiot et son nom, ils ne c'étaient jamais vraiment échanger plus de formalité.

"Pour rien. Vous payez paypass comme toujours?"

Une notification arriva dans le cellulaire de l'homme d'affaire, mais celui-ci l'ignora complétement.

"Qui ta fait pleurer."

"Monsieur, je... on sait disputer mon petit ami et moi."

Bon voilà c'était dit. Il pouvait payer sa commande maintenant?

"Tu as pleurer toute la nuit pour une chicane de couple?"

Ce n'était pas de la moquerie dans sa voix. C'était un vrai questionnement de sa voix grave et rauque.

"En fait, je crois qu'il a rompu avec moi.".

L'homme d'affaire se redressa pour afficher un dos droit et un air sérieux.

"À quelle heure tu finis?"

"Pardon?"

"A quelle heure tu finis?"

"Pourquoi!"

"Car je te le demande."

Hugo déglutit. Pourquoi cette homme dont il ne connaissait pas le nom voulait savoir à quelle heure il terminait?

"14h."

"OK. Je passerais te prendre. Ce garçon est idiot et je compte bien lui faire réaliser. Paypass."

Il montra sa carte de crédit. Attend quoi? Il allait faire quoi? Pourquoi il avait pas inventer une fausses heures? Il aurait dit lui dire 15h! Le faire réaliser comment?

"Hugo, je dois payer. Il y a file derrière moi."

Hugo ramena son attention derrière l'homme. Ah oui, il a raison. Il pianota sur la caisse et l'homme pu enfin payer ses breuvages. Mécaniquement, Hugo fit la commande et lui tendit en tremblant.

"Merci. Attend moi a 14h si je ne suis pas dèjà là. Je vais essayer de me libérer."

Puis l'homme partit avec ses breuvages en fixant les nouvelles notifications sur son téléphone.

TOME 1 Latte, Moka et Espresso (BXB)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant