" Je T'aime A En Mourir " Saint Seiya + " Camus' Past "

Camus's past 3

Chapitre assez court ! J'en suis désolée ^^'

Les jours passèrent, et Alexandre le détestait toujours autant. Cela faisait maintenant 2 semaines qu'Anaïs était morte, et cela avait changé la vie de toute la famille. La mère de Camus était toujours là pour lui, pour l'écouter, pour lui parler, le rassurer...... Son père, était certe moins présent, mais il lui a donné les clés de sa bibliothèque privé, et Camus s'amusait a lire tous les livres. Son père le faisait aussi étudier, et il parlait avec lui de sujets profond. Petit à petit, le cœur de Camus commençait a se reformer, mais il ne voulait toujours pas ressentir la joie. Un jour, il rentra des cours, comme d'habitude, quand il entendit des bruits, des cris dans la maison. Son père travaillait, donc ça ne pouvait être que sa mère et son frère. Ils n'arrêtaient pas de se disputer. Alexandre en voulait a sa mère d'avoir pardonné Camus, et il était souvent la cause de leurs nombreuses disputes. Il rentra dans la maison, et se dirigea vers les cris. Il ne savait pas pourquoi, mais il avait un mauvais pressentiment. Il arriva, devant la porte de la pièce. Il n'y avait plus rien. Plus aucun bruit. Il hésita, attendit quelques secondes, réfléchissant a ce qu'il devait faire. Il prit donc sa décision, puis ouvrit la porte.
Qu-quoi ?

Non....
Ce n'était pas possible.....
Il en était vraiment.... Arrivé la ?
Il avait vraiment fait ça... A cause de lui ?
Alexandre, plein de sang, venait de poignarder sa mère. Il tourna sa tête, lentement, vers Camus. Ses yeux étaient vide. Dénudés de sentiments. Sa mère était encore un peu vivante, il l'a voyait respirer.
- Ca....mus.... Pars.... Cours.... Ne reviens pas..... Tant que.... La police ne l'aura pas arrêter..... Pars.... Sauve toi.... Dit elle, en chuchotant, a bout de force.
- Je crois en toi. Tu feras de grande chose, Camus. Je t'aime, prend soin de toi.
Il ne réussit pas répondre, tellement il était apeuré. Son frère commença a se diriger vers lui, et sans qu'il ne réfléchisse, ses jambes coururent d'elle même, et il partit, courut, jusqu'à ne plus sentir ses jambes. Il était arrivé devant les bureaux de son père. Il entra dans le bâtiment, et vit son père, avec la police. A peine l'a t-il vue qu'il s'évanouit, d'épuisement.

Il avait mal.
Très mal.
Sans lui, tout cela ne se serait pas passer.
Alexandre avait raison, il n'aurait jamais dû être pardonné.
La preuve, a cause de lui, une autre personne était morte.
Il n'aurait pas existé, elle serait toujours vivante.
Il n'avait même pas pu lui dire qu'il l'aimait.
Même pas.
Jamais.
Plus jamais il ne veut faire confiance.
Il avait confiance en Alexandre, et celui si l'a trahi.
La confiance...
Ce sentiment inutile,
Qui sert juste a avoir mal quand la personne en qui nous avons confiance nous a trahi.
Nous n'avons besoin de personne pour vivre.
Par conséquent, ce sentiment est inutile, appart être faible.
Jamais.
Plus jamais il ne veut avoir peur.
Si il n'avait pas eu peur, il aurait pu sauver sa mère. Il aurait pu lui dire qu'il l'aimait.
Cette émotion, qui sert juste a nous faire perdre nos moyens, lorsque nous la ressentons.
Jamais.
Plus jamais il ne les reverra.