Pdv DarylJe ne cesse de faire des allés retour en essayant de réfléchir. mais en vain. Tout se chamboule dans ma tête.
- Si on était ensemble, pourquoi tu n'as pas tenté de me faire retrouver la mémoire, il y a quinze ans ?
- J'ai essayé Daryl, je te le jure. Mais on me l'a interdit, avoue-t-elle. Le jour où tu t'es réveiller, j'étais présente. Mais on ne m'a pas laisser te voir.
- Pourquoi ?
- Parce que ton frère pensait que c'était peut-être l'occasion pour toi de changer de vie.
- Attends. Tu es en train dee dire que Matt t'as interdit de me voir ?
- C'est exact. Jamais je ne t'aurais laisser sinon Daryl. Jamais !
J'en reviens pas. Pourquoi Matt s'est-il permis de prendre cette décision sans m'en parler après coup ?!
- Quel genre d'homme j'étais ? Qu'est ce que j'ai bien pu faire dans la vie pour que mon frère décide de me laisser sans souvenir ? Lui demandé-je.
- Tu étais chef de gang. Un puissant, chef de gang. Moi je faisais partie du FBI lorsque je t'ai rencontré pour ma mission. Je devais récolté des informations sur ton gang et toi, alors je me suis infiltré.
- C'est vrai ?
- Oui. Mais la mission a était un échec, car je suis tomber folle amoureuse de ma cible. Alors après quelques péripéties, on a était en cavale tout les deux. Mais on s'en fichait, parce qu'on était ensemble.
- Comment ai-je pu vivre un vie normal pendant 15 ans alors que je suis un putain de fugitif ?!
- Tu ne l'ai plus. J'ai fais en sorte que ton dossier redevienne vierge de tout cela. C'était la seule chose que je puisse faire pour toi, à distance. T'assurer une meilleure vie.
J'arrête ces incessant aller-retours et je place debout face à elle. Elle se met debout à son tour et se contente de le regarder, attendant certainement que je dise quelque chose. Ma main va d'elle-même près de son visage et carresse sa joue.
Katarina ferment les yeux instentanement et place sa main sur la mienne comme pour mieux savourer ce contact. Je comprend maintenant pourquoi j'étais tellement attiré par elle. Mon esprit ne s'en souvenait peut-être plus mais mon corps lui a continuer de réagir à sa présence et à son contact.
- Katarina, Ezio est ce qu'il...?
- Oui Daryl, m'avoue-t-elle, Ezio est ton fils.
Après toute ces révélations je sens comme un poids que l'on a retirer de mes épaules. Mais je réalise aussi l'ampleur des choses. J'ai un fils dont je ne connais rien ou presque. Fils qui déteste son père pour avoir abandonné sa mère.
J'attire Katarina dans les bras et la serre fort contre moi. Savoir tout cela redistribue les cartes à chacun, mais je ne peux m'empêcher de penser à Lexie. Cette histoire va la détruire mais on ne peux plus faire machine arrière. Du moins, je ne peux plus. Et je ne veux pas.
- Pardonne-moi Katarina, lui demandé-je. Pardon de t'avoir fais attendre pendant tout ce temps.
- J'ai tellement attendu le jour où tu viendrais me retrouver.
- Je suis là maintenant, lui dis-je en prenant son visage en coupe, et je te fais la promesse que plus jamais je ne repartirais.
Ses yeux se remplissent de larmes. Nos visages se rapprochent, dans une lenteur extrême, jusqu'à ce que nos lèvres entrent en contact. Katarina soupir de bien-être et s'accroche désespérément à la peau de mon cou.
Ce chaste baiser en surface réveil en moi des sensations que j'avais oubliées. Je met fin au baiser et la regarde mais celle-ci en décide autrement et se jette sur les lèvres pour un baiser beaucoup plus passionné.
Tout le rend fou chez cette femme. Ses lèvres, ses yeux, sa peau. Et cette odeur qui me paraît si familière.
- Tu sens si bon Katarina, lui avoué-je entre deux baisers.
- Beurre de Karité, répond-t-elle, ton odeur préfèré.
Tout s'accélère très vite lorsque Katarina le pousse contre le pied de son lit et le fait tomber sur celui-ci, avant de se placer à califouchon sur moi.
Je sens que je commence à perdre le peu de contrôle qu'il me rester mais il m'est impossible d'arrêter.J'inverse alors subitement les rôles, me retrouvant au dessu. Je cesse notre m'aider et la regarde. Cette dernière est légèrement essoufflé par notre baiser, plus que fougueux, ete regarde sans sourciller.
Mon regarde glisse ensuite sur le nœud de sa serviette qui tient cette dernière fermement en place, et tire sur celui-ci. J'attrape la serviette et l'envoi valser à l'autre bout de la chambre.
Mon regard glisse ensuite sur le corps totalement nu de Katarina. Je touche son corps du bout des doigts dans le but de la faire languir en guettant ses réactions. Puis finalement mes lèvres décident de prendre le relais. La respiration de Katarina se fait plus rapide et surtout plus bruyante.
Respiration qui se coupe lorsque les baisers se loge dans les endroits les plus intimes de son corps. J'observe chacun de ses réactions durant mes caresses. Comment ai-je pu oublier une femme comme celle-là ?
Après plusieurs minutes d'intenses caresse, Katarina se relève sur le coude et attire mon visage près du sien.
- Tu es délicieuse, Katarina, lui dis-je pendant que je me lèche les lèvres d'une manière plus que provocante.
- Daryl, je crois que j'ai assez attendu, me dit-elle avec difficulté.
Je continue à la faire languir quelques minutes encore, pour avoir encore le plaisir de la voir le supplier, avant de prendre à nouveau possession de son corps après toutes ces années.
La température de mon corps se met à grimpé comme dans mon rêve. Son corps et ses gémissements attisent mon corps et me désir pour elle. Je m'accroche al elle et elle s'accroche à moi. Comme si que nous avions peur d'être séparés à nouveau. Peur qu'elle ne m'échappe encore une fois.
Je n'ai peut-être pas récupérer l'intégralité de mes souvenirs perdus, mais j'ai la certitude d'une chose. C'est d'avoir récupéré la partie la plus importante de la vie.
____________
Fin du chapitre 13
VOUS LISEZ
ᒐo⳽ ᙅᥲɩ́ᑯo⳽ Ʈoຕᥱ 3 : Eᥒgᥱᥲᥒᥴᥱ ᥱt Asᥴᥱᥒdᥲᥒᥴᥱ - (ɪɪƖ ɗαяуƖ) [ᴛєяຕɪηє́є]
FanfictionPlus d'une décennie a passé depuis son envole pour l'Italie. Après avoir donner les rennes de son Cartel a son ami de toujours, Ricardo, Katarina mène une vie plus simple avec son fils, Ezio, qu'elle élève seule. Élever un adolescent de 15 ans n'es...