Chapitre 22

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Pdv Ezio

Daryl et Matt passent plusieurs minutes à expliqué ce qu'il savent de Maccini, et lui disent également où il se trouvent.

- Il faudrais que vous rentriez en contact avec interpol pour que l'on ait leur soutient, lui dit Matt.

- Et qu'est-ce qui me dit que ce que vous me dites est vrai ? Nous demande Andrew. Qu'est ce qui me dit qu'il sera réellement là le jour j ?

- C'est la vie de ma mère est en jeu. Vous pensez réellement qu'on vous mentirez même en sachant cela ?!

Andrew reste silencieux quelques minutes et regarde le plan de la carte que nous lui avons dessiner sur une des nombreuse feuille sur son bureau. Ce dernier semble réfléchir.

- Admettons que j'arrive à convaincre interpol. Ces dernier ne nous aiderons pas pour autant. Ils seront certainement d'accord pour cueillir Maccini et le mettre sous les verrou, mais de la à lever le petit doigt...

- Alors comment allons nous faire ?! Les autorités italiennes sont toute a la botte de Maccini. Seul interpol peux intervenir là-bas.

- Sauf si j'arrive à convaincre interpol de laisser une équipe des forces spéciales se chargé du "paquet" à leur place.

- Vous pensez pouvoir être en mesure de faire ça ? Demande Daryl.

- C'est possible. Je ne peux malheureusement pas prévoir leur décision à l'avance mais si ce que vous me dite est avéré, alors il n'y a pas de raison qu'ils soientt contre, nous dit le directeur Davis. Interpol essaie de coincé ce fumier depuis des années.

Après une bonne heure de discution, les frère Ortage et le Directeur Davis trouve enfin un moyen d'entente. Celui-ci nous indique qu'il nous contactera lorsqu'il aura du nouveau dans les jours à venir et qu'il faut qu'on breste sur New-York. Ce plan est du pain béni. Il est bénéfique a la fois pour nous, mais également au Directeur Davis et à interpol qui frapperont fort la Mafia italienne.

Nous retournons à l'hôtel et commence alors une longue, même très longue attente. Dieu seul sais ce que ce fou est en train de faire subir à ma mère a l'heure qu'il ait.

Je suis tranquillement dans ma chambre près l'énorme baie vitrée donnant me donnant une vue imprenable sur l'effervescence de la ville de New-York au couché du soleil. J'entends quelqu'un toquer à la porte avant que celle-ci ne s'ouvre. Des pas s'approche de moi et Daryl vient se positionner face à moi, également assis contre la baie. Personne ne parle durant plusieurs minutes jusqu'à ce que sa voix brise la silence pesant.

- On va la sortir de ce merdier, Ezio. Je te promet que d'ici peu de temps tu seras de nouveau auprès d'elle.

- J'ai l'impression d'étouffer lorsqu'elle est pas là, tenté-je de dire difficilement, à cause de cette boule de merde qui me broie la gorge.

Par pudeur mais surtout par fierté, je ravale difficilement mes larmes. Je dois être fort. Je ne peux plus me permettre d'être faible. Daryl voyant probablement mes yeux légèrement humides, ce dernier me tapote le genou de sa main voulant attiré mon attention.

Nos regards se croisent et ce dernier ouvre ses bras et me regarde longuement.

- Aller, viens là. Te voir comme ça me fait de la peine, me dit-il.

J'ignore pourquoi a ce moment mais mon corps bouge de lui même pour aller se logé contre lui. Ses bras se referment alors instantanément contre mon dos.

- Si tu parles de ça à qui que ce soit je te brise les dents, le menacé-je ironiquement.

Daryl ce met à pouffer silencieusement avant de répliquer.

- Y'a pas à dire, t'es bien mon fils.

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Pdv Katarina

Ce vieil homme me torture depuis maintenant plusieurs jours. Je n'ai plus la force de lutter. Ce dernier temps un homme en costard prend un malin plaisir à venir assister au spectacle, confortablement installé dans son fauteuil préalablement installé ici pour l'occasion.

La voix du vieil hme se fait soudainement entendre pour la première depuis que cet enculé me torture.

- Elle est prête.

- Tu en es sûr ?

- Oui.

- Merci. Tu peux y aller.

L'homme en costard s'approche de moi et colle presque son visage au miens. Voyant que mon regard semble divaguer, ce dernier se met à claquer des doigts devant ce dernier pour attiré mon attention.

- Sais-tu qui je suis ? Me demande-t-il.

Pour seule réponse je hoche négativement la tête.

- Très bien. Je m'appelle Giorgio. Et toi dis-moi, comment t'appelles-tu ?

Je tente de réfléchir mais rien me ne vient qui suis-je ? Je dois bien avoir un nom... Voyant que rien ne me revient en tête les larmes me montent au yeux.

- Je ne... sais pas. Je ne m'en rappel pas...

- Ce n'est pas grave bella, me dit-il en essuyant les larmes qui coulent le long de mes joues. Je vais tout te dire. Tout ce que tu as oublier.

Les mains de cet homme, Giorgio, défait les liens que me maintenaient fermement ligoté a cette chaise et ce dernier passe ses bras sous me jambes pour me soulever.

Ce dernier me sort de cette pièce horrible et la lumière du soleil me brûle la rétine. Qui est cet hme et qu'est ce que je fais là ? Pourquoi ce vieille homme me torturé t-il ainsi ?!

Toujours dans les bras de ce Giorgio, ce dernier pénétre dans une immense pièce lumineuse à souhait ou trône au milieu de celle-ci une baignoire en or. De l'eau chaude, encore fumante, se trouve à l'intérieur de cette dernière. Il me rapproche de la baignoire bet me pose délicatement afin que mes pied touche le sol.

Puis lentement Girogio me retire les seules morceaux de tissus qui couvraient mon corps et me regarde longuement.

- Tu es divine, bella. Même sous tous les angles.

- Je m'appelle Bella ?

- Non. Tu t'appelle Rina.

- Rina, dis-je faiblement.

Puis Giorgio me prend la main et m'invite à rentrer dans le bain. L'eau chaude sur ma peau abîmer me fait légèrement gémir de douleur. Uen fois totalement immergé Maccini s'accrouppi près de mon visage et caressé mes cheveux humides.

- Tout va bien aller, Rina. Tu seras bientôt parfaite.

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Fin du chapitre 22

ᒐo⳽ ᙅᥲɩ́ᑯo⳽ Ʈoຕᥱ 3 : Eᥒgᥱᥲᥒᥴᥱ ᥱt Asᥴᥱᥒdᥲᥒᥴᥱ - (ɪɪƖ ɗαяуƖ) [ᴛєяຕɪηє́є]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant