Chapitre 18 : Amitié à toute épreuve

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- Comment est-ce possible ? Il était encore ici hier soir ! S'écria Madame Weasley qui ne comprenait pas.

- Peut-être a-t-il simplement fait une fugue. Suggéra Tonk.

- Je ne pense pas. Répondit le loup-garou.

- Et tu as parfaitement raison Remus. S'exclama Minerva à son tour. Il n'a pas fugué, il a était enlevé, par son père plus exactement.

- Mais pourquoi aurait-il fait ça ? Et puis, s’il est avec son père, il doit sûrement allez bien et être en sécurité. Prononça Arthur d'une voix sûr.

- Oh je ne dirais pas ça a votre place. S'exclama Fol œil. Si le jeune garçon a mis son père en colère, il doit sûrement être en miette à l'heure qu'il est. Dit-il pendant que son œil magique faisait des tours complet.

- Oh pauvre garçon. S'écria Molly.

- "Toujours autant hypocrite." Pensa très fort Remus qui avait remarqué que la femme ne faisait que jouer la comédie. Très peu convaincant à son goût.

- Nous ne savons pas où il se trouve. S'exclama Dumbledore. Nous ne pouvons pas prendre le risque de foncer tête baisser, n'oubliez pas que nous avons une mission plus urgente, qui est de veiller à la sécurité de Harry. Finit-il avec son air sévère.

Albus s'en voulais légèrement de ne pas apporter du secours à Drago. Mais il ne pouvait le secourir, pour la simple raison que cela n'était ni sa mission, ni sa destinée.

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Lorsque le petit groupe était entré dans la chambre du blond, celle-ci était déserte. Ginny fut vite exaspéré du comportement d’Hermione et de Harry complètement paniqué et préféra sortir.
Ron, lui, ne partageait pas du tout leur inquiétude, mais il ne pouvait laisser ses deux amis.

- Nous devrions aller prévenir les autres. S'exclama Hermione en faisant les cents pas. Les affaires de Drago sont toujours là et son lit n'est pas défait, il lui est forcément arrivé quelque chose. Déduit-elle.

- Peut être sont-ils déjà au courant. Prononça le roux.

- Ou peut être pas. Répondit le survivant.

Tous les trois descendirent donc l'escalier, et se dirigèrent tous vers la cuisine, où se déroulait la réunion. Ils savaient qu'ils n'avaient pas le droit de déranger dans ce genre de moment, mais il s'agissait d'un cas d'extrême urgence.

Mais lorsqu'ils étaient arrivé devant la porte, il avait trouvé les oreilles à la rallonge de Fred et George, qu'ils avaient laissé sur place après avoir était surpris par Fol œil.

Prit par la curiosité, ils s'étaient tous pencher sur l'une des oreilles, pendant que l'autre pénétré dans la cuisine. Ils n'avaient pas pus entendre la discussion en entière, mais ce que Harry avait entendu, lui avais suffit.

- Comment Dumbledore peut-il faire ça ? Hurla-t-il une fois retourner dans sa chambre.

- Harry, il fait de son mieux, tu es sa priorité et tu le sais. S'exclama Hermione qui essayer désespérément de le calmer.

- De son mieux ?! S'enragea encore plus le Gryffondor. Non ! Il fait seulement des préférences ! S'il ne va pas le chercher, j'irais moi même ! Dit-il en attrapant un sac.

- Harry, arrête, ce n'est pas raisonnable, on ne sait même pas par où commencer ! S'exclama-t-elle.

Le survivant ne l'écoutait plus, il était trop occupé à ranger sa cape d'invisibilité dans son sac et quelques potions, qui pourrait être utile au cas où.

Pardonne-moi (Wolfstar/Drarry)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant