Uber Eat | Nalu

ᴿᵉᶰᶜᵒᶰᵗʳᵉ ³⁻¹

12 heures 32 | Natsu.

— Lulu! Ton livreur préféré est arrivé ! Je déclare le sourire aux lèvres, impatient de la voir.

— Oh c'est toi Grey ? Elle fit enjouée de l'autre côté de la porte.

— Tu le fais exprès là ? Je demande complètement blasé. 

— Oui. T'inquiète Tsutsu' t'es mon livreur pref . Elle répondit en ouvrant la porte et elle m'offrit un grand sourire.

— Nan ça me stress t'as des dents trop blanches, fille de Satan. Je dit en faisant un pas en arrière.

Elle me regarda et m'offrit un regard noir auquel je répondis par un sourire innocent, elle grimaça et tenta de fermer la porte, seulement j'y insérai mon pied et la porte claqua dessus.

— Ça va je rigolais. T'as de belles dents.

— Ouais ouais, entre sale maïs castré. Elle ouvrit complètement la porte et tourna les talons.

— T'as changé la déco'? Je demande en regardant partout.

— Ah non, j'ai juste pas eu le temps de ranger . Elle murmura. Je la regarde dans le blanc des yeux et claque ma langue contre mon palais en répliquant le sourire aux lèvres :

— La honte.

— Ui. Elle dit en baillant avant de récupérer un objet sur la table et de passer derrière moi.

J'arque un sourcil et avance vers le salon, seulement un poids non identifié se rajouta sur mon dos et je tombe tel une merde sur le canapé dans un bruit honteux.

— Mouahahahaha le navire à dérivé ! Je t'ai eu sale pagbo musclé. Elle cria en se rasseyant convenablement sur le bas de mon dos.

— C'est une insulte ou un compliment ? Je demande la tête entre les coussins, peinant à respirer.

— Les deux bitch. Bon maintenant, tourne toi !

— Je peux pas juste m'asseoir ?

— Aussi ouais.

Elle se leva enfin  et je pu respirer convenablement, je me rassis sur le canapé et elle fit de même les mains  derrière le dos en se rapprochant de moi.

— Tu fais quoi ?

— Tend ta main droite et ferme les yeux.

— Il est trop tôt pour me passer la bague au doigt, mon amour.

À ces mots elle rougit subitement et fuya mon regard rieur, je ferme les yeux et tend ma dextre en sa direction, comme elle l'a demandé.

Un frisson me parcourut l'échine quand sa main glacée entra en contacte avec la mienne de ses doigts fins, elle la tenait fermement, tandis qu'elle semblait m'appliquer un liquide froid et puant ce qui me fit me crisper.
Elle fait pas ce que je crois ?

Je sentis son corps se faufiler plus près du mien, et sa poitrine se coller contre mon épaule.
Dans un souffle elle me murmure :
— Ouvre les. Elle retourna à sa place initiale et se pinça la lèvre pour ne pas rire.

J'avais ouvert les yeux, perturbé et je regardais attentivement ma main en la tournant dans tous les sens.

— Comme ça t'auras la classe d'itachi, il manque plus que le charisme et la beauté.

Elle rigola aux éclats face à sa blague, me laissent observer le vernis bleu nuit en train de sécher sur mon index.

— M'ouais, j'aime bien.