- OS ZIAM -

- Pourquoi? -

Salut,
Je reviens avec le 37ème OS du recueil, qui devait, selon moi, pas sortir de sitôt. J'ai remarqué que mon annonce a fait plus de réaction que mes OS et ça me rends bien triste. Mais comme j'adore poster les OS, j'ai pris la décision de continuer même si les gens qui lisent ce recueil n'ont pas de reconnaissance, peut-être que mes mots seront durs et ne plairont pas mais c'est comme ça. Je fais ça par plaisir, mais ça n'empêche pas un petit commentaire ou un petit vote de passer par la, ça encourage, parce que mine de rien, ça prend du temps de réécrire des fictions ou des OS. Je ne demande pas la lune, juste de savoir si ça vous plaît ou si ça vous plaît moins. En revanche je remercie ceux et celles qui ont pris le temps de m'encourager, de voter et me dire de jolis mots, ça m'a fait énormément plaisir.
PS : je suis très heureuse que l'OS précédent ne soit que MON préféré! Je m'attendais à plus mais tant pis.
Sur ceux, bonne lecture.

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Point de vue Zayn :

— Alors... si jamais tu n'as aucune réponse à mes questions, je pourrais te baiser ?

Je le juge d'un air exaspéré alors que Liam continue de me fixer d'un air sérieux. Voilà six mois que je le rembarre, et six mois qu'il ne lâche rien. J'ai beau l'éviter, l'ignorer, l'insulter, l'envoyer chier, rien à faire ! Ce mec est pire qu'un chewing-gum, pire qu'un chien qui te fait la fête ! Et bien sûr, j'ai craqué. N'en pouvant plus de le voir débarquer devant chez moi tous les matins, de le voir s'installer à côté de moi dans la cafétéria, m'attendre à la fin des cours, et le pire c'est que son meilleur ami Louis a sympathisé avec mon meilleur ami Harry, du coup, ça ne m'aide en rien à le garder à distance.

— Et si j'ai une réponse, tu me laisses tranquille, rétorquais-je en croisant les bras, l'épaule appuyée contre mon casier.

Il pose ses doigts sous son menton prenant une mine réfléchi, un fin sourire s'installe sur son visage avant de finalement hocher la tête.

— Combien de questions ?

— Dix.

Il lève les yeux vers le ciel, cherchant de manière plus approfondi les questions qu'il va me poser et je suis vraiment heureux qu'il soit aussi débile, parce que sincèrement, sur dix questions, j'aurais forcément une réponse.

— Pourquoi les profs nous demandaient de mettre certaines couleurs pour le titre, les questions et les paragraphes ?

Mes yeux s'ouvrent légèrement en rond, je reste quelques secondes surpris d'une telle question.

— Euh... je sais pas.

— Pourquoi les professeurs nous demandaient d'acheter des cahiers en particuliers, genre petits carreaux ou grands carreaux ?

— Je sais pas non plus.

— Pourquoi quand tu mets des pâtes dans l'eau elles ramollissent alors que les œufs durcissent ?

Plus il pose ses questions, plus je suis sur le cul. Mais merde ! C'est quoi ces questions ! Je me mord nerveusement la lèvre alors qu'il attend impatient que je lui réponde, je secoue négativement la tête et il sourit brièvement avant de réfléchir à une nouvelle question.

— Pourquoi les pilotes kamikazes portaient-ils un casque ?

— J-J'en sais rien...

— Pourquoi il y a -t-il des pancartes au milieu des pelouses avec marqué " ne pas marchez de dessus" ? Techniquement, il n'a pas pu y aller tout seul au milieu, si ?