-ORPHELINE MILITAIRE A LA TESS - RÉÉCRITURE

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Salem aleykoum

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Alors j'allais me lever quand je trébuche, mais je me fais rattraper par je ne sais pas qui. Je me suis mise à rire comme une folle.

??? : (en attrapant ma bouche en mode bec de coq) Attends, t'es saoule là ?

Moi : Krkrkrkrkrkr non... krkrkrkrkrkr... je suis... une... princesse.

Evan : Allez, on rentre. (d'un ton énervé)

Moi : Krkrkrkrkrkr non... je veux danser... moi.

Evan : Bouge et je te bute.

Dans la peau d'Evan

Sania et Maïna, j'avais une envie de les taper. On avait décidé de faire une sortie entre nous, sauf que ces deux connes n'ont pas pu s'empêcher de faire de la merde. Maïna était saoule, donc on décide très vite de quitter la boîte. Arrivés à la cité, Inès me dit qu'elle allait s'occuper du reste, donc nous la laissons puis nous montons.

Moi : Bon, je vais me coucher. On se capte demain.

Eymen : Azy, dors bien.

Je lui lâche un sourire en guise de réponse.

Dans la peau de Maïna

14:12

Je venais de me réveiller, la tête lourde comme jamais. C'est comme si elle allait exploser d'une minute à l'autre. Je m'assois au milieu du lit, je prends mon tel sur la table de chevet. 14 heures, wha, j'ai grave dormi. C'est ça l'inconvénient de vouloir faire la meuf. Je sors de mon lit et je vais prendre une douche. Enfin finie, j'enfile un short bleu et un t-shirt blanc. Je porte mes claquettes, prends mon tel et je sors de la chambre. Je vais à la cuisine, il y avait une boîte à pharmacie. J'ouvre puis j'aperçois une boîte de Doliprane, la chance. Je prends la boîte avec moi, me sers un verre d'eau. Enfin fini, je vais au salon où je trouve Inès et Sania. Chacune était sur son tel. Dès que je me suis posée, Inès a levé la tête.

Inès : Tu t'es enfin réveillée, la moche au bois dormant.

Sania & moi : Mais wesh, pourquoi tu cries ?

Inès : Bah, j'ai pas crié, je parle normalement.

Moi : Chuttttteeeeeee.

Donc, je prends mon verre et le bois d'une gorgée.

Il était 17:34 quand...

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