Inspecteur Bakugo

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...Au sous-sol du parking...

Bakugo : Hé ! Todoroki !
Todoroki : Hum... ?

Il le plaqua brutalement contre un mur du parking que leurs têtes se collèrent front contre front...

Bakugo : Écoute moi bien Double-face ! En dehors, du bâtiment de police, c'est moi et moi seul qui décide si tu taff avec moi ou pas. Et non la momie ! Compris ?!

« Je vous jure ! Quand la Momie donne l'ordre avec qui je dois partager le reste de mon taff et en plus comme par hasard c'est le gars que j'ai croisé qu'hier soir. Quel destin de merd. »

Todoroki : Com-compris.
Bakugo : Bon.

Il le relâcha et chercha sa voiture.
A peine rentrer dans sa voiture et mets le contact qu'une portière côté passager s'ouvre et prend place tranquillement.

Bakugo : Euh... je peux savoir qu'est-ce que tu fais ?
Todoroki : Je ... je viens avec vous pour retrouver le soit disant « suspecte ».
Bakugo : Je ne parle pas de ça. C'est.. QU'EST-CE QUE TU FOU DANS MA CAISSE ?! T'as pas ta bagnole ?

« Non mais, je rêve là !? A peine arrivé qu'il prend son aise, tranquille, peinard ce Double-face. »

Todoroki : Ah.. c'est que... le problème, la voiture ne viendra que demain matin et donc.. .
Bakugo : Je m'en fou royalement de tes problèmes. Tu n'a cas prendre l'une des voitures du travail. Sors de ma caisse !
Todoroki : Ce n'est pas très professionnel pour rejoindre le bâtiment avec deux voitures différentes. A mon noble avis.
Bakugo : Tant soit disant « noble avis » je n'ai rien à foutre. Tu sors ! Basta.

Un petit silence s'installe entre eux. Quand tout à coup, une voix masculin se fit attendre.

Aizawa : Je peux savoir qu'est-ce que vous faites encore là à papoter pour un rien ? Faut-il maintenant une autorisation pour que vous dégagez peut-être ?

« Aizawa ? Putain, je ne l'ai même pas vu venir. Tellement que je suis concentré avec ce bicolore. »

Aizawa : Bon, quel est le problème ?
Bakugo : Demande sa a Double-face, qu'il prenne une voiture du travail et non le mien.
Aizawa : Juste pour une voiture ? Inspecteur Todoroki, où est votre voiture ?
Todoroki : Hé bien, je ne l'aurais que demain matin.
Aizawa : Bon, Inspecteur Todoroki, tu va allé avec lui pour l'instant.
Bakugo : Hé puis quoi encore ?!

Le chef de la police lança un regard noir a l'inspecteur Bakugo. Qui lui, exécute avec quelques petits murmures.

Aizawa : Bon, le problème réglé. Dégagez !

« Tch... fait chier. Tu ne perds rien pour attendre satané Momie. »

...En dehors, bâtiment abandonné...

A l'entrée du parking, du vieux bâtiment qui tombèrent en ruine. Dans la voiture de l'inspecteur Bakugo s'annonce une deuxième problème.

Bakugo : Bon, on récapitule mon plan. Je vais inspecter et traquer ce salopard ! Et toi ... bin tu restes ici. Simple comme bonjour.
Todoroki : Je ne pense pas que se soit le meilleur plan, Mr Bakugo.
Bakugo : Bakugo suffit. Et qu'est-ce que tu propose comme plan Mr « Je Sais Tout » ?

« Vas-y dis moi, si tu plan est meilleur que le mien ? Qu'on rigole. »

Todoroki : Bien, Bakugo. Je propose que l'un de nous deux doit aller chacun de notre coté : un à l'entrée et l'autre derrière au cas où le « suspect » s'enfuit par la porte de sorti. Alors ? Qu'est-ce que vous pensiez ?

« Il m'énerve de me vouvoyer à chaque fois ! La prochaine fois qu'il le remets sur le tapis, je l'explose direct dans sa face. »

Bakugo : ... donc c'est ça ton fameux plan. Un plan pourrit pour débutant, ouais ! ... Fait comme tu te sens. Mais si jamais tu es sur mon chemin, crois moi que je vais tirer allié ou ennemi ! J'm'en tape.

Il quitta sa voiture, puis entre à l'accueil à pas de loup, il sort son flingue ainsi qu'une lampe de poche et s'aventure dans le vieux bâtiment. Prêt à tirer. On voit quasiment rien à part côté fenêtre avec la lumière du soleil qui pénètre. Des bureaux apparente de toute part, des morceaux de verres éparpillés ainsi que des feuilles. Rien. Il continu sa route en prenant l'escalier de l'accueil pour arriver au 1er étage. Visite différent pièces. Il entra dans une salle qui apparemment était celle du bureau d'un grand patron, mais toujours personne, à croire que l'information donner par les deux policiers était du bidon.

« Bon, du calme, reste sur tes gardes ! Tu l'a déjà fait plusieurs fois dans ce genre de situation. Regarde partout où tu mets tes pieds. Bien, rien pour l'instant, à l'étage suivant. »

Il monte à l'étage suivant, avec toujours le même foutoirs cas l'accueil et au 1er étage.

Bakugo : J'ai une faim de loup, tout à coup !
... : ...alors un dernier mot avant de partir en fumé ? ...

Des paroles se fîtes prononcées, non loin de lui. Par réflexe, il s'accroupit et la lampe s'éteint. Et regarde de gauche à droite, personne, il s'avance à petit pas. Il entendait quelques pas et des murmures étouffés.

« Il n'y a pas qu'un mais deux connards ! Ça va être du gâteau, je le sens. J'espère que le bicolore est resté là où il doit être ... . Bien alors, quelle méthode dois-je appliquer face à ses deux zigoto ? »

Bakugo : La méthode la plus simple, évidemment !

Il courut vers les deux chuchotements qui était dans une pièce à six pas d'ici. Il défonça la porte à coup de pied et découvrir une scène avec deux personnes : un ligotée à une chaise tout en poussant des cries de terreur ainsi que l'autre pointé un revolver sur la tête de la pauvre victime. Avec l'entrée fracassante de Bakugo que l'arme du tueur tue sa 6e victimes sous les yeux impassibles de l'inspecteur Bakugo.

Bakugo : Comme on se retrouve tueur d'mes deux ! Voudrais-tu aussi une balle entre tes deux yeux ?

Chacun de sons côtés pointèrent leurs armes. Personnes ne bougeaient. Soudain, un gros bruit et lourd comme de la ferraille résonna dans les étages du vieux bâtiment. Les murs qui tienne à peine les pièces du 2e étage, fîmes trembler en laissant échapper quelques poussières.

« Mais qu'est-ce que ... »

La poussière, atterrissant sur le crâne de l'inspecteur Bakugo puis sur ses yeux.

Bakugo : Aaaah !!! Saleté poussière de merd !?

Pendant qu'il se bat avec son nouveau rival, quant au tueur s'enfuit par la porte d'où Bakugo a fracassé la porte d'entrer.

Bakugo : Putain, tu crois vraiment que je vais te laisser sortir comme ça ?! Fils de *** !

Tout à coups, un énorme brique tomba suivit des autres briques sur la tête de l'inspecteur Bakugo qui s'écroula à terre.

🔥❄️Todobaku💥

Un amour à travers le flingueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant