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Mes yeux rivées sur mon regard neutre. A admirée la nouvelle personne que je suis, en vérité, je ne rentre qu'à la fac, mais pour moi tout change, je suis partie de mon orphelinat car j'ai obtenu l'âge maximum pour y rester qui est 21 ans. Se soir sera ma première nuit dans mon appartement, le mien, je pourrais enfin faire se que je veux quand je veux sans qu'il y ai ces veilles femmes que me rappelle tout le temps:

" il serait peu-être temps de partir ? c'est pas sérieux de rester ici à 20 ans entouré d'enfant "

À part ça, ma scolarisée c'est bien passée, j'ai eu mon brevet facilement et mon BAC L mention bien, j'ai frôlé le très bien, je suis dégoutée. Mon rêve, c'est d'être écrivaine, c'est pour sa que j'ai pris la décision de partir faire une fac de lettres. Malheureusement, les études coûte chers, et mon orphelinat devient un peu sourd par rapport à cela. Alors, j'ai décider de m'en chargée toute seule, en travaillant dans une usine jusqu'à que je ne puisse plus rester a l'orphelinat, c'était nul, j'y suis restée trois ans, mais aujourd'hui j'ai assez pour payée mes études seule. Cette fac contient des appartements de 20 mètres carrés, cette année il y a eu beaucoup de demandes car déjà c'est dans la fac et surtout sa coûte moins chers. J'ai eu la chance d'être prise.

Vous vous demandez forcément pourquoi j'ai été dans un orphelinat. Moi aussi des fois j'aimerais avoir une réponse complète à toute mes question.
Je n'ai jamais connu ma mère, elle est décédée soit d'une intoxication alimentaire ou de déprécions, j'ai jamais su la vérité, ou même si une des deux étais vrai, mais tous se que je sais c'est que j'avais deux ans. J'aurais tellement voulu savoir si elle préférait les roses ou les coquelicots, son film préférée et pourquoi, ou encore plein de question pour essayée de me reconnaître en elle, mais tous se que j'ai de ma mère, c'est une photo d'elle en soufflement les bougies de ces 25 ans. cette photo c'est comme un porte bonheur. Est-ce qu'elle sera dans un petit cadre posés sur ma table de nuit ? Absolument.

Mon père lui, je l'ai connu, il était un chanteur, il écrivait des chansons pour ma mère. Mon père me disait qu'avant, ils chantaient la même chanson tout les deux, tout les soirs avec joie et amour, mais quand elle est partie, il continuai à la chanter mais seul, avec des larmes au yeux. Un jour, on étais parti tout les deux dans un centre commercial durant l'approche de Noël. C'étais bondé de monde, les magasins étais difficile d'accès à cause de la foule. Cela fessait sûrement parti de son plan, mon corps et celui des autres inconnu étais collée, ne fessait presque qu'un, et c'est à se moment là que je n'ai plus senti la père dans la mienne. J'avais 5 ans.
C'est une dame d'une quarantaine d'année qui ma repérée seule en pleure, je me rappellerai toujours de son visage. Une petite femme avec des cheveux châtain foncée, les lunettes rectangulaire et un sourire accueillant. Elle a pris ma main dans la sienne et ma aider à retrouvé mon père mais celui-ci étais introuvable. En marchant au près de cette femme, j'étais rassurée de ne plus être seule et j'étais persuadée de le retrouve, mais après être restée des heures à le chercher puis des heures au commissariat, j'ai atterrit dans l'enfer: orphelinat.

J'espérai tout les jours qu'il reviendrai me chercher, mais finalement, j'attends toujours. Mais si aujourd'hui j'ai la possibilité de le contacter via internet, je ne sais pas si je ferais. On n'abandonne pas son enfant sans aucune raison puis dit dans des interview qu'on en a jamais eu un. Mais j'aimerai bien savoir son point de vue de tous sa.

Les portes de l'ascenseur s'ouvre au septième étage, je sors accompagner de ma grande valise bleu marine. Je glisse ma main dans ma poche et sors la clé de mon appartement avec le numéro gravé: 752.
En longeant les murs pour trouvée la porte 752 qui se trouve à l'autre bout du couloir, j'aperçoie un duo de fille sortir d'un appartement pas très loin du mien en riant fort, je les regarde, je remarque qu'elle ne sont pas du tout comme moi, et c'est bizarre mais je stresse. J'arrive à ma porte mais je continu à les regarder attendre l'ascenseur, elles sont très peu habillées, avec beaucoup de maquillage. Elles sont serte différente de toi mais c'est normal tu doit l'accepter, me dis-je.

- " WOW ! " hurle quelqu'un derrière moi.

Je sursaute de peur. Je me retourne et voit un homme couleur café regarder les filles en fronçant les sourcils.

-" Oh pardon je ne voulait pas te faire peur mais." il marque une petite pause. "ces filles sont super bruyante et chiante". dit-il avec un sourire

je reste à le regarde sans rien dire, j'ai l'air stupide.

" euh oui pardon " dis-je à l'homme métisse.

" tu va habité au 752 ? " me demande sans attendre ma réponse. " cool sa fait deux ans que je suis ici j'ai jamais eu de voisin ! "

Cet homme a l'air si heureux pour rien, sa me fait rire, il a l'air sympa.

" ah oui et pourquoi donc ? "

" il est hanter ! "

je grimace.

" non je déconne, j'sais pas "

Cette fin si nul me fait rire. J'ouvre ma porte et regard mon voisin avec un sourire.

" je m'appelle Elisabeth " dis-je en tendant ma main.

il la regarde puis rie, les gens d'ici n'ont peu-être pas l'habitude de serré la main.

" moi c'est Chris ! et si tu a un problème appelle Chris ! " dit en me serrant la main avec son plus beau sourire.

AddictionOù les histoires vivent. Découvrez maintenant