Una Farsa

chapitre 6

                 ****Alexander****

- Où comptes-tu aller ? Demandais-je à mon père.
- Peut être en Espagne.
- Je viens avec toi s'enquit mon neveu
- J'ai besoin moi aussi de me changer les idées continua t-il
- Et c'est pour quand ? Leur demandais-je
- Demain répondit mon paternel.
Ce dernier a décidé de se changer les idées en allant en Espagne vue que je m'occupe de l'entreprise.
- Très bien comme tu voudras lui dis-je . Je m'excuse auprès d'eux et sort du bureau, je m'approche de Miranda qui avait une photo d'Alexandra en main. Je me souviens de cette photo c'était celle que j'avais prises lors de nos quinze ans. Elle était habillé d'une robe blanche fleurie, elle était pleine de vie, de joie et la dernière fois que je l'avais vu ainsi c'était quand elle a mis au monde son fils. Elle avait pleuré des larmes de joie.
- Pourquoi a t- elle fait çà ? Jamais ma petite Alexandra ne fairait çà ? Me demanda t- elle en déposant le cadre. Moi même je l'ignore pourtant ont se disaient tout et j'aurais dû le savoir si quelque chose n'allait pas. À croire que mon départ m'a éloigné de ma famille au point où ma sœur a jugé bon de ne pas me tenir au courant de ses problèmes.

          *****  FLASHBACK***

•- Tu vas beaucoup me manquer• m'avait elle dit le jour de mon départ.
•- Tu peux toujours venir avec moi• lui avais-je dit.
•- Non ma place est ici près de notre père et dans cette maison qui a abrité de bonnes comme de mauvaise souvenirs• m'avait elle répondu
- •Juste promets moi que tu prendras soin de toi et des autres•
- •Promis et toi promets moi que tu prendras de temps en temps de nos nouvelles•
-* Promis *lui avais- je dit .
Une promesse à laquelle j'ai failli. Je suis un mauvais fils, un mauvais frère.

- Je te laisse me dit Miranda dans un faible sourire. J'aime pas la voir si triste.
- Bonne nuit lui dis-je en l'embrassant le front. Je me dirige dans ma chambre pour une bonne nuit réparatrice.
Sauf que le visage d'une femme me viens à l'esprit. Emma Parcker.

Réveillé par les quelques rayons du soleil qui pénètraient dans ma chambre, je me lève du lit et me dirige vers la salle de bain. J'en ressors quelques minutes après. Une fois habillé je descends où je trouve mon père et mon neveu sur le point de partir. Et bien ! Ils sont matinal aujourd'hui, je ne vois vraiment pas ce qui l'ai pressent.
- Pourquoi j'ai l'impression que vous fuyez quelque chose leur demandais-je curieux de leur réponse.
- Pas quelque chose, mais quelqu'un me dit Miranda en riant à cœur joie. Je fronces les sourcils.
Qui ?
- Ils ont choisi le mauvais jour pour leur voyage continue t- elle.
- Emma ne doit pas se réveiller et nous trouver encore ici dit Julian. Ah! Ils voulaient fuir la jeune femme.
- Pour quelle raison ?
- Les samedis Elle et les autres vont jouer au tennis au club.
Elle l'a instauré et par moyen d'y échapper affirma Miranda.
Je vois mieux maintenant, ils ont peur de sa réaction.
- Surtout ne te comporte pas comme un Ogre avec elle me dit mon père une fois près de moi en me tapotant l'épaule. Moi? Un Ogre? D'où sort t-il cette histoire ?
- Je pense que vous devez filez maintenant, elle va pas tarder à se réveiller dit Miranda en riant de plus belle. Je retourne à l'intérieur une fois leur voiture fut hors de mon champ de vision.
- Tu comptes faire quoi aujourd'hui ? Me demanda Miranda
- jouer au tennis lui répondis-je en me pinçant le nez. Elle m'offre un sourire avant de disparaitre. Je compte bien passer cette journée avec "ma belle".

- Doucement jeune fille ! On court pas dans les couloirs.
- Pardon ! Tonna une voix douce, Visiblement joyeuse. En moins de temps pour le dire quelque chose butte contre mon torse ou peut être une jeune femme que je retiens in-extremis. Elle relève sa petite tête tout en ouvrant ses prunelles bleus
- Bonjour dolcezza mia lui dis-je d'une voix rauque, un petit sourire en coin. Ses joues se colorent à une vitesse hallucinante et elle essaye de se dégager de mon étreinte mais chose impossible.
- Où comptiez vous allez ainsi au risque de tomber ?lui demandais-je même si je connaissais déjà la réponse. Elle me sourit de toute ses dents en se dégagent de mon étreinte. Dommage !