{ Je t'aime... femme galère } - NARUTO

Chapitre 19 : arrivé

Pdv shikamaru

Ça fait 2 jours que nous sommes en route vers Suna.

Étant tout les trois motivé pour retrouver temari le plus vite possible, on ne fait quasiment pas de pose.

Nous devrons arrivé dans pas longtemps.

Un silence presque stressant est en permanence autour de nous.

Personne n'ose prononcer le moindre mot.

C'est pas plus mal comme ça.

J'ai pas eu souvent l'occasion de voir gaara dans cette état, il dégage quelque chose de très.. flippant quand il est énervé.

Il serait capable de s'en prendre à  quiconque lui adressera la parole.

Déjà que de base il n'est pas très expressif et communicatif, là on atteint des sommets.

N'allez pas croire que je ne suis pas comme lui, en colère.

Bien au contraire, je suis certainement dans le même état mental que lui.

Seulement je ne trouve pas utile de le montrer et de ce faire submerger par ses émotions.

Ça serait sûrement la dernière chose à faire.. perdre les pieds.

Si je me laisse envahir par cette rage je ne serais plus maître de mes actes.

Ce qui pourrait me faire faire des agissements que je risque de regretter.

C'est pour ça qu'il en faut au moins un qui garde la tête froide mais que si il le faut déversera tout ce qu'il a accumulé sur la personne qui en vaudra la peine.

...

Au bout de trois heures, on aperçoit enfin Suna et ses tempêtes.

Il me tarde qu'une seule chose : aller voir l'état de temari et être sûr qu'elle est hors de danger.

Ensuite je m'occupe de celui qui lui a fait ça.

Kankuro : gaara, tu devrais te calmer, si tu dérailles et que Suna te vois comme ça-

Gaara : je sais ce que je fais merci.

Kankuro : *soupir*

Plus déterminé que jamais gaara a passé les murs d'entrée. 

Leur senseï baki les attendaient.

Baki : vous êtes enfin la..

Gaara : où est elle ?

Baki : je vous y emmène, suivez moi.

On a suivis baki jusqu'à l'hôpital de ville, une fois à l'intérieur tout le monde avaient des yeux tristes dirigés en direction de leur kazekage et de kankuro.

On est finalement arriver dans une chambre, celle de temari.

Une infirmière est venu pour nous donner plus d'info.

Elle a commencé par nous prévenir qu'il fallait attendre que le médecin sorte pour pouvoir entrer.

Elle nous a expliqué que la plupart de ses blessures étaient très profondes, et qu'aucune parti n'a été épargnée.

Que ça soit ses jambes, ses bras, son visage, son ventre.. tout.

J'étais horrifier de savoir qu'une personne ici a pris du plaisir à entailler une femme.