Quand Janine La Porte rencontra pour la première fois un monstre elle avait quatorze ans.
C'était une froide nuit d'hivers mille neuf cent cinquante-sept et elle s'en rappellera toute sa vie.
Dernière d'une fratrie de douze, elle était la seul à ne pas avoir connu la guerre, ou du moins avoir des souvenirs si ténus , qu'elle lui était impossible d'en garder un quelconque traumatisme. Bien que de nos jours les psychologues prétendaient que les enfants de bas âge qui vivaient des moment grave tel qu'une guerre inconsciemment gardaient des traumatisme qui s'expliquait le plus souvent par des troubles du comportement.Ce qu'elle en pensait elle ? Probablement était-elle trop ancienne pour comprendre ce genre de chose comme un tas d'autre par ailleur a un tel point qu'elle n'y pensait jamais pour elle, c'était une hérésie sociologique. Et puis qu'aurait-elle fait d'un psychologue lorsque l'on avait une mère tel que la sienne.
Étant veuve depuis le trois mars mille neuf cent quarante-quatre , elle lui avoua un jour d'en remercier Dieu chaque nuit lorsque la guerre pris fin.Ce qui expliquait pourquoi elle était tant protectrice en vers ses enfants surtout les trois derniers. Elle en avait trop vu pour se permettre une seul erreur d'inattention. Pourtant cette fois Jacqueline La Porte avait fait une exception . Voilà un peu plus d'une décennie que la paix était revenu. Ce fut donc tout naturellement qu'elle accepta que sa petite dernière aille retrouver son amie qui se trouvait à dix minutes et puis après tout elle avait quatorze ans.
Tout aurait du bien ce passer, il faisait froid, enfin plus froid qu'aujourd'hui pour un jour de mi-décembre. Pour tout dire la neige tombait drut réduisant le champs de visibilité à quelque centimètre et un tapis de neiges d'une quinzaine de centimètre recouvrait déjà le sol et dire qu'aujourd'hui l'on pouvait s'estimer heureux si l'on voyait ne serait-ce un millimètre de neige la fameuse nuit du vingt-quatre décembre.
Moins de cinq minutes avant d'atteindre sa destination alors qu'elle n'avait croisé aucune âme qui vive que le silence régnait sans conteste, le vent se leva sans aucune explication rationnel. Sa robe bleu marine voltigea sous l'effet de la bourrasque et son mentaux bien qu'épais ne semblait pas vraiment là protéger. Ces long cheveux fouettèrent son visage en continu, obligeant cette dernière à plisser les yeux, des yeux d'un bleu profond avec des éclats argenté, des yeux magnifique. Janine La Porte était une jeune fille était une jeune fille magnifique. Alors que vaincu par la tempête de neige survenu si soudainement, la jeune fille vaincu avait prit la décision de rebrousser chemin lorsqu'elle glissa sur une plaque de verglas et s'étala de tout son long.
L'adolescente mit quelques secondes avant de se relever et ce qu'elle vit métamorphosa sa vie a jamais. A une cinquantaine de centimètre une petite créature l'observait la tête penchée les sourcils foncé. Le crie qu'elle avait poussé ce jour la avait du s'entendre à des centaines mètres à la ronde. Affolé par tout ce tapage la créature detala et disparut.
Complètement sonné la jeune fille était rentré chez elle dans un état second. Jamais elle raconta ce qu'elle avait vu à quiconque. Depuis ce jour tout le long de sa scolarité certains de ces professeurs lui conseillèrent de rejoindre l'armée, certes, elle était une fille mais aujourd'hui cela était possible. Un professeur lui glissa même un jour :
" Domage que tu sois une femme a l'armée tu aurais fait sensation. Quoique j'ai des contacte jeune fille si tu veux je peux t'aider "Ce ne fut que lors de son vingt-et-unième anniversaires, alors qu'elle avait atteint sa majorité et que sa mère n'avait plus aucune autorité sur elle , qu'elle reçut une lettre de l'armée qui annonçait que son dossier avait été retenu pour un recrutement. Sa famille lui enjoignirent à la plus grande prudence et pour cause , jamais Janine n'avait postulé pour ce genre de chose. Ce fut que lorsque qu'un militaire se déplaça à leur domicile que la jeune femme consentit à accepter d'entrer dans l'armée.
