- OS ZIAM -

- Love in competition -

OS Ziam où la compétition peut-être toxique.

Présence de lemon.

Bonne lecture.

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Point de vue Zayn :

Vendredi – 4h45

Il fait à peine jour lorsque la sonnerie de mon téléphone me réveille.

Quatre heures quarante cinq.

L'heure pour moi d'émerger et de quitter ce cocon de chaleur pour me préparer et aller bosser.

Je tente de sortir du lit le plus discrètement possible, mais lorsque je crois y être parvenue en m'asseyant sur le bord du matelas, un bras entoure mon ventre et me rebascule vers l'arrière. Je m'étale sur le dos, en travers du lit tandis que la source de chaleur que je venais de quitter, au prix d'un gros effort, s'installe au dessus de moi.

- Et où crois-tu aller comme ça ?

Je ris à la voix mal réveillée qui vient me chatouiller l'oreille.

- Il y a des gens qui bossent plus tôt que d'autres ici.

Je lui réponds en passant une main dans ses cheveux châtains que j'aime tant, ce qui à le don de le faire ronronner. S'il pouvait se fondre un peu plus contre moi, je crois qu'il le ferait. Mais pour le moment, tout ce qu'il fait est de se frotter, lentement, trop lentement, contre moi. Et je la sens parfaitement, son érection qui commence à naître contre ma cuisse, et qui appelle la mienne.

Je souffle pour rester concentré mais c'est difficile lorsque vous avez votre fantasme qui vous surplombe.

- Liam, je dois me lever.

- Hmm... laisse-moi dix minutes.

A ce moment là, je sais déjà que je suis foutu. Je sens ses lèvres déposer des baisers dans mon cou, pendant que sa main descend le long de mes côtes en une caresse légère. Un frisson me parcours lorsqu'elle rencontre mon sexe qui commence déjà a durcir. Je n'avais pas mis un caleçon hier soir ?

- Tu triches.

- Hmm...

Sa main sur moi est une douce torture. Je commence à craquer, les yeux fermés, une main dans ses cheveux, l'autre agrippant les draps et un gémissement finit par m'échapper. Je suis définitivement faible face à lui.

Je me laisse complètement aller, oubliant toute ma volonté de bouger, lorsque ses doigts glissent jusqu'à mon entrée et se mettent à la taquiner. Il le retire quelques secondes, le temps de l'humidifier à l'aide de sa langue, puis revient à sa place pour mieux le glisser en moi. Il finit par bouger, descend ses lèvres le long de mon torse jusqu'à atteindre ma queue dressée, demandeuse. Il l'enrobe sans plus attendre de sa bouche et entame des mouvements de hauts en bas, le bout de sa langue venant titiller mon gland, sans pour autant arrêter les vas-et-vient de son doigt.

Au bout d'un temps qui me paraît extrêmement long, il retire ses doigts de moi, passe sa langue sur toute la longueur de ma queue puis remonte jusqu'à mes lèvres qu'il embrasse avidement.

- Prêt ?

- Il te reste cinq minutes pour me donner l'orgasme de ma vie, je murmure à bout de souffle.
Je n'en peux plus. Il a réussit à m'exciter en si peu de temps, à peine réveiller lui-même. Je suis déjà au bout de ma vie alors qu'il commence à peine à pousser son sexe en moi.