Fire demons

Chapitre 11

Suite de il y a quelques semaines

C'est pas possible, comment on a fait pour pas voir que Lola ça n'aller pas. Et moi qui la traîner dans un périple, des nuit blanche et l'alcoolémie qui été notre amie. Je suis dans la salle d'attente j'attend. J'attend quoi, simplement qu'une infirmière soit à bout de l'autre folle.

- Excusez moi ? Vous pouvez me suivre, on a du mal à tranquilliser votre amie! Me dit l'infirmière qui fait vingt ans de plus que son âge.

Lola a du taper fort encore une fois. Elle est pas possible des qu'elle est contrariée, elle devient pire que sa mère, une vrai cruella. Dans le couloir qui me mène à elle je plains les infirmières.

- PUTAIN JE VAIS ME LE FAIRE! L'ENCULER MÊME HUIT MOIS PLUS TARD IL M'EMMERDE ENCORE. Hurle l'hystérique.

- Bon la sorcière elle se calme un peu! Lui dis-je

-NON MAIS TU Y CROIS TOI. IL ME CALCULE PAS ET PAFF IL ME BAISE ET JE FAIT UN PUTAIN DE DÉNI DE GROSSESSE.
JE SUIS SUR QU'IL A TENU UN DISCOURS À SES PETITS SOLDATS POUR ME METTRE DU PREMIER COUP EN CLOPE FAIT CHIER.
Continue-t-elle.

Je m'approche du lit sur lequel Lola est censée rester tranquille mais bon ça c'est pas gagnée.

- chérie calme toi c'est pas bon dans ton état et je sais que tu va aimé ton rôle de maman.

- je sais pas être maman, qu'est-ce que je vais faire hein. Pleure-t-elle doucement contre mon épaule.

- je suis là moi, et je vais appeler ta mère. On va déménager dès qu'on peut d'accord, je vais chercher et je vais trouver un endroit paisible d'accord.

- d'accord! Dit-elle vaincue. Je t'aime tu sais ?

Je prend un visage neutre et lui déclare.

- moi aussi je t'aime. Dés le moment que je t'ai vu je suis tomber amoureuse de toi. Mais j'ai pas oser te le dire.

Lola me regarde comme si une deuxième tête me pousser.

- mais Naya, je savais pas que tu avais se genre de sentiments' je suis désoler je suis je suis , j'aime les hommes. Et mon frère, c'est quoi? Tu es bisexuel? Je... je

Dans un éclat de rire j'essaie dans placé une.

- Non sérieusement, tu m'a cru? Lola je pensais que tu me connaissais quand même. J'aime ton frère.

- oh putain tu m'as fait peur débile.

Cette petite plaisanterie a apaiser Lola.
Les contractions commence à se faire ressentir de plus en plus forte. Les heures passent et Lola est à bout. Elle a insulter tellement Lewis que mes oreilles saignent. L'infirmière vient faire des examens, malgré les contractions et le col qui se dilatent. A l'intérieur de son vente sa supporte mal et après l'avis médical Lola est emmenée en salle pour une césarienne.

-Naya tu viens? Hein me laisse pas s'il te plaît. Commence-t-elle a pleurer.

- chuttt ma belle. Après un regarde à l'infirmière je continue. Bien sûr que je viens, je vais pas rater sa.

- tu veux être là marraine. Me sort elle comme sa.

- bien sur. Bien sûr que je veux. Merci aller on y va d'accord. Je me prépare et j'arrive.

- d'accord!

Lola a une grande gueule,  mais là mon amie est terrifiée, perdue. Jamais de la vie après plusieurs mois on se serait attendu à sa. Sinon on aurait fait les choses autrement. Son comportement c'est son inquiétude qui prend le dessus. Pendant plusieurs mois, on a bues à l'excès et on a fumer quelque fois un peu d'herbe. Elle a peur de savoir si notre vie de débauche a eu des répercussions.

