Je ne suis plus un bébé - Tome I.

35 - Très sensible

Ça me fait drôle de marcher avec les talons hauts, je ne suis pas sûre de moi et je dois faire attention, j'ai les escaliers à descendre. A chaque marche je sens les jarretelles sur mes fesses. J'adore, je sais que ça va lui plaire, d'abord lui donner du plaisir, il aura encore plus envie de s'occuper de moi. Je ne sais pas si c'est lui, ou pour me prouver que je ne suis pas un bébé. Peut-être les deux, je sais juste que j'ai réellement besoin de faire l'amour.

Clairement, ça lui plaît beaucoup, il a mis un moment avant de me rejoindre. Il m'embrasse, c'est le moment de tester l'effet bas sur lui mais je n'ai pas beaucoup d'équilibre avec les talons. Je me maintient à lui, il a déjà trouvé les jarretelles sur mes fesses et ça l'a fait déjà bien réagir. Il faut que j'arrive à remonter sa jambe de pantalon avec la mienne, attention avec le talon de ne pas lui faire mal. Moi aussi ça me plaît, le bas est vraiment doux et caresse aussi ma jambe, pas étonnant qu'il craque. Il ne faut pas que j'insiste, il y est très sensible et c'est encore trop tôt.

- [Kevin] Je ne vais pas tenir très longtemps.
- [Gaëlle] J'ai senti, on va devoir libérer tout ça

Je l'emmène dans la chambre, plus exactement je m'accroche à lui parce qu'avec les talons, ce n'est pas vraiment ça. Je veux absolument contrôler à cause du temps. Sans mon pipi, nous aurions pris tout nôtre temps, je n'ai pas le choix, nous devons nous en contenter.

Déjà cette couette, je la rabat sur le côté, nous n'allons pas la laver tous les jours, à la limite le drap, c'est vite changé à deux.

Je commence par le déshabiller, j'ai senti qu'il ne va pas tenir longtemps, comme la semaine dernière, je vais le faire venir rapidement, et nous aurons tout le temps ensuite. Les bas lui font de l'effet, moi aussi j'aime bien, je place ma jambe contre la sienne, il y a juste cette fine matière très douce qui sépare nos peaux. J'enlève ma ceinture pour lui faire comprendre de m'enlever sa robe. C'est bien ce que j'espérais, je place ma main sur son slip, c'est bien tendu, il ne doit pas manquer grand chose. Je peux me coller à lui et mettre un maximum de surface en contact. C'est la première fois que j'utilise de la lingerie de cette manière, je dois reconnaître que c'est très efficace.

- [Gaëlle] Hé, on avait à peine commencé.
- [Kevin] Désolé, je ne pensais pas si vite, c'est que je ne suis pas habitué à autant de faveur. Puis je n'ai pas de quoi me changer.

Je le pousse gentiment sur le lit, je lui enlève son slip et je l'essuie avec. Je n'ai pas grand chose non plus à lui proposer, puis ce sont des sous-vêtements féminins, reste les couches, c'est unisexe.

- [Gaëlle] Tu as le choix entre la culotte blanche ou une couche, je peux te céder mes strings aussi.
- [Kevin] Je vais y réfléchir.

Faut toujours que j'en rajoute, ça sort avant même que j'ai fini d'y penser. Mais la situation est cocasse, c'est qu'il n'a pas trop le choix, il n'est pas non plus obligé de mouiller la couche, c'est juste un slip un peu plus épais.

- [Gaëlle] Déjà on doit finir et on verra après.

Je dois déjà le remettre d'aplomb, nous avons encore le temps, mais ça serait bien que quand il s'occupe de moi, ça dure un peu. C'est le moment d'utiliser mes seins, puisqu'il les a si bien lavés, je peux déjà commencer par enlever mon soutien-gorge, il frémit à chaque fois que mes tétons touchent sa peau. Parfait, je peux maintenant la placer entre mes seins. Ça me fait aussi bizarre de le sentir là, il est aussi à ma merci, c'est moi qui mène, lui n'arrive plus à contrôler. Moi aussi, j'ai de plus en plus envie de lui, je vais le stimuler encore un peu et l'inviter à s'occuper de moi. C'est toujours moi qui contrôle, je bouge mes seins avec mes mains pour bien le maintenir entre, il se laisse faire et à vraiment l'air d'apprécier. Un peu trop, j'ai tout reçu sur le menton. Trop tard, je ne m'attendais pas à ce que ce soit si rapide. Je sais au moins qu'il aime et c'est faisable aussi avec une couche.