chapitre 1

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Cela fait maintenant une heure que je suis en cours d'histoire du pays et c'est vrai je commence vraiment à en avoir marre et lutte pour ne pas m'endormir mais en même temps qu'est ce que c'est long et puis on sait toutes comment ça va se finir. Il vont mettre en place un traité qui dicte nos vis et nous promettant la "sécurité"et le "bonheur" de tous. On peut en parler du bonheur pour moi  ça serait d'éviter ces cours interminables et de ne pas être obligée de me marier avec le parfait Jules Collins. Le garçon le plus convoité par les filles de familles souveraines.

Vous savez quoi les filles si je pourrais je vous le laisserais volontier. Je ne peux pas me le voir ce type, il est arrogant et sûr de lui, il pense qu'il est apprécié de tous vu son statut mais non la preuve je ne l'aime pas.

Depuis petit nos parents nous laissent une journée seul en compagnie de l'autre pour que l'on apprenne à se connaître... Mais qui leur a dit qu'on voulait apprendre à connaître ?

Je sors de ma rêverie quand la voie criarde de Mme Smith se fait entendre juste à côté de mon oreille.

Mme smith : Allons mlle Lyvia ce n'est pas un façons de se tenir devant son futur mari qui plus est Mr Collins.

A force de rêver je n'avait même pas vu Jules rentrer dans la salle. Qu'est-ce qu'il peut bien faire ici.

Moi : Excusez moi madame.

Mme smith : Ce n'est pas à moi que vous devez des excuses mais à Mr Collins.

C'est une blague pourquoi lui devrai je des excuse ?

Moi : Jules, excuse moi.

Jules : Il n'y a pas de problème. Par contre il risque d'y en avoir un si nous ne partons pas maintenant.

Moi : Quoi ! Mais où allons nous.

Jules : Ma mère veut nous voir tous les deux maintenant. Et tu la connais. Tu sais ce qui va se passer s'il on est en retard.

Moi : Oui oui. Bon excusez moi madame smith mais madame Collins m'attends et ne vous inquiétez pas je rattraperai le cours sur l'une de mes camarades.

Jules : Oui je vous en serais d'une grande reconnaissance. Je ne veux pas que ma futur femme soit une inculte.

Et voilà il recommence toujours devoir tous ramener à lui. Elles ont toutes le sourire au lèvres et les joues rouges. Je vais avoir pas mal de visite ce soir. Nous sortons de salle. Après un bref silence. Je décide enfin de poser la question qui me brûle les lèvres depuis tant d'années.

Moi : Que pense tu du fait que tu dois m'épouser alors que tu n'as pas de sentiments pour moi ?

Jules : Qui t'as dit que je n'en avait pas ?

Moi : Pourquoi aurais-tu des sentiments pour moi ?

Jules : Peut-être parce que l'on se connait depuis petits et que je sais avec qui et à quoi je m'engage.

Moi : Tu ne connais rien de moi !

Jules : Tu te trompe j'ai appris à te connaître depuis maintenant 15 ans environ... Certes je ne connais pas le moindre de tes secrets ou de tes goûts mais je sais que je connais plus de choses sur toi que sur n'importe quelle autres filles de fondateurs.

Moi : Ce n'est pas pareil car on nous a obligé à se parler et à "s'apprécier". Que penserais tu d'un mariage sans amour ? Que penses tu du fait que je sois obligée d'épouser quelqu'un pour qui je ne ressent rien appart du dégoût ? Que feras tu si je te dis que je ne veux pas avoir d'enfants pour qu'ils ne subissent pas ces même arrangements que nous ?

Après ma longue tirade Jules se tue je peux voir dans ses yeux l'étonnement et la réflexion.

Moi : Répond moi !

Jules : Je ne sais pas quoi dire Lyvia ! Que veux tu que je te dise ? Que je suis ravi de t'entendre dire que tu éprouves du dégoût pour moi ! Je pensais que même si tu ne m'aimais pas en amour tu m'aimerais quand même en amitié et que ça pourrait marcher mais enfaîte je me trompe depuis le début ! Tu as fait semblant toutes ses années, je suis désolé de te l'apprendre mais c'est comme ça tu n'as pas le choix ! Nous n'avons pas le choix ! Ma mère veut que l'on annonce nos fiançailles la semaine prochaine afin de se marier avant mes 19 ans.

Je n'avais même pas vu que nous étions arrivés au bureau de la mère de Jules. Jules frappa à la porte.

?? : entrer !

Après cette invitation Jules poussa la porte et entra. Je sentis mes mains devenir moites... J'ai vraiment peur de ce qu'elle va me dire je viens juste d'avoir 18 ans il y a 2 mois je ne suis pas prête à me marier. Et encore moins si je ne l'ai pas choisi.

Jules : Lyvia, tu viens ?

Avec ça je n'avais même pas vu que j'étais devenue statique.

Moi : J'arrive.

Et Si Ce Tiarage N'avait Jamais Eu Lieu ? Où les histoires vivent. Découvrez maintenant