𝗟'𝗔𝗠𝗢𝗨𝗥 𝗘𝗡 𝗖𝗔𝗚𝗘 ➳ 𝐻𝑖𝑠𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑣𝑟𝑎𝑖𝑒

12~ Fares

"... C'EST LE BEAU GOSSE QUE MAYSSA M'AVAIT MONTRÉ SUR SON PORTABLE !!! "

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Mes yeux n'ont pas quitté la porte qui est maintenant close depuis plusieurs secondes déjà.

-Rania : Aah t'avais pas encore vu Fares !

C'est une blague ? 💭

-Rania : il est timide lui, toujours dans sa chambre heda !

Je souris poliment, peinent à détendre les traits de mon visage.

La soirée se termine, tandis que je ne suis toujours pas redescendue après cette incroyable révélation.

Je te deteste Mayssa..💭

Nous avons fini de manger, et je pars dans ma chambre, enfin celle de Karima puisqu'on dort ensemble, mais elle est barrait je ne sais où.

Je commence à préparer mes affaires pour le lendemain, quand j'entends que ça toque doucement à ma porte.

Penché au dessus de mon sac, je me redresse illico, comme si un coup de jus venait de m'éléctrifier

-Moi : Oui ?

Une voix masculine et posé se fait entendre à travers la porte

-Fares : c'est Fares.

J'en était sûr..💭

-Fares : j'peux entrer ?

Demande-t-il en passant seulement l'épaule dans le petit espace de la porte

-Moi : Oui bien sûr.

Il entre entre en refermant soigneusement derrière lui.

Je l'observe pendant ce temps, complètement perturbée par le sentiment de déjà connaître ce visage, et de l'avoir posé sur celui de Chahid quand je commençais déjà à le kiffer.

-Fares : Euuh apparament je dois te donner ça, donc tiens.

Il glisse sa main à l'intérieur de sa veste puis me tend un paquet rond, scotché de plusieurs couches.

Je le saisit et le met directement dans mon sac, comme si il n'avait jamais existé.

Fares me regarde faire avec une expression perplexe collé à son visage, puis il tourne les talons en direction de la sortie.

Il attrape la poignée, avant de se stopper

-Fares : fais attention.

Sa voix éclata le silence dans la pièce.

Il tourne ses yeux vers les miens, avant de les replongeait au sol

-Fares : j'sais pas pourquoi il te fait faire ça lui. Même moi, je le fais parce que c'est mon grand frère mais bon.. Fin bref, bonne nuit.

Je baisse les yeux sur mes doigts qui s'entremêlent de gêne.

-Moi : merci.. Bonne nuit.

La porte se referme dans un claquement presque silencieu.

Je m'assois sur le lit en jouant toujours nerveusement avec mes mains.

Mon regard ose à peine regarder l'armoire dans laquelle j'ai rangé mon sac, avec le paquet dedans.

Je pince mes lèvres avec les dents.