Pardonne-moi (Wolfstar/Drarry)

Chapitre 11 : Une étoile vagabonde

Quand Drago arriva au 12 square Grimmaurd, il fut surpris et attendri de voir un Griffon en boule, endormie sur son lit.
Harry était adorable dans cette position, en plus de ses cheveux en bataille qui le rendait encore plus mignon.

Le Serpentard se demandait à quoi ressemblerait le survivant si celui-ci arrivait à se coiffer les cheveux.

- " Les cheveux coiffé ? Sa ne lui irait pas". Pensa-t-il.

Il passa à nouveau par la fenêtre et posa son balai et son sac doucement pour ne pas réveiller le griffon. Puis il vint se blottir contre lui. Après tout s'il devait passer la fin des vacances ici, autant en profiter.
En se blottissant ainsi contre Harry, Drago venait de détruire sa fierté de Malefoy à tout jamais.

Mais bon quelle fierté ? Ressemblé à "sa famille" ou à son père lui plaisait-il vraiment ?
Tout ce que voulait le blond était de vivre comme il l'entendait, et ce qu'il voulez là, était la chaleur du survivant.

Le Serpentard ne pouvait pas dire ou même affirmé ressentir des sentiments amoureux pour  Harry, mais il aimait sa présence.
Le jeune homme n'était sans doute pas ce dont il avait rêvé, mais il lui convenait entièrement.

À si son père savait ça, Drago aurait donné n'importe quoi pour voir la tête de Lucius Malefoy découvrant son fils dans les bras de l'ennemie juré de Lord Voldemort. Il aurait sûrement fait une crise cardiaque ou encore un infarctus. Lucius Malefoy tuer par le choc.
Cette pensé fit rire le blond, certes cette maison n'était pas très belle et beaucoup de personnes le fuyait ou ne lui faisait pas confiance. Sans oublier la famille Weasley ou plutôt leur enfant le détestant.

Mais après tout, il pouvait les comprendre, il avait été odieux avec eux durant tellement d'année, que cela ne pouvait être pardonné en si peu de temps. Et puis le Serpentard n'avait pas d'autre choix, sois il finissait ses vacances ici, sois il les finissait dehors. Et très franchement la décision n'était pas très difficile à prendre.

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Sirius c'était précipiter sur la porte d'où étais entré Albus quelques minutes auparavant.
Mais la porte s'obstiner à rester verrouillé.
L'animagus essaya de se rappeler de la phrase que Dumbledore avait prononcé, mais sa mémoire lui faisait défaut.

- C'était un truc en "vérité". Se mit-il à marmonner en faisant les cents pas.

Puis soudain son visage s'éclaira et tout en levant la main, l'index pointé vers le haut, il hurla.

- Seul la vérité permet d'être libéré ! S'exclama-t-il tout en retournant auprès de la porte.

Il se mit à chercher, mais ne savais pas vraiment où il devait avouer des vérités. Albus avait spécifié que derrière cette porte se trouver une épreuve et que s'il perdait il serait puni pour s'être menti à soi-même.
Il devait donc surement dire tout simplement une vérité et la porte s'ouvrirait. Pensa-t-il.

- Je m'appelle Sirius Black. Prononça-t-il à voix haute, mais rien ne se produisit. Mais ouvre-toi ! J'ai dit la vérité pourtant... Tu es injuste avec moi, satané porte !

L'animagus souffla, puis, après quelques secondes il comprit ce que Dumbledore avait voulu dire. Il devait dire ce qu'il n'avait jamais avouer quitte à mentir pour le cacher. Dans un énième soupir il reprit.

- C'est en partie ma faute si James et Lilly on était tué cette nuit-là. J'aurais dû attendre les autres avant de poursuivre Peter. Je ne suis pas en colère contre les autres, mais contre moi-même. Se mit-il à avouer à la chaîne.