Chapitre 16 : Paris

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Je me réveille. Je regarde mon portable, il indique 9 heures 20. Vite, je réveille les filles.

Moi : Léna, Marie ! Levez vous, on a un rendez vous à 13 heures !

Léna se lève en se frottant les yeux, et nous rejoins. Nous descendons, Marie rend les clés au réceptionniste, puis nous embarquons dans sa voiture. (NDA : Johann et Léna ont toujours des menottes, mais tout le monde pense que c'est un challenge.) Marie démarre, puis nous voilà reparti. J'envoie un message à James pour lui dire qu'on arrive, puis un a Ben, Sulivan et Jules pour leur expliquer la situation. Je regarde par la fenêtre, songeur. La voix de Marie me fait sursauter.

Marie : Je vous dépose ou dans Paris ?

Léna : Euh, à la Tour Eiffel.

Marie : Ok !

J'aperçois la Tour Eiffel en fond. On est enfin rentrer ! Même si je suppose qu'il va bientôt falloir repartir. Marie s'arrête pour nous laisser descendre.

Moi : Merci beaucoup de nous avoir emmenez !!

Marie : De rien !

Marie repart. Je m'approche de la Tour Eiffel, Léna sur mes talons. Nous prenons l'ascenseur pour descendre sous terre. Personne -à par nous qui avons des pass- ne peux descendre. L'ascenseur s'arrête, et s'ouvre sur James.

James : Vous voilà enfin ! Vous n'avez pas réussi à les libérés ?

Moi : Ça à été difficile...

Léna : Ils nous ont enfermés pendant plusieurs moi, puis nous ont relâcher. Il faut y retourner, Bilal et Phénicia y sont encore.

Moi : Léna non !

Léna : Bas quoi ?

Moi : Il a dit que si on alertait quelqu'un, il les tuerait !

Léna : Je t'ai déjà dis que nous n'avons pas d'autres solutions.

James : Il faut qu'on y aille sans qu'ils nous repèrent. Et ensuite, on entour leur base, puis on les oblige à sortir.

Moi : Mais ils seront morts !

James : Si ils ont le temps de les tués, il n'ont pas le temps de fuir. quoi qu'il se passe, ils préfèreront partir.

Moi : Mouais... Mais je te préviens que si Thomas les tues, t'es mort !

James : Bon, vous devez mangez et vous reposez avant que l'ont parte.

Léna : Attends, ça veut dire qu'on part là maintenant ?

James : Bien sur que non, nous partirons demain matin à 7 heures.

Point de vue de Phénicia :

J'ai très mal dormi cette nuit. Mes pensées sont encombrés par Bilal, je ne sais pas si il est encore vivant. La porte s'ouvre. De la lumière ! Quoique, je préfère que la porte reste fermer... Thomas se tiens dans l'encadrement de la porte.

Thomas : Alors, tu t'es décider ?

Moi : Jamais je ne vous apprendrais la maîtrise de l'eau pour que vous détruisiez tout !

Je commence à pleurer. Je n'en peux plus d'être enfermé ici. Je me lève, pour lui faire face.

Thomas : Parfait. Alors tu peux assister au spectacle.

Mais qu'est-ce qu'il insinue ? Il m'attrape par le bras, et me traine dehors.

Moi : Mais c'est quoi votre problème ? Ça vous sert à quoi de séquestrer des gens dans une grotte ?

Il continue à me tirer sans dire un mot. Je suis trop affaiblie pour me débattre. De toute façon je n'ai même plus envie. Il m'amène devant une vitre. Et derrière la vitre...

Moi : Bilal !

En entendant son prénom, il lève la tête, et son regard s'illumine. Il a l'air fatigué, mais je n'ai pas l'impression qu'on lui ai donné des coups. Il a l'air vraiment très faible. Déjà qu'il est très fin de base, mais là... Ça me fait du bien de le savoir toujours vivant. J'entends un rugissement. Et ce qui me semble être... Un lion ! Il entre dans la grotte. Bilal se paralyse. Je tente d'échapper aux mains de l'autre abruti, mais il me tiens vraiment fermement. Je recule, pour le taper contre le mur. Il lâche prise, et je me précipite vers la porte. Elle est verrouillé. Thomas reprend ses esprits et avance vers moi. Trois hommes viennent me prendre et me tenir devant la fenêtre pour m'obliger à regarder. Le lion s'approche tout doucement de lui, comme si il s'apprêtait à lui sauter dessus. Bilal est au bord de l'évanouissement.

Moi : Stop, arrêtez ! Je t'apprendrai la maîtrise de l'eau si tu veux, mais reprend ton putain de lion et laisse Bilal tranquille pour toujours !

Thomas : Parfais, tu deviens raisonnable.

Un homme rentre dans la grotte de Bilal avec un espèce de fouet. il ressort avec le lion, puis disparait. Je regarde par la vitre et je vois qu'il est tout pâle.

Moi : Je peux aller le voir ?

Thomas : Non. Tu m'as dis que tu m'apprendrais, n'est-ce pas ?

Moi : Je t'apprendrai demain. Je suis trop fatigué.

Thomas : Très bien, si tu veux, tu m'apprendra demain, sans faute, sinon, ça sera pire qu'aujourd'hui.

Moi : Je peux pas aller le voir ?

Thomas : Non.

Je jette un dernier coup d'oeil vers Bilal, puis une larme coule sur ma joue. Thomas me jette dans ma grotte. Je m'allonge par terre et je ferme les yeux.

PanicOù les histoires vivent. Découvrez maintenant