Chapitre 1: Faya

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Je m'appelle Faya, cheveux long brun, cheveux détachés jusqu'aux fesses. yeux noisette 1m70 assez fine. habillée d'une tenue légère haut arrivant au dessus du nombril et décolleté plongeant. Pantalon moulant. Le tout est en cuire brun.

J'aire dans une foret ou les arbres y sont abondant et tombe sur 2 soldat s'en prenant a un homme. Je me précipite pour l'aider et utilise mes pouvoir. Je ferme les yeu m'accroupis et mais une main a terre, j'appelle les esprit de la terre de me venir en aide et des branche pousse le long du sol et attrape les assaillants. L'homme me regarde et ne dit rien, je m'avance vers l'un des soldat.

- Faya: OU EST IL?

SOLDAT: d.... de quoi vous parlez?

- Faya: Je le répète. OU EST IL?

Le soldat tremble et je sais très bien qu'il me ment, je veut savoir ou est se qui m'appartient et je sais qu'il se fou de moi. Je prends mon couteau attacher a ma cuisse et lui colle sur le coup tout en lui faisant comprendre que je ne rigole pas.

- fAYA: Toi et tes amis avez attaquer mon village et volez un bien précieux. OU L'AVEZ VOUS EMMENNER?

Il fait un non de la tête et je met plus de pression sur son coup. Il prends peur et m'avoue qu'il l'on fait importer dans la capitale a Laita. Maintenant que j'ai ma réponse, je n'ai plus besoin d'eu et je commande aux branche qui les ont emprisonner de les détruire. Les 2 hommes sont compresser sous la pression et meurt par la suite. J'avance ne sachant pas vraiment ou je vais et j'entends une voie.

-...: Hé, tu avais besoin de les tuer?

Je ne réponds pas et continue d'avancer, je n'ai que faire de ce type.
L'homme se met devant moi pour me stopper brun, cheveux jusqu'au épaule. Plutôt belle homme, assez grand. Vêtu d'une d'une chemise et d'un pantalon brun. je le regarde d'un aire sévère.

...: Qui est tu? Et qu'est ce que tu a fait tout a l'heure ? Je n'ai jamais vu se genre de magie.

Faya: Ça ne te regarde pas, écarte toi. Lui disant que ton méprisant.

Il ne l'entend pas de cette manière et reste planter devant moi. Je m'écarte ayant autant d'espace que je le veut et avance a nouveau. Mais il me suit comme une vrai censsue et au bout d'une demi heure, je commence à en avoir marre. Je me retourne.

Faya: Pourquoi tu me suis, dégage.

....: Non, pas envie et tu m'intrigue.

Je lève les yeux au ciel et recommence a marcher, il ne se gêne pas pour marcher a mes côtés ce qui m'irrite de plus en plus. Soudain il prend la parole.

....: Hé, merci pour tout a l'heure. Je m'appelle Killian. Et toi?

Je pousse un long soupire.

Faya: Ça ne te regarde pas, maintenant dégage, je n'est pas besoin de personne gênante.

Killian: tout le monde a besoin de compagnon. D'amis sur qui compter.

Faya: dit moi Killian, tu est humain c ca ?

Il fait un oui de la tête, les humains ont toujours été les races que je peut le moins supporter. Il sont avides, naïf, inutile et sans intérêt. Je lui demande de se trouver une personne a collé car j'ai d'autre chose a faire. Sur ces paroles je me dirige vers la capitale. Il y a bien trop chemin a faire et je ne veut pas perdre de temps.

Faya: Le livre du savoirOù les histoires vivent. Découvrez maintenant