Tu m'abandonnes...? {fanfiction shirayuki x zen}

Chapitre VII: La colère de Mei.

Son regard est rempli de larmes, les yeux agrandit. J'écarquille les yeux a mon tour. Elle nous a grillée. Elle s'approche de nous, l'air sombre puis... sa main vole à mon visage, elle me gifle... Je... Je ne sais pas quoi dire... Je pose ma main sur ma joue brûlante et baisse le regard. Zen vient se mettre entre nous deux, le regard noir.

Zen: Ne t'approche plus d'elle !

Je relève la tête vers lui. C'est bizarre, il ne veut pas d'explication... Mei recule d'un pas, les larmes qui coulent le long de ses joues.

Mei: Vous... Vous ne comprenez pas !!!

Zen fronce de plus en plus les sourcils. Moi, je suis toujours sous le choque. Mei essuie ses yeux mais les larmes coulent toujours, sa main sont rouges à cause de la baffe qu'elle m'a donnée.

Mei: Je... Je suis revenu car j'avais oubliée mon foulard... et quand je reviens.... je vous vois avec cette... 

Le regard de Zen devient de plus en plus sombre à l'égard de Mei. Elle reprend.

Mei: Elle m'a trahi et menti !!!!

Elle l'a criée en me pointant du doigt. Zen commence à se rapprocher d'elle.

Zen: Comment ose....

Je lui prend le bras pour le retenir, il ne finit pas sa phrase. Zen tourne sa tête vers moi.

Shirayuki: S'il te plaît, laisse moi t'expliquer.

Zen: Shirayuki....

Mei me lance des regards noirs. Je lâche le bras de Zen, je souffle un coup et je commence.

Shirayuki: Zen, Mei n'est pas au courant de notre relation...

Zen se tourne vers moi.

Zen: Et alors ? Ce n'est pas une raison pour te...

Je lui coupe la parole.

Shirayuki: Laisse moi finir. Je ne sais pas si j'ai le droit de te le dire mais pour que tu comprenne mieux il faut que je le dise. *souffle* Le contrat qu'est venu signer le père de Mei et ton frère est de te marier à Mei.

Il reste sans voix, les yeux agrandit.

Mei: J'ai des sentiments pour toi, Prince Zen ! Je l'ai dit à Shirayuki, je lui ai demandée de m'aider et elle a acceptée mais en vrai elle m'a cachée que vous entretenez déjà une relation. Elle m'a menti et en plus trahi ! Je t'aimais bien Shirayuki mais là, je te déteste !

Je baisse les yeux, je suis qu'une imbécile, une idiote, une menteuse... Moi même, je ne me reconnais plus. Si seulement je pouvais revenir en arrière et ne jamais parler à Mei. Les larmes me montent au yeux et je pense ne pas les retenir, c'est dure. Si je pouvais disparaître, je le ferai. Zen reste immobile devant moi quand soudain il se retourne et commence à partir. Il doit m'en vouloir. Mon corps bouge tout seul, je l'attrape par le bras pour le retenir.

Shirayuki: Ze...

Zen: Je vais voir mon frère...

Il enlève ma main de son bras doucement et pars en me laissant derrière lui. Je me tourne vers Mei mais je suis incapable de l'a regarder en face. Elle croise les bras.

Mei: Tu mérites que Zen te chasse de son royaume pour retourner en où tu viens.

Ses mots me transperce. Mei est... blessante... Elle tourne les talons mais s'arrête.

Mei: Ah et aussi, le rouge est une couleur laide !

Après avoir dit ses mots, elle continua sont chemins jusqu'à disparaître dans le noir de la nuit. Je craque, je fond en larmes en tombant à genoux par terre, mon visage dans mes mains. Je suis qu'une... égoïste ! Je me sens mal... Tout est de ma faute... Je savais que je faisais ça pour éviter de la blesser mais ça met tomber dessus, je suis écraser comme quand on écrase une fleur rouge fanée. Je me relève difficilement, le regard sombre. Mei a raison... Demain, je quitterai le royaume pour retourner à Tanbarun !

Éclipse de la nuit************

Je n'ai pas dormi de la nuit, je l'ai passé à préparer mes affaires. Tout les sacs sont fait, je vérifie pour la centième fois que je n'ai rien oubliée. Le soleil commence à se lever, on est déjà l'aube. Bon c'est l'heure de partir. Je sais que je me comporte comme une lâche en partant mais pour moi, c'est ma punition et je dois en subir les conséquences ! Je prend mes sacs, heureusement que j'en ai pas beaucoup. Avant de fermer la porte de ma chambre, je regarde une dernière fois, je suis prête à baisser les bras mais je ne l'es baisserai pas ! Je claque la porte et je me dirige dehors. Je regarde avant s'il n y a personne puis je cours à travers la court du château. J'arrive devant la porte de sortir. Les deux gardes le regardent bizarrement en voyant les sacs.

Garde 1: Vous partez ?

Il faut surtout pas qu'il sache, j'invente une excuse.

Shirayuki: Non, je... vais me promener !

Garde 2: À cet heure-ci ? Avec tout ces sacs ?

Ils sont perspicaces.

Shirayuki: Oui ! J'adore me promener pendant qu'il n y a personne dans les rue et je ne peux pas partir sans mes sacs, j'en ai vraiment besoin. S'il vous plaît, laissez moi passer.

Je leur lance un regard suppliant. Ils ne résistent pas longtemps.

Garde 1: Bien, tu peux passer.

Je l'es remercie d'un hochement de tête, j'ouvre la grille et la referme derrière moi. Bon maintenant, je ne peux plus retourner en arrière. Je marcherai jusqu'à Tanbarun même si ça doit prendre des jours ! Je serre le point et j'avance pour m'enfuir de mon erreur. Je traverse le marché à pas vite pour éviter de repenser aux souvenirs d'hier. Je travers le marché pendant 1 heures jusqu'à arriver à la forêt ou je marche plus lentement. Heureusement que j'ai de quoi manger et boire dans mes sacs. Je me met à marcher, je fais quelque petites poses pour reposer mes jambes ou boire. Quand j'arrive dans un village, le soleil est près à aller se coucher. J'ai marchée toute la journée, faut que je refasse des courses pour demain car j'ai presque plus d'eau, heureusement que j'ai de l'argent. Je traverse le village et je remarque une petite épicerie. Je rentre et je rachète de l'eau et un peu de nourriture. Pendant que je paye j'en profite pour demander où on est par rapport à Tanbarun.

Marchand: On est à 1 jour de la frontière c'est tout ce que je sais.

Je pensais que j'avais passer la frontière mais c'est encore plus long que je l'imaginais.

Shirayuki: Bon d'accord, merci comme même !

Je prend mes courses et sors. Tanbarun est loin mais il faut pas que je me démotive. Je regarde là soleil au loin c'est à ce moment là que je repense à Clariness. Est-ce qu'ils sont en train de me chercher ? Je secoue la tête. Adieu Clariness !