mes démons caché: la vengence d'une constélationiste

pourquoi

En media la photo de Yuri

Retour dans la peau de Lucy

Je suis dans le noir avec Yuki, autour de nous y'a rien juste le néant.

Yuki: ahhh sœurette, comment tu te sens??

Moi: euhhh justement, je sens pas mon corps. Et toi?

Yuki: moi non plus. Je veux sortir d'ici

Moi: on fait comment pour sortir??

Yuki: ........

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Yuki: je n'en ai aucune idée. Mais je sais pas pourquoi j'ai un mauvais présentiment.

Moi: on est toute deux ensembles, rien ne peux nous arriver.

Je la prends dans mes bras et la serre comme si s'était la dernière fois.
On regarde autour de nous, mais y'a rien appart le noir.

Moi: Yuki, t'arrives à lancer des sorts??

Yuki: non, mais il me reste les connaissances de demone du savoir. Et de ton coté?

Moi: moi non plus, mais je peux essayer d'invoquer les esprits.

Au même moment je sens comme du feu couler dans mes veinnes à la place du sang. La douleure est insupportable, je me laisse tomber au sol, mais ma tête congne contre je ne sais quoi.
Plus je sens le feu en moi, plus je me recroqueville sur moi. Je sens a nouveau mon corps mais je n'en peux plus de cette sensation qui reveille en moi de vieux démon.
Sa s'arrête d'un coup, ce n'est plus du feu que je sens en moi mais je me sens lourde malgré que je sois déja au sol, mon corps lui est comme en chute libre et l'angoisse me gagne.

Yuki: ehh Lucy, qu'est ce qu'il t''arrive? Dis moi, tu sens a nouveau ton corps??

Ne pouvant lui répondre, j'essaye de hocher la tête, mais la sensation s'accentue encore plus. C'est comme quand l'on dort et que l'on se sens tomber. J'ai horreur de sa. Mais c'est ce qui m'arrive en ce moment même.

Yuki: sœurette, je vais essayer de voir si je peux d'aider.

Elle ferme ses yeux, car je ne vois plus leurs couleurs rouge. Je suppose qu'elle se concentre pour chercher.

A nouveau cette sensation aussi disparu et pour la première fois depuis notre arrivées dans cette endroit si l'on pouvais l'appeler ainsi, je sentais mon corps sans trop de douleur.

Alors je me leva et saisis une clée, la seule qui se trouvait avec moi. Cette clée que je croyais perdu. Cet esprit qui avait pris soins de moi durant mon enfance. Cet esprit même qui avait veillé sur moi malheureusement au péril de sa liberté. Car oui, il s'agissait belle et bien de la clée du Verseau. Les larmes me montèrent aux yeux. Je pleurais de joie malgrés les douleures que mon corps avait subit, je me sentais joyeuse. Alors je pris la clée et la tourna dans la petite flaque de larme qui s'était formé à mes pieds. Puis dit ses paroles que je n'avais prononcé depuis une éternité.