Chapitre 18

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Pdv Daryl

Nous sommes en voiture et faisons route vers un lieux inconnus. Une fois arriver à destination, Matt reste à l'écart pour tenter de joindre Sirèna au téléphone, quant à Ezio et Ricardo, c'est dernier parle à une homme d'un certain âge.

Je me retrouve alors seul avec Lexie, qui est encore terrorisée.

- Ça va aller ? Lui demandé-je, inquiet.

- Oui enfin... je pense, me dit-elle la tête baissée.

Il faut qu'on parle, elle est moi. Je sais que cette dernière a entendu les propos de Maccini concernant notre passé à Katarina et moi. Elle doit se poser tellement de questions..

- Lexie écoute, il y a certaines choses que je me dois de te dire...

Lexie lève les yeux et le regarde.

- C'est inutile Daryl, me dit-elle, je sais ce que tu vas me dire.

Je la regarde longuement. Cette dernière prend une grande inspiration avant de continuer.

- Il y a deux ans, tu as parler dans ton sommeil. Ton rêve avait l'air d'être mouvementé et tu n'arrêtais pas de demander après elle. Tu disais son prénom en boucle en dormant.

Je reste choqué par ce qu'elle m'apprend.

- J'étais inquiète, alors je suis aller en parler à ton frère et c'est là qu'il expliquer que cette femme avait été l'amour de ta vie, mais que ton amnésie l'avais totalement rayée de ta vie.

Je m'appuie contre la voiture avec nonchalance. Cette dernière ce met à renifler du aux larmes qui commencent à coulées sur ses joues.

- J'ai de suite su qu'un jour où l'autre, ta mémoire te reviendrai. Mais j'ai garder espoir que même tes souvenirs retrouvés, tu resterai quand-même à mes côtés. Puis, nous avons fait ce voyage. J'ai su que je t'avais perdu à l'instant même où tes yeux se sont posés sur elle.

- Lexie, j'ignorais réellement à ce moment là qui elle était, je te le jure.

- Je le sais que tu ne t'en souvenais pas. Mais ton cœur lui s'est souvenu. Alors j'ai prétexter un imprévu de dernière minutes pour partir. Je ne voulais pas te voir peu à peu m'échapper alors j'ai préférer la fuite.

- Lexie. Je suis profondément désolé pour tout ça. Tu ne mérite pas toute cette peine et cette souffrance à cause de moi. Tu as étais présente pour moi durant touts ces années mais...

- Ta place n'est pas auprès de moi Daryl. Je le sais. Je le vois. Je vois clair à présent.

- Tu ne m'en veux pas ? Tu devrais me détester, me gifler, me dire toutes les atrocités du monde. Alors pourquoi tu ne fais rien de tout ça ?

- Car parfois, par amour, le bonheur de celui qu'on aime passe avant le notre. Même si pour cela il faut renoncer à lui.

Je ne peux m'empêcher de m'approcher d'elle et de la prendre dans mes bras. Cette dernière s'approche au dos de ma chemise en pleurant à chaudes larmes. Puis notre étreinte cesse et Lexie regarde longuement sa bague avant de la retirer. Elle la tiens du bout des doigts et me la glisse dans la main.

- Tu sais que quoiqu'il se passe, tu pourras toujours compter sur moi ?

- Je le sais Daryl, me répond-t-elle, je le sais.

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Pdv Ezio

Plusieurs jours n'ont passés, depuis que ma mère a été enlever par ce grand malade, et beaucoup de choses se sont passées également. Plusieurs heures après s'être échappés mon grand-père à appris, de la part de certains de ses hommes, que Maccini aurait quitter Naples.

D'après certaines sources ce dernier aurait était aperçu sur son immense yacht, en pleine mer Tyrrhénienne. Grand-père pense qu'il se dirige vers la Sicile. Plus précisément à Palerme ou se dernier aurait la majeur partie de ses hommes. Après tout la Sicile est réputée pour avoir était le lieux de résidence des plus grands mafieux que l'Italie ait connue.

Grand-père nous a donc emmener chez un de ses vieux amis à lui, Lino, qui vit à Trapani. Ce dernier possède des grandes terre agricole et à accepté de nous accueillir sous son toi le temps que les renforts arrivent.

J'ai également longtemps parler avec mon grand-père qui m'a révélé ce que j'ignorer sur ma mère et sur lui. Je ne m'attendais pas à ce que ma mère soit une ancienne chef de Cartel et à ce que mon grand-père en soit l'actuel.

J'étais tellement en colère quand j'ai su de la bouche de Maccini qu'elle m'avait menti. Mais j'ignorais les raisons exacts de tout ses mensonges. La raison, c'était ma sécurité. Et comme un pauvre abrutis j'ai réduis à néant ce que ma mère s'est tuée à construire durant toutes ces années.

Et pour couronner le tout ma mère et retenue prisonnière par un détraqué. Par la faute. Tout ça parce que je voulais assouvir mon désir de vangeance sur mon père. J'ai mis la personne qui m'est le plus chère au monde en danger de mort, tout ça pour des broutilles sans importances.

Daryl à tenter à plusieurs reprises de venir me parler. Mais je le fuis. J'ignore la raison qui me pousse à m'éloigner de lui à ce point.

J'ai plus de faciliter à m'ouvrir à Matt. C'est un gars sympa.. si on oubli le fait qu'il soit en réalité mon oncle. Sa femme nous a rejoint escorté de son garde du corps personnel que lui avait donner grand-père.

Mise à part cela je passe mes journées à m'entraîner. Cela me permet de me vidé la tête. À trop penser je vais finir par devenir dingue. Je fais donc de l'exercice avec les moyens du bord, dans une vielle grange.

Alors que je fais des tractions, suspendu à une des vielles poutres, la voix de Matt se fait entendre.

- Ça s'entraîne dur par ici, dit-il en me regardant d'en bas.

J'arrête mes tractions et repose mes pieds sur le sol.

- Il faut bien, je tiens plus en place, lui dis-je en reprenant mon souffle.

- Ça te dit d'échanger quelques frappes ? Me demande-t-il en me montrant de vieux gants de boxe accroché au mur de la grange.

- Si tu veux. Mais viens pas chialer si je te pète le nez, lui dis-je tout en enfilant les gants.

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Fin du chapitre 18

ᒐo⳽ ᙅᥲɩ́ᑯo⳽ Ʈoຕᥱ 3 : Eᥒgᥱᥲᥒᥴᥱ ᥱt Asᥴᥱᥒdᥲᥒᥴᥱ - (ɪɪƖ ɗαяуƖ) [ᴛєяຕɪηє́є]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant