- Pauvre petit.....
- Il lui faudra du temps pour s'en remettre....
Il entendait des voix. Il essaya d'ouvrir les yeux. Il vit deux personnes, un homme et une femme, en blouse blanche, le regarder.
Il se souvint d'un coup des événements qu'il s'était passé, et se mit a paniquer. Où était-il ? Où était Anaïs ? Allait-elle bien ? Qui était ces gens ?
Les personnes avaient dû voir son air paniquer, car ils lui expliquèrent.
- Nous sommes des médecins, tu es a l'hôpital. Tu t'es évanouie, et des personnes nous ont appelé pour toi et ta soeur. No-
- Où est elle ? Est-ce qu'elle va bien ? Je peux la voir ? Demanda Camus, a toute vitesse. Il avait un mauvais pressentiment, et ce qu'il pensait se confirma, au moment où l'une des deux personnes prononça cette phrase.
- Toutes mes condoléances....
Le bleuté se sentie mal. Très mal. C'était sa faute. Si il n'avait pas insisté pour accompagner seul sa sœur, elle serait encore en vie. Si il avait réussi a faire attention, elle serait encore ici. Si il avait baissé sa garde, c'est parcequ'il était content de la confiance de ses parents. Plus jamais. Plus jamais, il ne veut ressentir de joie. Sans s'en rendre compte, il commença a pleurer. Les médecins essayèrent de le calmer, mais sans succès.
- Écoute, je sais qu'on ne te connait pas assez pour réussir a te calmer, mais donne nous le numéro d'un de tes parents ou responsable légaux, il faut que quelqu'un vienne te chercher, fit l'un d'eux.
- * donne un numéro *
Les médecins sortirent donc, pour prévenir ses parents.
Seul.
Seul.
Seul.
Plus jamais il ne la reverrai.
Jamais.
Il sera....
Seul.
Face à son chagrin.
Face à sa culpabilité.
Face à lui même....
Plus jamais.
Plus jamais, il ne veut ressentir de joie.
Ce sentiment illusoire, qui ne dure quelques secondes, avant de s'envoler, et de ne laisser derrière lui, que la peine, l'amertume, la rancœur, la tristesse.
Il était présent, mais son esprit était ailleurs.
Quand tout a coup, la porte s'ouvrit, sur sa mère, son père et son frère. Cela faisait combien de temps qu'il était la ? Il n'en avait aucune idée.
- TOUT ÇA C'EST DE TA FAUTE ! S'écria Alexandre, en larme. SI TU M'AVAIS LAISSÉ VOUS ACCOMPAGNÉ, RIEN NE SERAIT ARRIVÉ !
- Alexandre cela suffit ! Camus n'est pas responsable de ça, ce n'est pas sa faute, dit son père.
- SI C'EST SA FAUTE ! IL DEVAIT LA SURVEILLER ! C'EST SA FAUTE !
- Stop, Alexandre. Comme te l'as dis ton père, ce n'est pas de sa faute, et puis, je pense que lui même s'en veux, alors n'en rajoute pas une couche, dit leur mère, en s'approchant du bleuté, pour le prendre dans ses bras.
Voyant la scène, Alexandre, furieux, sortit de la chambre en claquant la porte.
- Ne t'inquiètes pas, il est juste sous le choque, il ne pensait pas ce qu'il a dit.... Fit sa mère, en lui caressant les cheveux.
Non. Il a raison. Il est la cause de cet accident. Si il n'avait pas harceler son frère pour y aller seul, elle serait encore la. Si il avait accepté le " non " de son père, elle serait encore la. Si il n'avait pas éprouvé de la joie..... Elle serait encore la.....
" Petite sœur..... Pardonne moi....."Petit chapitre, en attendant le prochain ! Je suis désolée de mon inactivité, j'ai fais une petite pose, mais je reprend l'écriture petit a petit !
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" Je T'aime A En Mourir " Saint Seiya + " Camus' Past "
FanfictionMilo ignore Camus depuis quelques temps, ce qui chagrine le Français. Mais alors qu'il était sur le point de commettre quelque chose d'iréparable, le Scorpion revient vers lui. Ce qu'ils ne savent pas, c'est que dans quelques heures se déroulera une...