Ce fut ainsi qu'elle entra pour la première fois dans l'Ordre des Privilégiés.Ainsi aux yeux de sa famille elle rentra dans l'armée, mais en réalité, elle faisait partit intégrante de l'Ordre. Pendant toute ses années elle vit et appris énormément de chose, très vite elle fut classé parmis les meilleurs novices humain de sa génération voir de ces trente dernières décennies. Et ce fut lors de son trente huitièmes anniversaires à la mort du dernier Maitre Protecteur aussi appelé Grand Protecteur lors d'une mission périlleuse ou ils sauvèrent le monde d'une troisième guerre mondiale, qu'elle obtint le poste de Maître Protecteur. C'était un quatorze décembre mille neuf cent quatre-vingts-un et elle n'avait pas quitter son poste depuis. Et du haut de des soixante-treize ans elle en avait vu des choses. Surtout lorsqu'elle était devenu le grand protecteut de l'Ordre des Privilégiés de Roanne.
Des élèves brillant comme des foncièrement mauvais. Des monstres et même des traîtres. Le maître protecteur soupira en se remémorant cela. Aujourd'hui le grand protecteur portait un tailleur de haute couture d'un grand couturier de Paris. Par ailleurs sa marque était brodé en or sur sa poitrine. Malgré son âge avancé elle avait de très long cheveux blanc argentées qui lui descendraient jusqu'en bas des reins si ils n'étaient pas attaché en un chignon bien serré. Sa forte carrure son visage rond et ridée, rendait l'image d'une femme fière forte qu'il ne fallait pas trop titiller.
Le grand protecteur était absorbé par un dossier qu'il lisait depuis une semaine. Il était assez gros et il devait l'admettre le préoccupait énormément. L'Ordre des Privilégiés possédait des bases secrètes un peu partout dans le monde, même si la France en concentrait le plus grand nombre.
Tout les six mois la vieille femme participait à une grande réunion qui ressemblait tout les maîtres protecteurs, dans une salle secrète sous le palais de Versailles.
Ce fut lors de la dernière réunion il y avait presque quatre mois que le grand protecteur de la ville de Berlin lui avait transmis se dossier dans le plus grand des secrets. Et faute de temps il avait mit énormément de temps avant de le lire... De toute sa vie ce fut bien la première fois qu'il regrettait d'avoir rencontré ce lutin cette fameuse nuit d'hivers mille neuf cent cinquante sept.
Le Grand Protecteur soupira et ferma le dossier. Si ce qu'il racontait s'avérait être vrai alors le monde courait un grave danger.
Tu me diras le monde des Hommes à faillit tant de fois de disparaître qu'il était vain de les compter.
Et c'était vrai. Combien de fois avait-il reçu des rapports provenant du quatre coin du monde parlant de monstre ayant été tué juste à temps évitant ainsi à la race des Hommes de disparaître. Oh une bonne centaines depuis qu'il avait été promue grand protecteur. En un soupir las il se leva avec difficulté, puis rangea le dossier dans une armoire qu'il ferma à l'aide d'un cadenas.Janine se rassit et mura.
- Mon Dieu que la terre est basse.
Au même moment l'on frappa, intriguée, elle se leva pour allée ouvrir.- Bonjour madame.
Fit Andrew d'une voix mal assuré presque tremblante.
Le maître protecteur ferma les yeux dépités et du tout faire pour contenir sa colère.
Pétard ! Mais qu'est-ce que je vais bien pouvoir faire d'un indiscipliné pareil.- Entre mon enfant j'ai deux trois chose à te dire....
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L'Héritage de Richard Arys
FantasyL'échiquier est en place. Les pièces avancent , se haïssent, s'entre-tuent, dorment, s'aiment plus que de raison. Le cavalier lui , avence fléau en main. L'heure est venu de couper des têtes depuis trop longtemps couronnées. Deux protagonistes s...