6 - Pas besoin de se lever

2.4K 21 0
                                    

On est vendredi soir, c'est le week-end. Chaque nuit j'ai utilisé une couche, je ne la met pas complètement, je la glisse uniquement sous moi pour me soulager dedans, c'est rapide et je n'ai pas à sortir, j'ai acheté des lingettes pour m'essuyer juste après. Je me rendors ensuite très facilement comme à la maison. Je reconnais que ce n'est pas terrible, mais cela me convient. Parfois ma conscience me dit que ce n'est pas bien, alors je me rappelle les paroles de Tante Sophie.

Demain, j'ai prévu de faire la grasse matinée, aller chez mes parents en début d'après midi et une soirée entre copines. J'en ai vraiment besoin. Ce sera une bonne journée alors je m'endors rapidement.

Au milieu de la nuit, j'ai comme d'habitude un besoin d'uriner, je me lève pour prendre une couche dans le placard. Cette fois ci j'ai tout mon temps, je m'assieds sur le lit et j'observe cette couche, je commence par caresser le plastique tout soyeux, j'aime toujours quand c'est doux, je la déplie complètement et passe mes doigts sur les barrières puis l'intérieur, c'est si doux, on ne doit pas être mal dedans. Je pose la couche sur le lit, retire mon pantalon de pyjama et m'assieds sur la couche, quelle sensation sur mes fesses ! Je ne peux pas en rester là, je rabat le devant de la couche contre moi et je fixe les adhésifs.

Moi qui ne voulais pas, je porte maintenant une couche, je suis ridicule, mais j'aime trop cette douceur sur mes fesses. Je me sens rassurée également, mon pipi peut couler à tout moment, plus de risque. Je me lève et je me regarde dans le miroir de l'armoire. Qu'elle horreur, je n'aime pas ce que je vois, une adulte avec une couche, comme un bébé. Je suis réellement ridicule.

C'est à ce moment que ma vessie se libère et je sens une chaleur envahir la couche. Quelle découverte, j'adore cette nouvelle sensation. Tant pis pour le look, je sais que recommencerai chaque nuit.

Maintenant il faut enlever tout ça et continuer à dormir, mais je m'arrête au premier adhésif.
- Réfléchi un peu ma grande fille, si tu veux rester au lit demain matin, tu vas de nouveau avoir envie, tu peux refaire une autre fois dans cette couche, pas besoin d'en utiliser une autre. Tu es bien dedans, tu ne sens pas l'humidité de ton pipi, tu peux dormir comme cela.

Je remets mon pyjama par dessus la couche, et je me remet au lit. Pas facile de me rendormir, je sens cette masse entre mes jambes, le plastique fait un peu de bruit quand je bouge. Puis ça bouillonne dans ma tête. Pas demain car je serais avec mes copines puis ensuite chez mes parents, mais dans la nuit de dimanche je remettrais une couche entièrement comme cette nuit, dans ce cas autant la mettre avant de me coucher, j'ai bien aimé la douceur sur mes fesses, ça évitera aussi de me lever. Fini les risques d'accident, j'ai ma protection, au moins pendant la nuit. Je m'endors sur ces bonnes pensées.

En me réveillant le matin, ce n'est pas comme d'habitude, oui c'est la première fois que je peux faire la grasse matinée dans ce lit, et bien sûr j'ai envie de faire pipi, mais il y'a autre chose. Courage, je dois me lever mais j'ai un truc qui me gène entre mes jambes. Ça me revient, c'est cette nuit, j'ai mis une couche et je n'ai pas besoin de me lever. Une couche à mon âge, tout ça parce qu'il faut sortir pour aller aux toilettes. Ah mais c'était très agréable quand j'ai mouillé la couche, je ne veux plus rater ce plaisir, il faut que je recommence et justement j'ai envie de faire pipi.

Immédiatement, je laisse tout couler dans la couche sans rien retenir. C'est encore mieux que cette nuit, je sens cette chaleur sur toute la surface de mes fesses. Ça me donne envie, ça doit être bon de se caresser. Non c'est encore du n'importe quoi. Reprends toi ma grande, ce n'est pas une couche mouillée qui va te faire grimper aux rideaux.

Je suis partagée entre les plaisirs que ai avec cette couche et ma raison de jeune fille. Là toujours j'aime bien cette épaisseur tiède entre mes jambes, cette douceur sur mes fesses, mais je suis au lit avec une couche, cela reste inconcevable, je ne suis pas incontinente et je ne devrais pas en avoir besoin. Les couches m'ont malgré tout bien rendu service toute la semaine, utilisées différemment cela me fait du bien, autant en profiter.

On tape à la porte.

- [Sophie] Gaëlle, tu es présentable ?

Je regarde l'heure sur son réveil, il est dix heures. Oh non, il ne faut pas qu'elle me voit avec cette couche pleine.

- [Gaëlle] J'arrive je ne suis pas habillée
- [Sophie] On part dans une heure, tes parents nous attendent pour manger

Je sm lève de suite et je vérifie le lit, tout est sec, je retire son pyjama, la couche et je passe mon jogging. Je me sent sale, au plus vite je dois prendre une douche.

Je dépose la couche dans la poubelle et j'entre dans la maison

- [Gaëlle] Bonjour, je n'est pas vu qu'il était si tard
- [Sophie] Ça va ? tu peux venir en pyjamas comme le reste de la semaine, pas d'accident ?
- [Gaëlle] Non, non je préfère dormir avec une couche maintenant, de toute façon j'en utilise une toutes les nuits alors autant la mettre avant de me coucher
- [Sophie] Tu as changé d'avis alors, c'est ok pour moi.
- [Gaëlle] Merci, Ça reste juste entre nous.
- [Sophie] Bien sûr, ça à l'air de te gêner, tu es encore toute rouge, allez vas prendre ta douche

Je me demande encore pourquoi je lui ai dit, c'est aussi bien, j'ai toute confiance en ma tante, bon je ne lui ai pas non plus tout dit surtout pas la raison qui m'a fait rougir, mais ces plaisirs ne concernent que moi. Tante Sophie est d'accord, cela me réconforte dans mes perturbations, je dois maintenant m'accepter avec ma couche. J'ai hâte d'être à dimanche soir.

Je ne suis plus un bébé - Tome I.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant