Fire demons

chapitre 4

Lola.

Je suis comme anesthésier de la déclaration de ma sœur de cœur. Elle veut, va partir. Je sais se qu'elle endure avec les agissements de mon frère, je vis le même avec Lewis, même pire étant donner que depuis aussi longtemps que je me souvienne, je l'aime. D'un amour qui nous prend au tripe, mais lui a un autre regard sur moi, plus fraternel.

- Lola comprend moi, je suis pu la même qu'avant, je change, ça me bouffe de l'intérieur.

-....Je...tu... tu vas me quitter? Qu'est ce que je vais faire sans toi. lui répondis-je les larmes au yeux.

-Ne sois pas égoïste, s'il te plaît, je n'en peux plus.

-Mais si, je veux être égoïste avec toi, tu es ma meilleure amie, la sœur que j'ai rêver d'avoir pendant 23 ans. s'il te plaît réfléchie encore? je lui demande suppliante .

-Viens, part avec moi, toi aussi tu t'éteins de plus en plus. J'y ai réfléchie depuis quelques jours mais c'est la seule réponse que je trouve. Réfléchie aussi, d'accord? me dit-elle avec un sourire qui se veut réconfortent.

Je suis là, les bras le long de mon corps, je ne sais pas comment réagie. Le regard qui fixe un point imaginaire au-dessus de son épaule, je ressens un mal-être qui s'empare de moi. J'ai deux solutions, le choix: celui où je prends en main ma vie amoureuse, ou je pourrais essayer de passer à autre chose en étant avec ma copine de galère. Ou la raison qui ne m'apportera pas cette vie amoureuse que je rêve temps, mais je serai auprès de mon frère, mes parents et les personnes du club qui sont ma famille. Après un long moment, je rencontre le regarde de mon amie qui reflète exactement le mien, les yeux inonder de larmes qui coulent sur nos joues rosies par celle-ci.

Je me refuge dans ses bras qui mon temps réconforter pendant deux ans et lui souffle.

-D'accord, je vais y réfléchir. Je t'aime Naya.

Mathieu.

Depuis leur retour, le jour de leur shopping, les deux folles sont bizarre, et leur comportement étrange. Naya regarde des point imaginaire a longueur de journée et les seules fois ou elle refait surface, c'est quand un frère ou une régulière lui pose une question, de suite après elle repart loin de moi, de nous. Ma sœur, elle, elle passe ses journées les yeux rouges a scanner chaque personne dans la pièce, comme si nous allons disparaître d'un instant à l'autre. Depuis leur soi-disant torture, je les retrouve souvent à se fixer et chuchoter entre elle, mais aucune connerie nous tombe dessus. Je m'en plein pas et les trois autres non plus. Nos poils repoussent seulement sa gratte, sa pique et les photos que certain frère on pris s'arrête peu a peu a refaire surface entre eux pour nous emmerder.

Une main se pose sur mon épaule descend dans mon dos et passe devant pour caresser ma queue.

-Salut toi, tu voudrais pas venir te changer les idées! me dis Lesly un p'tit cul qui traine toujours ici dans l'espoir de décrocher le statue de régulière.

- Et quoi? lui dis-je en la ramenant devant moi

- Toi, tes main, ta bite sur et en moi! me susurre-t-elle en léchant mon cou.

Mes main se pose sur son cul, je le caresse, palpe et le serre. Nos bouches se rencontre, nos main se touche, elle caresse ma bite. J'ai besoin de baiser, je la jette sur mon épaule et en regardant tout mes frères je cris

- Réunion dans 30 minute.

Je n'attend pas leurs réponses. Je traverse la salle et remarque ma sœur et Lewis en pleine discutions, enfin discutions de loin j'ai l'impression qui se prennent la tête avec leur grands gestes. Je continu quand même mon ascension dans les marche et tombe sur Naya.

Nos yeux se croise une palette d'émotion passe dans ses beau yeux. Mais ceux, que j'arrive a reconnaitre la colère et la haine me gène, me transperce je ne sais pourquoi. Lesly qui a réussi a glisser le long de mon corp empoigne ma bite et la caresse au dessus de mon jean.

-Chéri j'ai envie de toi, aller. me dis-t-elle d'une voix qui se veut séductrice.

Naya détourne les yeux, je compte demander à Lesly de m'attendre dans ma piaule, mais trop tard ma queue est déjà au fond de sa gorge. Je ne remarque pas Naya partir et je n'entend pas non plus sa phrase qui d'ailleurs, des le lendemain aura était la dernière.