- OS ZIAM -

- What is love (2) -

Suite de l'OS 38.

Présence de lemon.

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Il l'allume aussitôt alors que je pose mes genoux de part et d'autre de son bassin. Il pose ses mains sur mes hanches. Mon ventre est en train d'allumer un feu, et il va bientôt falloir prendre des extincteurs parce qu'il risque de se propager dans tout mon corps. Je sens mon sexe durcir peu à peu dans mon short par cette ambiance si... je sais pas en fait. Mais j'aime totalement ce que je ressens actuellement.

Je pose doucement mes fesses sur son bassin et sentant qu'il est également dans le même état que moi ça me soulage, je glisse doucement mes mains sur son torse et je me penche en avant pour commencer à l'embrasser fiévreusement, je lape sa bouche timidement, ses doigts se resserrent sur mes hanches. Je dérape sur sa joue que j'embrasse du bout des lèvres et descendre vers sa mâchoire, je parsème sa peau de chaste baisers jusqu'à son cou, là où est sa tache de naissance et où sa veine est apparente pour la maltraiter longuement de mes lèvres ensuite. Des soupires d'aises sortent de sa bouche, il glisse doucement ses mains jusqu'à mes fesses et je tressaute en me stoppant. Il ne s'arrête pas pour autant et il les empoigne doucement pour les presser plus durement contre sa verge complètement dure désormais, et les frotter pour créer une friction. Je lâche un son inaudible d'entre mes lèvres, je le sens si bien contre moi malgré la barrière de son pantalon et son boxer et ça m'excite totalement. Je reprends mes baisers fébriles et humides sur sa peau à son plus grand bonheur, je descends lentement vers sa clavicule bien visible, je passe doucement ma langue. Je plonge mes mains sous son tee-shirt pour le relever jusqu'à son cou et ainsi lécher timidement son téton totalement durci de plaisir. Son buste se relève de manière saccadée, je déguste sans pudeur l'odeur et le goût de sa peau, je ne pensais pas que je me plongerai aussi facilement dans cette ambiance si sensuelle, puis du moment que je peux le toucher et exploiter toutes parties de son corps, j'y vais tête baissée.

— Ça te plaît ? Je chuchote.

— Énormément, me répond-il sur le même ton.

Je souris avant de reposer ma bouche entre ses deux pectoraux, je fais rouler ma langue sur sa peau en descendant peu à peu vers son ventre, là ou ses abdominaux sont divinement bien dessinés et je me hâte à embrasser et lécher. Sa main se plonge dans mes cheveux, ne pouvant plus toucher mes fesses vu que mon corps est plus en bas. Mon nez glisse contre son duvet de poil qui disparaît en dessous de son pantalon, je descends toujours me retrouvant nez à nez avec sa verge qui déforme avec outrance ses habits, agenouillé entre ses cuisses bien écartées désormais.

Je dépose un petit baiser contre son sexe et il tressaute, je continue mon manège en mettant deux doigts sous son pantalon et finalement le baisser à l'aide de mes deux mains. Il relève légèrement son bassin pour que je puisse le descendre en bas de ses fesses ainsi que son boxer. Son sexe rebondit en dehors comme un ressort et je reste totalement hypnotisé par ce que je vois, ou plutôt la taille de ce monstre sous mes yeux. Je m'humidifie les lèvres, je prends avec un peu d'hésitation son sexe dans ma paume et je relève la tête vers lui d'un air inquiet.

— Je... j'ai jamais fait ça et j'ai peur de te faire mal...

— Couvre juste tes dents avec tes lèvres, pour le reste, c'est comme une sucette.

Je m'empourpre alors qu'il me dit ça tout à fait sérieusement. Oh bon sang...

Je baisse rapidement la tête, je me penche ensuite et dirige le bout de son sexe vers ma bouche que j'entrouvre de manière hésitante. Je prends son gland en bouche en écartant davantage ma bouche parce que bon sang, c'est pas possible d'être aussi énorme ! Il caresse tendrement ma tignasse, m'encourageant à continuer et c'est ce que je fait. Je pousse sa verge le plus loin que je peux, cachant bien mes dents de mes lèvres pour ne pas lui faire mal, je plisse les yeux quand son gland tape mon point nauséeux. Okay, ça c'est ma limite, je ne pourrais pas aller plus loin. Je ne pourrais clairement pas le prendre entièrement. Je ressors son sexe pour le reprendre aussitôt en bouche, je le suce timidement et doucement en fermant les yeux. C'est légèrement humiliant et je sais pas, gênant de faire ça. Je pense peut-être ainsi parce que c'est la première fois que je fais ça... ses doigts se resserrent dans mes cheveux et sa tête bascule en arrière et j'ose jeter un regard vers lui tout en continuant mes mouvements. Mon cœur rate un battement en voyant son visage déformé par le plaisir, il se mord la lèvre les yeux rivés vers le plafond et bon sang, rien que de le voir comme ça je pourrais jouir. Ce qui me pousse à accélérer et le pomper plus avidement à son plus grand bonheur, je resserre ma poigne autour de lui ainsi que mes lèvres. Des bruits étranges se font entendre de ma bouche mais peu importe, ses doux gémissements s'élèvent dans la chambre et mon ventre se contracte délicieusement en songeant que c'est moi qui lui procure autant de plaisir. Il enfonce soudainement ma tête et j'ouvre les yeux de stupeurs par ce geste inattendu, je pousse une plainte en serrant son pantalon de mon autre main. Il bouge ma tête comme il l'entend, empalant ma bouche sur sa verge. Je plisse les yeux quand ses gestes se font plus secs et plus brutaux, je tapote sa cuisse et il se stoppe net à mon plus grand soulagement. Je m'enlève en essuyant le bord de mes lèvres alors qu'il se redresse vers moi, je pousse un petit cri quand il me renverse sans ménage sous lui et se met entre mes cuisses. sa bouche fond bestialement sur la mienne et j'y réponds de mon plein grès en encerclant de mes bras sa nuque, pressant son corps entièrement entre mes cuisses. Il descend mon short et mon boxer, il se redresse sur ses genoux pour complètement me les enlever, levant mes deux jambes en l'air. Tout se précipite et mon cœur est à deux doigts d'exploser par toutes ces sensations qui me font doucement perdre la tête. Il les lance par terre puis il se recouche sur moi, buttant nos deux sexes érigés et mon dieu, c'est tellement bon. Je me frotte contre lui, créant une délicieuse friction, il empoigne mes fesses sans pudeur pour les malaxer.