Andrew était sorti assez tard pour descendre au self pour manger. Heureusement pour lui les nombreux novices et agents de l'odre étaient soit partit en missions soit avaient tout simplement déjà mangé. Ce qui était parfait en soit.
L'adolescent sourit , c'était le seul moment ou il appréciait d'être ici.Le self était une grande salle battit à même la roche illuminé par trois grandes lustres en cristals, comme si cela ne suffisait pas les parois étaient parées de millier de bas-relief sculpté à même la roche. Les centaines de tables étaient en bois de hêtres et recouvertes de nappes blanches brodés d'or. Les chaises étaient du même bois et rembourrés de velours rouges. Les couverts étaient en argents massif et étaient tous équipés de micros capteur, sensés prévenir de tout vol, tout comme les verres. Le parterre était couvert d'une moquette rouge sang.
L'adolescent était assi à l'un des nombreuses tables et observa son assiette l'eau à la bouche. Elle était remplie d'un navarin d'agneau fument qui emplissait ses narines d'éfluves enchanté. Ravie Andrew s'apprêtait à dévorer son plat, lorsque la porte d'entrée du self qui se trouvait tout au fond en face de lui s'ouvrit en un bruit tonitruant brisant le silence.
Le jeune Arys soupira et ne put s'empêcher de murmurer.- Et merde.
Lorsqu'il vit monsieur Berne arriver de son pas si assurée. Toute fois, Andrew lu dans les yeux de son professeur une certaine contrariété.
Le garçon suivit du regard son professeur qui se dirigea vers le self qui avait par ailleurs une taille démesuré et proposait un nombre de plat faramineux.L'adolescent soupira et entama son navarin beaucoup moins enthousiasmé, savourant nettement moins ledit plat après coup. Mais il fut bien plus accablé lorsque monsieur Berne s'installa à ses côté en grognant. Il avait prit un veau minringo, l'odeur du plat emplit les narines du jeune garçon.
Tout deux évitèrent soigneusement de croiser le regard et mangèrent en grognant et en soupirant, puis au bout d'un moment monsieur Berne s'esssuya la bouche à l'aide d'une serviette avant d'annoncer.
- J'ai parlé au maître protecteur il m'a dit que tu mangeais tard.
Andrew deigna même pas observer son professeur, il se contenta d'arcquer l'un de ses sourcils. Et d'écouter son professeur.
Il se trouve qu'il se peut que probablement je me sois comporté de façon inapproprié avec toi Arys. Donc je te prierais d'accepter mes excuses mon enfant.
La phrase avait été à peine murmuré et avait été dit avec tant de rancoeur que le jeune garçon du lutter de toute ses forces pour ne pas exploser de rire.Andrew termina sa bouchée puis observa son professeurs.
- Oh je vois.
Fit le garçon gêné, après avoir terminé son navarin d'agneau puis après un moment de silence il annonça.
Et bien d'accord j'accepte vos excuses.
Le professeur ouvrit et ferma sa bouche et voulu parler, mais Andrew se leva et partit ranger son plateau, pour retourner dans sa chambre sous les yeux circonspect de monsieur Berne.Une nouvelle fois dans sa chambre, le garçon soupira et s'allongea dans son lit et observa son plafond l'air pensif.
Partir en mission avec Manon, était une mission suicide.
Cette catin va profiter du premier moment d'inattention pour m'égorger.
Il était condamné et il le savait car en aucun cas il devait montrer qui il était vraiment au péril de sa vie.Complètement songeur et perdu, il pensait même se suicider. Après tout, cela lui éviterait de souffrir inutilement, mais après quelques secondes à broyer du noire, il pensa que si cette salle pute mettait sa vie en danger, il ripposterai. Qu'importe si son père le lui avait interdit. Manon lui avait brisé les côtes, plus jamais...
Andrew s'endormit la boule au ventre et le visage bien pâle, si sa relation avec Mcbich s'empirait il se jura que s'était lui qui tuera Manon, pas elle. Ce fut sur ce serment plus que rassurant qu'il s'endormit.
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L'Héritage de Richard Arys
FantasiL'échiquier est en place. Les pièces avancent , se haïssent, s'entre-tuent, dorment, s'aiment plus que de raison. Le cavalier lui , avence fléau en main. L'heure est venu de couper des têtes depuis trop longtemps couronnées. Deux protagonistes s...