Phénicia D'Euphor, une jeune fille de 15 ans a appris la maîtrise de l'eau avec son oncle. Harcelée depuis la sixième à cause de son côté "trop efféminé" et d'un chanteur, elle va vivre une aventure hors du commun aux côtés de son idole, Bilal Hassa...
Thomas : Ah les petits cons ! Ils nous ont eu ! Tant pis pour eux, on les avaient prévenus !
Qu'est ce que ça veux dire ? Thomas referme la porte à clé. Je me retrouve dans le noir. Je sens une odeur de brûlé. Je me recule vers le mur, en comprenant ce qu'il se passe. Il ont mis le feu à la grotte ! Johann et Léna sont sûrement venu nous libérer ! Je m'acharne sur la porte pour qu'elle s'ouvre. Sa ne marche pas ! Je sens la température monter. Je m'écarte de la porte pour éviter de trop respirer la fumée. Je m'assois en priant pour que quelqu'un arrive très vite. Mais malheureusement, la fumée est plus rapide. Je commence à tousser. j'enlève mon tee-shirt pour le mettre sur mon visage, de sorte a faire un espèce de masque à gaz. Ça ne sert à rien. La fumée passe quand même. Je continue à tousser, mes yeux me brûlent. Ma tête tourne, mes poumons sont en feu, je cris pour que quelqu'un m'entende. Je tousse et je tombe par terre. Ma vision se brouille, je ferme les yeux.
Point de vue de Bilal :
Je sens une odeur de cramé. Vite, je me dégage de mes chaînes et cours vers la porte. Je l'enfonce avec un coup de pied. Elle était pas très bien fermé, Thomas à du partir précipitamment. Je vois des flammes. Je retourne dans la grotte, enlève mon tee-shirt et le trempe dans l'eau. je l'attache comme je peux autour de mon visage. Ça me fais repenser au corona virus, lorsqu'on a été confiné. Je reviens vers les flammes, et vois qu'elles se rapproche de plus en plus de la grotte ou est enfermé Phénicia ! J'entends un cri. Je me précipite vers la porte, et tourne la poignée. C'est fermé à clé ! Je cours vers le bureau de Thomas, prends les clés et reviens a la porte. Je l'ouvre, et vois Phénicia étendu par terre, son tee-shirt dans la main. Je la prends comme je peux et la sort. Je vois de la lumière. Un homme que je ne connais pas mais qui est très beau se trouve dans l'encadrement de la porte. J'espère que ce n'est pas Thomas ! Je commence à tousser, le masque n'est pas très efficace. Je monte les marches quatre à quatre, tant pis si c'est lui, c'est mieux que de mourir ici. Une fois en haut, je vois Léna et Johann qui nous attendent avec plusieurs policiers. Je dépose Phénicia par terre, enlève mon tee-shirt qui me servais de masque et commence à appuyer avec un mouvement régulier au dessus de sa poitrine pour tenter de réactiver son cœur. Sa y'est, je le sens battre ! Mais elle ne respire toujours pas. Je réfléchi à toute vitesse. Les pompiers ont réussi à éteindre le feu, et les policiers sont rentrés dans le repère. Tout les monde est autour de moi et me regarde. Je respire à fond et commence à lui faire du bouche à bouche. Après plusieurs minutes qui me semblent être un éternité, je vois sa main bouger très faiblement. Je me redresse, et je regarde Phénicia. Elle est très pâle. Elle tousse. Je la redresse et lui tape doucement dans le dos. Elle continue de tousser, la fumée à du beaucoup l'atteindre. Elle fini par souffler :
Phénicia : Merci.
Un infirmier viens vérifier si tout va bien, que son cœur bas à un vitesse régulière, qu'elle respire bien. Une fois son examen terminé, il repart. Je lui remet son tee-shirt et la prends dans mes bras. Elle n'a pas la force de marcher. Je la soulève doucement et la dépose dans une voiture. Puis je vais vers Léna et Johann, et leur saute dans les bras.
Moi : Vous pouvez même pas savoir à quel point vous m'avez manqué !
Léna : On a eu très peur pour toi, surtout quand l'incendie c'est déclaré.
Moi : Ou sont Thomas et les autres ?
Léna : On a pas réussi a trouver leur trace, désoler.
Moi : Ah... Et le mec là bas c'est qui ?
Léna : C'est James West, il fait partis des services secrets.
(Voici James West)
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Moi : Oh... Mais attend, comment t'es au courant ?
Léna : Hein, euh de quoi ? J'ai rien dis moi.
Moi : Léna, tu es agent secret ?! Et Johann aussi ?!
Johann : Non, non pas du tout...
Moi : Bas comment ça se fait que vous le connaissiez et que vous connaissiez son travail ?
Léna : Parce qu'on se connais depuis la seconde.
Moi : Mouais...
Je monte dans la voiture, à côté de Phénicia. Johann s'assoit à côté de moi, Léna monte devant, et James se place au volant. Je suis tellement content que tout ça soit enfin terminer !
