Tu m'abandonnes...? {fanfiction shirayuki x zen}

Chapitre VIII: Adieux Clariness ???

La nuit tombe. Je me rend compte, où est-ce que je vais dormir ? Je tourne la tête vers le village, j'espère qu'ils ont au moins une auberge. Je traverse le village pendant que les rayons du soleil disparaît de plus en plus en faisant place aux étoiles de la nuit. Aucune auberge, Super ! Je ne désespère pas, faut continuer à chercher. Plus personne est dehors, bizarre. Je n y fait pas attention puis je continue à chercher quand soudain je croise quelqu'un en train de ranger ses affaires dans un bâtiment. Je cours vers lui avant qu'il rentre chez lui.

Shirayuki: Excusez moi !

Je fais des grands gestes de mains. L'homme redresse la tête vers moi. Je m'approche de lui.

Shirayuki: Est-ce que vous savez si il y a une auberge dans le coin ?

???: Oui, il y en a une à 10 minutes du village dans la forêt.

Shirayuki: Oh merci ! Ou est-ce que je pourrai la trouver ?

Il me montre du doigt un chemin qui se dirige dans la forêt puis m'indique les directions que je dois prendre pour y arriver. Dans une forêt alors qu'il fait noir, j'ai un peu peur mais rien ne peut m'arriver. Je remercie encore une fois la personne, je m'apprête à partir mais m'interpelle.

???: Mademoiselle, faites attention ! Vous avez remarquée que le village est désert quand le soleil se couche ?

Je hoche la tête.

Shirayuki: Oui, pourquoi ?

La personne se gratte la tête et redirige son regard vers moi, l'air inquiet.

???: La nuit, il y a des bandits qui traîne. Je vous conseille de courir.

Quoi ?! Des bandits ?! Mince, j'aurai du m'en douter. Je ferai mieux de me dépêcher à aller dans l'auberge et passer une bonne nuit. Je remercie encore une fois la personne et je commence a courir à travers le chemin dans la forêt. Ça me fait de plus en plus peur. Je n'ai pas de quoi me défendre, j'aurai du m'arrêter plus tôt pour trouver une auberge. Il fait noir et je ne vois rien, seule la lumière de la lune m'éclaire. Je continue à courir jusqu'à ce que je trébuche sur ce qui me semble une racine d'arbre. Mince, faut que je me fasse du feux, heureusement que j'ai de quoi faire du feux et une lanterne. Je m'accroupis et fouille dans mon sac. J'attrape la lanterne et l'allume, la lumière de la flammes me fait voir que je suis sale. Je secoue mes vêtements pour enlever la terre, il reste quelques petites taches mais ce n'est pas grave, je pense que je suis bientôt arriver. Je me lève et je commence à marcher, impossible de courir avec ma lanterne sinon la flammes va s'éteindre mais je marche le plus vite possible. Soudain, j'entends un bruit derrière moi, je me retourne aussitôt. La peur dans le ventre, j'éclaire les buissons mais rien, je continue mon chemin. Je n'aime pas du tout ça. Je m'enfonce dans la forêt, toujours pas d'auberge, faut que je continue. Je suis les directions que la personne m'a dit quand un autre bruit retentit. Je commence à avoir sérieusement peur... Je n'ai pas le choix ! Je cours à travers le chemin et le bruit me suis. C'est quelqu'un c'est sur ! Ma lanterne s'éteint, je la laisse tomber par terre et se briser sans le faire exprès mais j'ai tellement peur que je poursuis mon chemin en courant de toutes mes forces. Je m'enfonce de plus en plus dans la forêt sans savoir ou je vais quand soudain on m'attrape le bras, ce qui me fait tomber, encore une fois.

Shirayuki: Non, lâchez- moi !!

Je me débat sans savoir qui c'est puis il me met un mouchoir devant mon visage ce qui m'endors.

Éclipse de 2 heures***********

J'ouvre les yeux difficilement jusqu'à ce que je reprenne mes esprits. Je suis attachée et les liens sont fortement serrés. Je regarde par une fenêtre en hauteur, il y a toujours la lune qui brille, on doit être plus tard dans la nuit. Je me suis faite enlever et je ne connais pas cette endroit. J'essaye de bouger mes poignets pour enlever les cordes qui me coupe la circulation du sang mais je n y arrive pas. C'est un cauchemar ! Soudain, la porte s'ouvre et fait place à un homme grand et musclé avec des tatouages. Ça doit être un bandit.

Bandit 1: Eh ! Les gars ! Elle est réveillée !

Je baisse la tête, 1 autre bandit se joint à lui.

Bandit 2: Oh, quelle joli chevelure ! Elle va nous remporter beaucoup !

Les larmes me montent au yeux. Qu'est-ce que je dois faire ? Je ferme les yeux. Zen, s'il te plaît, viens me chercher ! Le bandit aux tatouages s'approche de moi et lève mon visage. Je réouvre les yeux en lui laissant des regards noirs.

Bandit 1: Comment t'appelles-tu ?

Je ne répond pas. Le deuxième bandit s'approche de moi.

Bandit 2: Eh, on t'a poser une question !

Sur le coup, il me frappa, je m'étale sur le sol. J'ai les dents serrées par la douleur. Je n'aurai jamais dû sortir de Clariness, le monde extérieur est beaucoup trop dangereux. Pourtant on m'a prévenu mais je n'ai pas écoutée ! J'aurai du assumer mes fautes mais je ne l'ai pas fait, j'ai préférais me comporter comme une lâche, une moins que rien ! Des larmes coulent sur mon visage. Est-ce que c'est sa ma punition pour ne pas avoir assumer mes erreurs ?!! Les bandits aux tatouages me relèvent par les cheveux.

Bandit 1 : Tu parles ? Tu es muette ? Ou tu le fais exprès !

Il me lance contre le mur. Je l'ai entend rigoler. C'est ça, rigoler, défoulez vous sur moi, c'est ce que je mérite d'avoir fait mal à Mei et à Zen, celui que j'aime ! Mon corps est marqué, je n'ose pas imaginer dans quelle états est mon visage... Je ferme les yeux doucement quand soudain j'entends les bandits crier.

Bandit 2: Eh, vous êtes qui vo.... AAAAH !!!!

Je n'ose pas ouvrir les yeux, s'a se trouve c'en ai d'autres. Je fais semblant d'être morte comme ça, ils pourront pas me prendre.

Bandit 1: Vous allez le regrett....

???: ferme la !

J'entends un bruit sur le sol pour confirmer qu'il est par terre. Cette voix aussi, je la reconnais, me dit pas que....

???: Shirayuki...

Je réouvre les yeux qui fait face aux yeux bleu de Zen. Je souris faiblement.

Shirayuki: Ze... Zen...

Je suis allongée sur la roche froide. Mon corps marquait par les coups et le visage qui me brûle, devant lui. Il pose une main sur mon visage, sa main est froide. Mitsuhide et Kiki arrivent derrière.

Kiki: Zen, tous les bandits sont arrêtés !

Zen me relève et détache les cordes qui me coupait la circulation du sang. Mitsuhide fait signe à Kiki et nous laisse seuls. Quand Zen parvient à coupait mes cordes, il me prend dans ses bras aussitôt. Il met une main dans mes cheveux et l'autre autour de ma taille.

Zen: Ou était tu passer ?

Je ne peux pas me passer de lui. Je pense sans arrêt à lui, dés que je suis en danger je l'appelle... M'enfuir de Clariness était une trop forte erreur. Les larmes coulent le long de mes joues et je le serre fort dans mes bras en attrapant le tissu de sa cape blanche.