ɢᴀᴍᴇ ᴏᴠᴇʀ

Chapitre 3

《 - Je vous en pris croyez moi !

     - Nous sommes navrés mais vous ne détenez aucune preuve. 》

La femme qui suppliait le policier prit son sac séchant ses larmes au passage pour ensuite sortir du commissariat. Elle était connu pour être " folle " car pour elle, une personne avait tué son mari. Seulement il n'y avait jamais de preuve concrète, et donc n'était prise au sérieux.

Une silhouette sortit d'une petite ruelle, elle s'avança d'un pa rapide vers cette femme en sortant un couteau de son pull. En une fraction de seconde, la femme se fit planter celui-ci dans le dos pendant qu'il l'emmena dans une autre ruelle assez sombre afin d'y laisser son corps mort au sol mouillé par la pluie.

Cette pauvre personne avait beau s'être battu afin de faire régner la justice, elle venait de se faire tuer sans aucun scrupule par cette personne qui venait de disparaître.

Pendant ce temps, dans un appartement des personnes discutaient tout en faisant leur devoir. Malgré cette pluie incessante, ils arrivaient à discuter tranquillement enfin... C'est ce qu'ils faisaient croire une énième fois, ils avaient beau connaître les sentiments des autres ils préféraient fermer les yeux afin d'essayer de passer un bon moment.

《 - Il en met du temps à venir !

     - Il est occupé Hoseok.

     - Il- 》

Il s'arrêta de parler lorsque la porte d'entrée claqua et Namjoon arriva vite dans le salon, il enleva sa veste avec ses gants avant de donner un sourire aux autres qui haussèrent un sourcils. Celui-ci qui se trouvait face à eux hocha la tête avant de donner des pizzas qui disparut avec les trois plus jeunes pour les mettre au four. Les quatres plus vieux en profitèrent pour discuter d'un sujet qu'ils évitaient lorsque les trois derniers étaient présents.

Il sortit une grande feuille faisant une croix sur celle-ci en reliant plusieurs informations ensemble.

Leur plan s'avançaient.

Lequel ?

Il y en avait qui n'en savait rien.

À l'encadrure de la porte, se trouvaient trois garçons qui fixait la scène d'un visage neutre. Leur sentiment était constamment caché, jamais ils ne s'étaient dévoilé au plus grand publique. Le seul moment où ils arrivaient à faire surgir leur colère, tristesse, haine était à ce moment. Celui qui les détruisaient mais les rassuraient.

Pourquoi ne peuvent-ils être normal ?