Chapitre 17

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Pdv Katarina

Le regard d'Ezio se fait dur' Daryl se contente de regarder son fils froit dans les yeux sans sourciller, ce qui a jugement le don de déstabilisé celui-ci.

- Ezio, regarde-moi ! Crié-je dans le but d'attirer son attention.

Mon fils glisse une regard vers moi sans pour autant baissé son arme. C'est le moment, il faut que je lui dise.

- Je t'en prie, ne fait pas ça, le supplié-je, il a une bonne raison pour être parti.

- Ah parce que maintenant il existe des raisons valables pour pouvoir abandonné sa famille ?

- Si il nous a laissé, c'est parce qu'il ne se souvient pas de nous. De moi.

- Arrête de lui trouver des excuses !

- Il a eut un accident y'a 15 ans, qui l'a rendu amnésique ! Je t'expliquerai tout dans les moindres détails mais par pitié Ezio, le supplié-je à nouveau, je ne veux pas le perdre une nouvelle fois.

Mon fils me regarde droit dans les yeux. Je vois que les paroles l'ont touchées. Il rapporte ensuite son attention sur Daryl, tenant toujours fermement l'arme devant la tête de son père. Maccini s'approche alors à nouveau de lui et lui chuchote quelques chose à l'oreille que j'arrive à comprendre sans mal en lisant sur ses lèvres.

- Tu veux être un homme, Ezio ? Alors agis comme un homme. Tire, lui ordonne-t-il.

Ezio reste comme paralysé pendant plusieurs secondes avant de retourner l'arme contre Maccini.

- Je peux pas faire ça, dit Ezio.

Je soupir de soulagement. Mais je ne peux m'empêcher de paniquer lorsque je vois Maccini s'approcher de mon fils.

- Quelqu'un doit mourir, gamin. Si tu ne t'en charge pas, je le ferais moi-même.

- Je peux pas. Je veux pas, lui répond Ezio.

Les mains d'Ezio sont légèrement tremblantes à mesure que Maccini se rapproche de lui.

- Très bien, gamin. Tu l'auras voulu, dit Maccini en lui arrachant habilement l'arme des mains.

Maccini se retourne subitement vers Lexie qui le regarde apeuré. Il s'approche d'elle et la force à regarder Daryl.

Ce dernier se débat comme il le peut, mais les liens sont fortement serrés et un homme de Maccini le maintient fermement.

Maccini place le canon de son arme sur la tête à Lexie, qui se met à sangloter fortement. Il ne va quand même pas la tuer la comme ça sous nos yeux, sous ses yeux. Je ne peux pas laisser faire ça. Même si, je sais que Daryl m'aime, je sais qu'il a également des sentiments pour elle. Cela se voit à sa manière de se débattre.

je ne peux me résoudre à la laisser se faire tuer ainsi.

- Dis-lui adieu Ortega, dit Maccini à Daryl.

Maccini s'apprête à appuyer sur la détente.

- Maccini, ne lui fait pas de mal !

- Et pourquoi ça, Katarina ? Tu as une proposition à me faire peut-être ?

- Laissez-les tous s'en aller. Si tu veux te vanger de Daryl, c'est à moi que tu dois t'en prendre. Pas à elle.

- Ooh, mais voilà quel grand sacrifice, Katarina, dit-il en retirant l'arme du front de Lexie. Tu serais prête à donner ta vie pour chacun d'eux ?

- Si il le faut, je le ferais.

Daryl me regarde au loin et se débat, tentant même de parler, bien que son bâillon bloque tous les sons sortant de sa jolie bouche.

Maccini s'accroupi de nouveau face à moi. Il me regarde longuement.

- Bien. Après tout, qui refuserai une telle beauté à ses côtés, dit-il en portant une mèche de mes cheveux à son visage, pour sentir leur odeur.

Maccini se relève et demande à l'un de ses hommes de m'emmener. Ce dernier m'attrape par l'arrière de mon haut et me tire pour me remettre sur mes jambes.

- Non, maman ! Cri Ezio en essayant de s'approcher de moi. Mais ce dernier est retenue par canon que Maccini lui a placer sur une tampe.

- Je te déconseille de tenter quoi que ce soit gamin, le menace Maccini.

Le gorille de cet enfoiré commence à m'enmener

- Ezio mon chéri tout va bien aller, d'accord ? Reste avec ton grand-père. T'en fais pas pour moi !

Puis un tissu est placer sur ma bouche. Une forte odeur s'en dégage et je fini par perdre connaissance.

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Pdv Ezio

Cet enfoiré emmène ma mère qui fini par disparaître de mon champ de vision. Maccini s'approche de moi et me maîtrise avant de me ligoté moi aussi, puis il pars en riant aux éclats. Il nous laisse là, attachés comme des chiens.

Lorsque les hommes de Maccini quittent la pièce, je remarque un débris de verre un peu plus loin. Je me déplace comme je le peu, jusqu'à ce dernier, sous les yeux de mon grand-père. J'attrape le débris est essaie de couper mes liens mais c'est d'une difficulté incroyable.

Je perd un temps fou à me défaire de ces choses mais je fini tout de même par y parvenir après plusieurs essaies.

Une fois debout et débarrasser de ses liens je cours vers mon grand père et en fait de même pour lui.

Quelques minutes plus tard tout le monde est détaché. Lexie se jette de les bras de... Lui. Il la serre contre lui et lui demande si elle a mal quelque part. Quand je pense que ma mère a donner sa vie pour ce type qui a sa femme, ça me répugne.

Je le vois commencer à s'approcher de moi mais je n'ai aucune envie de lui parler. La seule chose que je désire à l'heure actuelle, c'est de retrouver ma mère.

- Grand-père ! Il faut aller délivrer maman ! On peu pas l'abandonner.

- Mon garçon. Je n'ai jamais abandonné qui que ce soit. Nous irons chercher ta mère mais pour l'heure, il faut tous vous mettre en lieux sûr.

Nous sortons tous de cette maudite pièce et parcourons la demeure totalement détruite et criblée de balle. Mon grand père ouvre la marche suivi de près par l'autre connard.

Quand je pense que cet enfoiré était sous mes yeux depuis des jours entiers.

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Fin du chapitre 17

ᒐo⳽ ᙅᥲɩ́ᑯo⳽ Ʈoຕᥱ 3 : Eᥒgᥱᥲᥒᥴᥱ ᥱt Asᥴᥱᥒdᥲᥒᥴᥱ - (ɪɪƖ ɗαяуƖ) [ᴛєяຕɪηє́є]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant