Chapitre 24

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Pdv Katarina

Allongé a même le sol, j'attends le moment propice pour agir. L'homme de main de Maccini me tapote légèrement les joues dans le but de me sortir de mon état faussement comateux.

- Fait chier, dit ce dernier ne me voyant pas réagir.

Il se relève et me tourne le dos tout en prenant son talkie-walkie en main. Je l'entend clairement parler à Maccini. J'en profite alors pour me relever lentement, sans un bruit, et m'approche de lui par derrière. Je remarque son arme accrocher à sa ceinture de cuire noire. Sans qu'il n'ai le temps de réagir j'attrape cette dernière et lui tire une balle à l'arrière du crâne.

Son corps tombe lourdement sur le sol pendant que la voix de maccini, dans le talkie-walkie, tente d'avoir une réponse notre amis.

J'attrape le talkie-walkie et capte le message transmis par Maccini.

- Mario répond, tu m'entends ? C'était quoi ce coup de feu ? Terminé.

J'active alors le bouton de talkie-walkie pour parler à mon tour.

- Je regrette, Mario ne peux pas te répondre pour le moment.

Maccini rigole a travers l'appareil.

- Katarina. Pourquoi ne suis-je pas étonné ? Tu es plus coriace que je le pensais. Ce vieux fou n'est plus aussi doué qu'il l'était, jadis.

- Je viens pour toi Maccini. Peu importe le nombre d'hommes qui bossent pour toi, tu vas payer pour ce que tu as fais.

- Arrête, tu as presque réussi à me faire peur. Il y a une cinquentaine d'homme présent dans cette demeure.

Je regarde les alentours. Maccini n'est pas le genre d'hommes à laisser j'en aussi grande demeure sans surveillance et surtout sans caméra. Je suis certaine que celui-ci me cherche sur ses images a l'heure actuelle. Je repère rapidement j'en d'entre elle un peu plus loin et me glisse sous cette dernière afin qu'il puisse le voir.

- Ah, tu es là. Fais coucou à la caméra, bella. Mes hommes viennent pour toi.

- Je tuerai chacuns des tes hommes, Maccini. Et après j'en finirai avec toi une bonne fois pour toute.

- Tu n'as pas la moindre chance, Katarina.

- C'est ce qu'on va voir dans ce cas, dis-je en regardant la caméra.

Je sors du champ de vision de la caméra et me dirige vers notre amis que j'ai descendu quelques minute auparavant. Je fouille dans ses poches afin de récupéré ses chargeurs et attrape par la même occasion son canif.

Je prend ce dernier et entaille cette maudite robes dans la but de la racoursir un peu. Une fois assez à l'aise, je commence mon périple dans cette demeure de probablement plusieurs ectar.

Pdv Daryl

Nous sommes en pleine Mer Tyrrhénienne, au large de Palerme. Nous nous apprêtons à lancer le top départ de cette mission de sauvetage lorsque le Directeur Davis nous appel pour un dernier briefing.

- Alors messieurs, voilà le topo. Il y a environ trente minutes des coups de feux auraient été entendu dans cette parti de Palerme, nous dit Davis en désignant un point sur la carte de la ville. On ignore encore la cause dès coups de feux mais ceci nous laisse à penser que Maccini se trouve dans cette zone de la ville.

Davis passe plusieurs minutes à expliquer aux 5 soldats des forces spaciales présent avec nous le but de cette mission. Libéré l'amour de la vie et mettre fin au règne de Maccini. Que celui soit pris mort ou vif n'a plus d'importance pour Interpol car d'après eux son règne n'a que trop duré.

Même si dans le fond, c'est toujours mieux que ce salopard soit jugée et écroué à vie pour ses crimes, ça ne me dérangerai pas de lui faire sauter la boîte crânienne.

Davis supervise une dernière fois les rôles de chacun avant que nous que l'on puisse enfin débarquer. Une fois cette choses faite et les pieds a plat sur la terre ferme, nous remarquons qu'aucun villageois ne se trouve à l'extérieur à cause des coup de feu. Il faut dire que ces derniers résonnent dans toute cette partie de la ville, ce qui ne  présage rien de bon.

Nous avançons en groupe jusqu'à une immense demeure devant lequel se trouve deux corps, tout deux avec un impact de balle à la tête. Un soldat s'approche des deux corps et les regarde de plus près.

- C'est est des homme à Maccini, dit-il en nous montrant leurs tatouages dans la nuque.

Nous continuons de progresser et nous pénétrons enfin à l'intérieur de la demeure. Ce qui se tiens sous nous yeux est à peine croyable. Nous découvrons cinq nouveaux corps, montrant eux aussi une unique plaie par balle à la tête.

- Bordel mais c'est quoi ce merdier ?! Demande D'avis, arme à la main.

- Aucune idée, monsieur, lui répond un des soldats. Mais c'est un travail de précision. Seul un pro peut en arriver là.

Qu'est ce qui a bien pu se passer ici bon sang ? Et où est passée Katarina ?! Est-elle blessée ?! Et bordel de merde qui a bien pu commentre ce massacre ?

Sur notre route nous croisons également des hommes de Maccini qui eux, sont bels et bien vivants et qui nous canardent durant de longues minutes. Je remercie le ciel a cet instant que mon frère soit rester avec mon fils en lieu sur a cet instant. Mais on peux pas en dire autant de ce vieux fou de Ricardo qui les canarde a son tour.

- Sortez de là sales Ritals des mes deux, que je puisse vous plomber le cul comme il se doit ! Cri Ricardo tout en avançant en direction de l'ennemi.

Une fois tout les ennemis a terre, Ricardo se retourne vers nous.

- C'est comme ça qu'on extermine de la vermine, les jeunes !

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Fin du chapitre 24


ᒐo⳽ ᙅᥲɩ́ᑯo⳽ Ʈoຕᥱ 3 : Eᥒgᥱᥲᥒᥴᥱ ᥱt Asᥴᥱᥒdᥲᥒᥴᥱ - (ɪɪƖ ɗαяуƖ) [ᴛєяຕɪηє́є]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant