se laisser aller

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Jack

- putain j'suis dans la merde la

Je ferme les yeux en soupirant et les réouvrent sur une charlie conquérante et déterminé à me faire céder et qui apparemment ne lâchera pas le morceau tant que je n'abomde pas en sa faveur,a sa supplique .je sais qu'elle veux m'aidez,qu'elle fait pas ca par pitié, je commence a la connaître maintenant et la pitié fait pas partie d'elle ,c'est pour que je me retien de l'envoyé boulet.sa aura été ma soeur ou john je l'aurais sans doute fait,mais oas elle,pas charlie alors je me tais remballe ma colère et dis oui .et la je me rends compte quand même que je suis dans la merde,elle auras ma femme soupirais-je.
Cette femme qui au final est chère à mon coeur est aussi têtu qu'un mulet et là je doit dire qu'elle ma bien eu sur ce coups là.

- écoute jack...dit-elle en soufflant par le nez les lèvres pincé et en reprenant les yeux dans le vague ,laisse tomber d'accord .

Je voie bien son malaise, pour avoir essayé de m'obliger à faire un truc que je voulais pas et que j'avais mainte fois testé avant de la connaître mais qui n'avait jamais marché et elle le sait en plus, on en àparlé elle et moi après un cauchemars très virulent qui a faillit me coûté un beau coquard . Mais la se qu'elle me propose c'est de m'accompagner chez se spécialiste, je sais qu'elle me jugeras pas pourtant mais moi comme un couard,je recule dès qu'on aborde le sujet,je recule de peur de me rappeler toute cette horreur que j'ai vu et supporter en Afghanistan pendant cette mission et je veux pas le revivre .

- pourquoi demandais-je

Charlie me lance un regard triste à l'entente de ma question et hausse les épaules une moue adorable au lèvres

- parce-que je connaîs ton mal jack,n'oublie pas que moi aussi je suis militaire des horreurs j'en ais vu et commis aussi, lache-t-elle du bout des lèvres comme replongé dans ses souvenirs .
Surpris je lève un sourcils et garde les lèvres scellés en attendant qu'elle en dise plus ,mais je la voie secoué la tête de gauche à droite ,donc j'en saurai pas plus...tant pis pensais je déçus

- tu...tu me dira un jour essoufflais-je prêt de son oreille

Charlie héboche un sourire triste et acquiesce en évitant un peu mon regard et là je comprends que comme moi elle à souffert mais qu'elle veux pas en parler,enfin pas tout de suite.
Elle soupire un grand coup pour se donné du courage et une larme coule sur sa joue

- quand nous dormons ensemble...ils...ils viennent plus me hanté la nuit...tu les chassent,dit charlie dans un reniflement discret

Putain mais c'est vrai, mais qu'elle con merde maintenant je m'en rend compte que moi aussi ils me laissent tranquille et comme un automate j'acquiesce à ses paroles et à mon tour sourit grandement devant cette état de faite,nous sommes deux à avoir souffert d'être soldats et de voire c'est horreur.
J'efface l'unique larme qui avait coulé et qui coule encore sur sa joue suivit de sa jumelle et je voie Charlie ses joue rosire de gêne ,que c'est mignon me dis-je.

- ok cèdais-je dans un soupire

Je vit alors de la douceur traversé ses iris et dit tout en essayant de se reprendre

- entre frère il faut se soutenir non dit-elle en imitant un sourire sincère, mais qui se résumé en une grimace.

Mais pour moi non,même si elle a fait son service militaire ou engagé, même pas en rêve, c'était loin d'être une camarade oh non pour moi charlie était à moi ,mon âme, mon amour et....ma femme,sa oui à moi et pour lui faire comprendre il y a qu'une manière. Charlie qui me regardait à se moment là,je la vit rougir de plus belle quand elle avu l'expression qui transperce mes iris,mais je m'en fou on était seul ,comment je le sait facile c'était une chambre avec un lit ,que carters à bien veiller à ça et au final sa m'arrange.
Alors la voyant déglutir avec un regard hésitant, je craque étant proche d'elle je perds pas de temps, attrape sa nuque entre mes doigts et la tire vers moi d'un geste brusque ,puis sans attendre colle mes lèvres abruptement sur les siennes en y mettant tout mon amour et tout ma fougue .oh putain ouais et je crois qu'elle le sent car ses mains m'agripe comme un naufragés à sa bouée, son souffle chaud me balayant le visage .

Quand son corps enfermé dans ses horribles blouse d'hôpital, mais qui finalement va bien me servir. Je me colle à son corps très  réceptif se qui échauffe mes sens encore plus et en profite encore plus en passant mes mains partout sur elle,la carréssant sans pouvoir m'en empêche j'aime tellement son magnifique corps.quand enfin elle exprime son contentement à mis voix,c'est signe pour moi qu'elle se laisse allée, alors je la renverse sur le matelas délicatement faisant attention à ne pas lui faire plus de mal,mais pour le reste je m'en fou pour l'heure seul lui faire du bien m'intéresse.

Ni tenant plus j'accentue mes carrèsses en passant mes mains sur tout sa peau qui frissonne sous les doigts J'empoigne ses sains ,sur ses téton rose qui durcie sous mes carrèsses en prenant mon  temps,les pinsant plus fort , tirant légèrement dessus tout en matant cette déesse soupiré de plaisire.
En hardis par ses petit bruit et gêné par cette blouse, je tire dessus et l'arrache d'un coup sec et colle ma bouche sur la sienne pour étouffé ses petits hoquement de surprise et mordiller sa lèvres inférieure .et reviens à ses seins où j'inflige la même torture et quand je pense que je l'ait est déjà assez torturé je dirige ma bouche plus au sud vers son mon vénus que j'ai grande hâte de goûter.

rien que pour toiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant