Salem aleykoum
Enfin, c'est fini, nous quittons le centre. Avec nos bagages en main, nous nous dirigeons vers la forêt où nous retrouvons le chef. Il nous fait entrer tout en buvant la dernière gorgée de son café.
Chef : Comme je vous l'avais dit, vous devez choisir une voiture pour le voyage.
Evan : Venez les gars, on prend la Bugatti et les filles la Tesla.
Nous : D'accord.
Le chef nous lance donc les clés de chaque voiture.
Nous (les filles) :
Les gars :
Chef : Donc, je vous ai trouvé deux appartements pour 3 à Marseille. Vous choisissez qui vivra avec qui.
Sania : Les filles restent ensemble, les garçons aussi.
Eymen : C'est logique.
Chef : J'ai essayé de vous trouver deux appartements dans le même immeuble, mais c'était impossible.
Moi : Comment ça ?
Chef : Ça a été même très difficile d'obtenir le deuxième appartement. Je vous ai trouvé deux immeubles face à face.
Sacha : C'est mieux que rien.
Chef : Je confirme. Bon, vous avez 8 heures de route à faire.
Nous : Comment ? Mais nonnnnn.
Chef : Vous êtes sérieux ou quoi ? Paris-Marseille, ça fait 8 heures de route.
Moi : Ah ouais, moi je vais pas assumer.
Inès : Moi aussi.
Eymen : Vous n'assumez rien de toute façon.
Moi : RÉPÈTE LE POUR VOIR !
Chef : BON ON SE CALME, hors.
Evan : Pourquoi crier ?
Chef : Tu la fermes, c'est chez ta mère ici ?
Je voulais plaisanter mais j'allais me faire taper.
Inès : Chef, pour les missions, comment ça se passe ?
Chef : En cas de mission, un camion militaire viendra vous récupérer ou vous irez en voiture.
Moi : Chef, vous nous avez strictement interdit d'utiliser nos voitures personnelles pour les missions.
Chef : Et je ne pense pas que vous aurez l'occasion de le faire maintenant. Disparaissez.
Sania : Vous allez grave nous manquer, chef (ironie).
Chef : C'est réciproque.
Il était environ 15 heures quand nous avons décidé de prendre la route. Nous avons chargé nos bagages et sommes partis pour une nouvelle vie à Marseille, nous arrivons !
Je passe sur les détails de la route, il était 23 heures. Nous avions passé la moitié de la journée à conduire, moi ça allait, mais nous nous étions reposés un peu et faisions parfois des pauses repas et tout. Nous venions d'entrer dans notre cité. Evan nous guidait. Aux alentours, il y avait de grands immeubles, des enfants courant le long des rues, des femmes aux fenêtres et d'autres discutant au pied des blocs, une vraie cité quoi. Sania s'est garée devant un bâtiment, donc nous avons fait de même et avons sorti nos valises. Des regards nous suivaient partout.
Sacha : Allez, on monte avec vous.
Moi : Ce n'est pas comme si nous étions des gamines, on ne va pas se perdre, vous savez.
Evan : Tu ne peux pas t'arrêter de parler, tu ne te fatigues jamais ?
Moi : Pffff.
Eymen : Voilà, alors ferme-la et on y va.
Nous ne calculons pas davantage, puis montons en prenant soin de saluer les résidents. Nous longeons les escaliers jusqu'au premier étage.
Eymen : Voilà, si quelque chose se passe, faites signe.
Sania : Ouais, ouais, allez, bisous.
Nous rentrons vite en claquant fort la porte.
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-ORPHELINE MILITAIRE A LA TESS - RÉÉCRITURE
Ficção GeralL'histoire va parler de maïna une jeune fille de 18ans marocaine américaine maïna est orpheline depuis sa naissance ces parent non jamais voulut d'elle donc il l'on placé a l'orphelinat ........ Tu veux connaître la suite passe lire