J'ai réussie à appeler sa mère. Elle a pleuré bien sûr et m'a demander de ramener Lola près d'elle. Après une préparation plutôt hygiénique, on me fait entrer dans une salle. Je le sens pas. Lola est là devant moi allongé, les bras étendu de chaque coter un champ médical devant elle. Je m'avance dans cette environnement qui me dépasse. Je n'aurais jamais penser venir de mon plein gré dans une pièce comme celle ci. Je prend mon courage et m'assoir sur le tabouret roulant que l'on me donne. Je regarde autour de moi.

- j'ai peur Naya. Me dit Lola en panique

- t'inquiète pas, je suis là. Je reste là à coter de toi.

- merci. Tu es plus que mon amie.

Un voix nous annonce qu'ils vont commencer. Lola capte mon regard et chercher à l'intérieur du soutien. Je lui parle de tout se qui me passe par la tête. Je lui dit que j'ai eu Julia sa mère au téléphone. Qui le dira qu'à son père marc. Après plusieurs minutes, on entend un cri, putain il a de la voix comme sa mère. On est dans la merde.

Une infirmière se met à côté de nous est nous présente un bébé minuscule emmitouflé dans un linge. Il est magnifique. Je pleur et Lola aussi. Elle embrasse son petit crâne dégarnie. Au contacte de sa mère, bébé se calme.

- quel prénom vous aller donner à ce joli petit mec. Nous dit l'infirmière.

-un .. un garçon. Bégaie Lola

- oui . Confirme l'infirmière.

Lola n'as pas trop eu le temps de penser à des prénoms. Et elle a décidé d'un diminutif pour Mathieu son frère.

- Matt. Qu'est-ce que t'en dit toi. Me demande elle.

- c'est parfait.

L'infirmière part avec mon filleule pour les premiers soin.

Une autre sage femme viens voir Lola, lui dire que c'est bientôt fini. Qu'ils recousent et après elle repartira dans la salle où elle était tout l'heure pour se reposer. Elle nous regarde et nous dit avec un sourire.

- et la princesse, quel est son jolie prénom ?

- Amber répond la jeune maman.

Elle me regarde, je lui souris elle a donner le prénom de la mère de Lewis à sa fille Amber. Elle est magnifique. Petit crevette avec de jolie cheveux noir comme son père. Elle ne pleur pas, pas comme son frère jumeaux. Ils sont carrément l'opposé. Le yin et le yang.

Me voilà marraine de deux magnifiques bébés.

De nos jours:

Je viens à peine de poser mon tête sur l'oreiller que le réveil sonne 7h30.
Je file sous la douche et descend dans notre cuisine. Je m'approche des deux crapules qui a mon arriver joue frénétiquement des mains et des pieds.

- coucou mes lapins d'amour.

En guise de réponse j'ai le droit à se qu'il s'approche le plus d'un sourire du haut de leur 3mois. Je suis perpétuellement en admiration devant ses bébés qui nous remplissent nos journée de bonheur, enfin moi quand je suis à la maison.
Je vais prendre ma tasse de café et je bois se breuvage tant mérité.

- coucou! Bien dormit ? Me dit Lola derrière moi.

- coucou. Oui merci et toi les enfants sa été cette nuit?

- Naya arrête de t'inquiète pour nous. Tu t'es vu dans un miroir? Tu es cerné! Tu boss beaucoup trop.

- je sais mais t'inquiète pas. Comme j'ai dit seulement quelque mois. Les pourboires paie pas mal au bar et dès que j'ai assez de côté je pars et je garde que celui en journée.

Pas convaincu de mon discours elle me dit:

- d'accord, mais j'aime pas que tu boss comme sa pour nous. Et moi je ne fait rien.

- déjà tu ne fait pas rien! Ok? Tu as deux bébé qui on besoin de toi. Et je boss car tu es avec mes lapins ma famille. Ne t'inquiète pas.

Après un bisou sur la joue des trois personnes les plus chère a mon cœur je pars pour une nouvelle journée de travail.
Je sais pourquoi je travail, alors je garde le sourire et la bonne humeur.