ᒐo⳽ ᙅᥲɩ́ᑯo⳽ Ʈoຕᥱ 3 : Eᥒgᥱᥲᥒᥴᥱ ᥱt Asᥴᥱᥒdᥲᥒᥴᥱ - (ɪɪƖ ɗαяуƖ) [ᴛєяຕɪηє́є]

Chapitre 16

Pdv Ezio

Je me tiens derrière Maccini. Les raffales de coups de feux se rapprochent et quatres des hommes de Maccini nous rejoignent, tous armés jusqu'aux dents, et se poste devant nous arme aux poings.

Puis soudainement l'énorme porte se trouvant devant nous s'ouvre avec fracas et laisse entrevoir une silhouette qui me semble familière.

Bordel de merde mais qu'est ce que mon grand-père fou là, une arme à la main ?! Ce dernier est suivi de ma mère et des deux clients qui logent chez nous.

Bordel mais qu'est ce qu'ils foutent ici ces deux-là ?!

Tous arrivent avec des armes à la main. Ils se trouvent la face à nous et surtout face aux hommes armés lorsque Maccini prend la parole.

- Hé bien, nous voilà dans ce qu'on dirait être une émouvante et touchante réunion de famille ! Leur dit Maccini le canon toujours placer sur la tête de la femme. Lâchez vos armes ou vous ne sortirez jamais d'ici vivants.

Ma mère me lance quelques regards afin de s'assurer que je me porte bien. N'obtennant aucun réaction de leurs part Maccini pris de nouveau la paorle sur un ton plus menaçant que le premier.

- Je vois, ça veut jouer les durs ! Très bien ! Voyons voir jusqu'où vous êtes prêt à aller dans ce cas, dit-il en retirant le sac en toile de jute.

La femme sous le sac me rappel vaguement quelqu'un. C'est cheveux qui devaient être sans doute parfaitement coiffé son légèrement en pagaille et emmêlés à certains endroit. Quant à son maquillage celui-ci est définitivement ruiné à cause de ses larmes.

J'observe discrètement son visage et le reconnais enfin. C'est Lexie, la fiancée de Daryl !

- Lexie ! Cri Daryl. Espèce de fils de pute, t'es vraiment une pourriture ! Elle est innocente !

- Surveille ton language Ortega. Ça m'embêterai de devoir troué ce si joli visage, dit Maccini en frottant le canon de son arme contre le visage de Lexie. Je ne le répéterai pas. Lâchez vos armes !

Daryl lâcha son armes au sol, suivi de prêt par tout les autres. Les hommes de Maccini se dirige derrière chacun d'eux et les forces à se mètre à genoux, après leurs avoir pris leurs armes.

- Bien ! Voilà qui est mieux. Les choses sérieuses peuvent enfin commencées. J'ai hâte ! Se réjouis Maccini, en se frottant les mains

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Pdv Katarina

Nous sommes à genoux, les mains ligotées dans le dos. Matt, Daryl et Ricardo se retrouvent avec un bâillon sur la bouche, les empêchant de prononcer le moindre mot.

Maccini s'approche et s'accroupi devant moi, pour se mettre à ma hauteur.

- Ma chère et douce Katarina, dit-il en me caressant le visage avec l'un de ses doigts, plus de quinze ans ont passés et pourtant tu es toujours aussi belle. Le temps semble ne pas avoir d'emprise sur toi.

- Ne m'touche pas enfoiré, lui dis-je en rejetant sa main d'un coup d'épaule.

- Voyons soit poli Katarina, il y a des enfants parmis nous après tout, dit-il en m'indiquant Ezio d'un mouvement de tête.