ᒐo⳽ ᙅᥲɩ́ᑯo⳽ Ʈoຕᥱ 3 : Eᥒgᥱᥲᥒᥴᥱ ᥱt Asᥴᥱᥒdᥲᥒᥴᥱ - (ɪɪƖ ɗαяуƖ) [ᴛєяຕɪηє́є]

Chapitre 15

Pdv Katarina

J'ouvre rapidement la porte sans la moindre hésitation. Cette dernière laisse apparaître la silhouette de mon père de coeur, Ricardo.

En me voyant il m'ouvre ses bras et je court m'y réfugié. Depuis combien d'années ne nous sommes-nous pas vu ? Quatre ans ou peut-être plus...

- Salut ma puce.

- Salut, Ricardo.

- Je te ferais bien tout les câlins du monde, mais on a un ritale a exterminé.

Je reconnais bien là Ricardo. Du haut de ses soixante-cinq années de vie, il est toujours autant en forme et près a en découdre pour défendre sa famille.

Je lui explique ce qu'il s'est passé sans omettre le moindre petit détail. Ricardo m'informe que plusieurs des hommes des Los Reyes sont venu avec lui pour nous prêter main-forte.

Ricardo à également fait des recherches car un homme comme Maccini, passe rarement inaperçue. Il a eut vent que Maccini aurait été aperçu en ce moment même à Naples.

C'est a plusieurs heures de routes d'ici mais nous pourrions y être rapidement, si l'on ne respecte pas les limitation de vitesse. Je sais qu'avant qu'il devienne le nouveau parrain, Maccini avait une résidence secondaire sur les hauteurs de Naples.

C'est sûrement là-bas que se trouve mon fils. Mais Maccini est un homme prudent, il a sûrement déjà doublé ses hommes de mains et la sécurité.

Daryl sort soudainement de la salle de bain, une simple serviette nouée autour de la taille. Il s'approche de nous sous le regard surpris de Ricardo qui ne s'attendait pas à le voir ici après toutes ces années.

- Je ne m'attendais pas à le voir ici, me dit Ricardo. Sa mémoire est revenue ?

- Non que partiellement pour le moment, mais on y travail.

- Ouais, je vois ça, me dit-il en regardant les deux lits côte à côte.

Il est vrai que l'un est défait et l'autre et encore parfaitement fait. Je propose à Ricardo que nous allions dans la chambre de Matt afin de parler d'un plan. Tout le mnde doit être au courant de la marche à suivre.

Une fois Daryl avec des vêtements sur le dos nous allons jusqu'à la chambre de son frère. Ce dernier nous ouvre la porte avec une tête à faire peur. Sa lèvres inférieur est légèrement fendue et gonflée, quant à sa promette gauche celle-ci aura un bon gros cocard d'ici quelques jours.

Je glisse un regard vers Daryl, qui soutient mon regard. C'est lui qui a fait ça ?

Nous parlons ensemble durant de très longues minutes de ce que Ricardo sais à propos de Maccini. En plus d'être incroyablement influant, il est aussi sans pitié et terriblement dangereux.
En même temps, on ne devient pas le parrain de La Cammora avec des gentillesses.

- C'est clair pour tout le monde ? On entre, on tue tout ce qui bouge d'un orteils et on reprend Ezio des mains de ce taré. Lui, j'en fais mon affaire, nous dit Ricardo.

- Désolé de te décevoir Ricardo, mais Maccini est à moi. Ce fils de pute s'en ai pris à mon fils, lui dis-je.

- Bien. Si quelqu'un veux se désister, c'est maintenant. Après il sera trop tard pour faire marche arrière.

Je les regarde tour à tour. Mon regard fininpar se poser sur Matt, il serai normal qu'il reste auprès de sa femme enceinte. Les risques son trop grand.

Il capte mon regard et regarde ensuite Sirèna, avant de lui caressé tendrement la joue.

- Si Ezio est dans cette situation c'est en partie ma faute. Il faut que j'y aille ma puce. Je lui dois bien ça, dit-il a sa femme en la prenant dans ses bras.

- T'es sûr de toi ? Lui demande Daryl sans un regard.

- Certain. Je viens avec vous. Mais je veux qu'un de vos hommes veille sur ma femme.

Ricardo appel un de ses hommes et lui ordonne de rester avec Sirena.

- Il veillera sur elle, soit en sûr, le rassure Ricardo.

_________________

Pdv Ezio

Depuis combien de temps suis-je dans cette pièce à attendre ? Maccini ma promis qu'il me ramènerai mon père mais je n'ai encore aucune nouvelle de lui. D'après les conversations que j'entends à travers la porte de la chambre, dans laquelle je suis enfermée, ma mère serait en route pour venir me retrouver.

J'ai encore du mal à imaginer ma mère comme ce genre de femme. Une femme prête à donner sa vie pour son pays, une femme prête à mentir à son fils tout le long de sa vie et tout ça dans quel but, au juste ?

Maccini ma promis qu'aucun mal ne serait fait à ma mère si elle parvenait à arriver jusqu'ici. Ce dernier m'a dit être un homme avec une parole. Nous verrons cela.

Une fois que ma mère lui aura ramener son ami, qu'elle aura fait évader, je pourrais enfin mettre un visage sur l'enfoiré qui nous a abandonner elle et moi. Et maman et moi, nous pourrons rentrer chez nous. Reprendre notre vie comme si de rien n'était.

Un homme rentre soudainement dans la chambre et me demande de le suivre. Maccini souhaite apparemment me me voir et pourquoi je l'ignore. Peut être est-ce enfin le moment où il va me présenter qui est mon salopard de père.

J'arrive dans une pièce faiblement éclairée à la bougie, les rideaux tirés, où se trouve une personne, ligotée sur une chaise, s'y trouve. Il s'agit d'une femme mais J'ignore qui elle est car son visage et cacher par un sac en toile de jute. Maccini me regarde et me demande d'approcher, ce que je fais.

- Ezio viens là, mon grand. J'ai une bonne nouvelle pour toi, me dit-il en posant sa main sur mon épaule. Ton père est ici en ce moment même.

- Et elle c'est qui ? Lui demandé-je en montrant la personne d'un signe de la tête.

- Oh ça ? Un simple dommage collatéral. Rien d'important, du moin pour le moment.

Je peux entendre d'ici la femme gémir. Gémissement camouflé légèrement à cause du bâillon qu'elle a sûrement sur la bouche. J'ignore ce qu'elle a pu faire pour en arriver là.

Des coups de feux se font soudainement entendre dans la villa. Le bruit se rapproche de plus en plus et je vois Maccini charger deux pistolets avant de place l'un des canon sur la tête de la pauvre femme.

Il glisse un regard vers moi et souris légèrement.

- N'oublie pas. Fais ce que je te dis et tout se passera bien. Rien ne sera fait à ta mère et comme convenu je t'apporterai ton père sur un plateau d'argent mon garçon.

___________________

Fin du chapitre 15